Capítulo II de «H frente a J»

Chapitre II (págs. 43 a 87 )

By 

Chapitre II

HITLER HOMME DE CROISADES
ANTIBOLCHEVIQUES.

 

Afin de bien comprendre pourquoi Hitler se lança
en politique en 1919 il nous faut à nouveau faire
un retour en arrière. Et commençons tout d’abordpar l’analyse de l’entrée en guerre des Américains
fin mars 1917.
Le président des USA, Woodrow Wilson, ce grand
franc-maçon que l’on fait toujours passer pour un
pacifiste absolu, ne l’était en fait que très
modérément. N’en voulons pour preuve, que sous son
règne et sous ses ordres les USA, sous le
fallacieux prétexte de défendre les intérêts
a m é r i c a i n s , e n v a h i r e n t H a ï t i e n 1 9 1 5 , L e
Nicaragua, le Honduras, Saint-Domingue et le
Mexique en 1916. Dans ce dernier pays les troupes
du général Pershing s’illustrèrent d’ailleurs par
des pillages et de nombreuses exactions sur la
population. En fait W. Wilson était pacifiste dans
la mesure où les intérêts des banquiers américains
n’étaient pas menacés, et le respect des droits
des peuples à disposer d’eux-mêmes n’était qu’un
slogan de plus brandi pour se donner bonne
conscience. En effet en 1917 pour faciliter leurs
transports les USA avaient acheté aux Danois les
trois îles Vierges de Sainte-Croix, de SaintThomas et de Saint-John sans demander aucunement
l’avis des habitants. Et si suite au coulage
provoqué (par Churchill alors Lord de l’Amirauté
et par les marchands de canons américains, qui
avaient bourré les cales du navire d’armes et de
munitions) du Lusitania en6 mai 1915 W. Wilson  }}}}}}}}}}}}}}}}}} 6

6 Lire à ce sujet : “L’histoire des sous-mariniers” par J. Jacques Antier

avait cependant encore refusé d’entrer en guerre avec l’Allemagne, c’est bien parce que l’opinion
américaine fortement isolationniste n’était pas
encore mûre. Et cela malgré la propagande
intensive et belliciste des médias juifs et de ses
conseillers privés, tels le colonel House (alias
Edouard Mandell), le juge suprême le juif Brandeis
et le financier Warburg (ce dernier fut d’ailleurs
le conseiller privé et très écouté de tous les
p r é s i d e n t s d e s U S A d e p u i s W i l s o n j u s q u ‘ à
Eisenhower).
Voyant le peu d’entrain du peuple américain et
de son président à entrer en guerre, les
bellicistes Juifs, colonel House en tête,
montèrent en janvier-février 1917 une mise en scène avec un faut télégramme soit disant envoyé
par le ministre juif allemand Zimmermann au
gouvernement mexicain pour une éventuelle alliance
contre les USA. Ce télégramme fut soit disant
intercepté par l’amirauté britannique (c-à-d
Churchill) et transmis à l’acolyte de House, le
Juif Franck Polk. Grâce à ce télégramme envoyé
soi-disant début janvier 1917 et qui ne fut
officialisé en Amérique que 40 jours plus tard,
télégramme que l’on ne vit jamais, mais qui
associé à une bonne propagande finit par pousser
l’Amérique en guerre contre l’Allemagne en mars
1917.
En Ensuite survint la révolution russe en
novembre 1917. Pour éviter d’être écrasé par les
“Blancs”, Lénine proposa la paix aux Allemands,
mais espérant entraîner aussi la révolution en
Allemagne, car sa théorie était que la révolution
bolchevique devait pour réussir associer les
masses slaves à la technicité allemande, Lénine
ordonna à ses négociateurs de faire traîner la
signature définitive du traité, bien que les
combats aient depuis longtemps cessé contre les
troupes allemandes. Ce traité de Brest-Litowsk fût
enfin signé en mars 1918. Pendant ce temps Wilson
avait fait un grand discours le 8 janvier 1918 au
C o n g r è s a m é r i c a i n , p r o p o s a n t à t o u s l e s
belligérants une paix blanche en 14 points, dont
les plus saillants étaient l) Liberté totale de
circulation sur toutes les mers cela en douce afin
d’aider les Anglais au bord de la déroute en mer
(à cause de la guerre sous-marine, et comme le
reconnaissait l’amiral Jéllicoé). 2) Une paix sans
aucune annexion territoriale (qu’il savait un
mensonge car les Alliés s’étaient déjà dans les
grandes lignes partagés toutes les anciennes
colonies allemandes, et parce que les peuples
slaves, Tchèques en tête avec Massaryk et Bénes
négociaient sans relâche pour obtenir des
territoires en se basant sur le troisième point du
discours de Wilson, c-à-d: 3) Le droit des peuples
à être indépendant et à disposer d’eux-mêmes. Ce
droit des peuples de choisir leur destin était
déjà inscrit dans les fameux “Droits de l’Homme”
de 1789, mais fut et est encore toujours bafoué;
il n’est d’application, que lorsqu’il sert les
intérêts des financiers cosmopolites.7 Dans ses   }}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}} 7

7 Ainsi par exemple actuellement on laisse les Chinois massacrer allègrement les Tibétains qui réclament
leur indépendance, et cela afin de ne pas nuire aux intérêts américains sur le marché chinois. De même
l’on força durant plus de 80 ans les Croates, Serbes et Bosniaques, ensemble de peuples qui se détestent
foncièrement à vivre ensembles ; et brusquement l’on découvre les demandes autonomistes de ces
peuples, car les banquiers cosmopolites de New-York ont intérêts actuellement a imposer une vaste porte
d’entrée a l’Islam dans le sud de l’Europe. L’Europe sera ainsi plus rapidement islamisée et lorsque ce sera
chose faite elle ne sera plus un concurent économique pour les banquiers des USA. L’Europe sera
retournée 200 ans en arrière. De même le Dagesthan et les Tchétchènes ne peuvent rester indépendants a
cause du pétrole dont ils réclamaient a juste titre des royalties. Et pour la même raison pétrolière les USA
laissent les Turcs écraser les Arméniens et les Kurdes, car bientôt ils feront passer le pétrole de la mer
Noire par un oléoduc a travers la Turquie. Etc…

“Mémoires” Massaryk le leader tchèque explique,
que dès 1916 il fut puissamment aidé par les
francs-maçons, car lui et Bénes en étaient, et par
de nombreux Juifs, ce qui expliquait à ses dires
la diffusion rapide de ses idées d’indépendance
car: “Les Francs-Maçons étaient les ennemis
d é c l a r é s d u c l é r i c a l i s m e a u t r i c h i e n , e t
reprenaient volontiers à son égard la formule de
Voltaire: “Ecrasez l’infâme.” Quant aux Juifs ils
n’avaient pas oublié l’affaire HILSNER, Juif qui
en 1899 fut accusé d’un meurtre rituel sur une
chrétienne. Comme partout j’eus en Amérique
l’appui des Juifs. Parmi ceux-ci je citerai M.
Brandeis, juge à la cour suprême. Il connaissait
bien le président Wilson, dont il avait circonvenu
la confiance. A New-York l’un des chefs sionistes
était M. Mack et aussi Sokolov. En Amérique comme
en Europe les Juifs ont une grande influence dans
la presse et ils nous furent précieux.” Conclusion
de ces dires: La guerre 14-18 ne fut faite que
pour écraser définitivement l’empire CHRETIEN
d’Autriche, pour le démanteler et pour le
remplacer par des entités aux mains des Juifs et
des Francs-Maçons, afin d’instaurer au plus tôt le
règne de Juda.
Les propositions de paix du président W.
Wilson facilitèrent grandement l’extériorisation
du ras-le-bol des populations allemandes et
autrichiennes, qui souffraient des restrictions
alimentaires savamment organisées par les Juifs de
l’arrière, qui orchestraient tout, même les grèves dans les usines d’armements aux mains de Rathenau.
De telle sorte que militaires et civils allemands
conseillèrent au Kaiser d’abdiquer, et que les
hostilités cessèrent par manque de ravitaillement
des troupes et malgré les fortes chances de
vaincre que l’Allemagne avait possédées au
printemps 1918. Ensuite, lorsque l’Allemagne fut
complètement désorganisée les Francs-Maçons
français avec Clémenceau, Poincaré, Briand,
Pichon, Jules Cambon, Ph. Berthelot etc…
imposèrent à l’Allemagne des clauses de paix
draconiennes au traité de Versailles; clauses où
les 14 points de paix de Wilson n’étaient plus que
l e t t r e m o r t e , e t c e l a a v e c l ‘ a c c o r d d e s
négociateurs américains menés par le colonel House
(alias Mandell).

De telle sorte qu’à la suite du traité de
Versailles, l’Allemagne, le pays d’adoption de
Hitler était mutilé. Il avait perdu 70.580
Kilomètres carrés, (soit plus de deux fois la
superficie de la Belgique), ainsi que 6.475.000
habitants, Allemands de souche, forcés de devenir
Polonais, Tchèques, Yougoslaves, Belges, Français,
etc… Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
était totalement bafoué et remplacé par un
hypocrite “Droits de l’Homme” né dans les loges de
la révolution française de 1789. En réalité ces
fameux “Droits de l’homme” ne sont que de la
poudre jetée aux yeux des crédules et des
imbéciles, car ils sont et seront toujours
perpétuellement bafoués par les “Démocraties”
suivant leurs intérêts. Car il est bien évident,
que si l’on refuse à un homme son droit le plus
élémentaire, c-à-d celui de choisir la communauté
à laquelle il veut appartenir suivant son sang et
son hérédité, il est évident, dis-je, qu’on lui
refuse tout droit individuel. Et pour ceux, qui ne
seraient pas encore convaincus du cynisme et de
l’hypocrisie des militants défenseurs des droits
de l’homme, il suffit d’étudier ce qui se déroula
lors du traité de Saint-Germain. En effet si
l’Allemagne subissait le traité de Versailles,
l’Autriche, elle, devait répondre et signer un
autre traité de paix, celui de Saint-Germain. Or
découpée et morcelée, comme elle l’était,
l’Autriche devenue ainsi essentiellement agricole
était décemment invivable. C’est pour cette raison
qu’avant de venir pour signer le traité de paix
les dirigeants autrichiens avaient organisé un
vaste référendum en faveur d’un rattachement
(Anschluss) avec l’Allemagne. Mais immédiatement
les Alliés refusèrent d’en tenir compte et au
chancelier autrichien Renner, qui protestait
devant ce déni de justice, et qui faisait
remarquer, que les Tchèques, les Slovaques, les
Ruthènes, les Croates, etc… avaient eux tous pu
s’autodéterminer, on lui répondit sèchement, que
ce droit ne pouvait en aucun cas s’étendre aux
vaincus, et que c’était la volonté des vainqueurs
Français, Anglais et Américains qui en avait
décidé ainsi.(Ah ces grands démocrates !)

Suite à cette guerre “fratricide” de 14-18
l’Allemagne perd aussi plus de 3 millions de
Kilomètres carrés de colonies. Celles-ci sont
immédiatement partagées par les vainqueurs avides,
q u i s e d i s p u t e n t m ê m e p a r f o i s c o m m e d e s
chiffonniers mafieux pour un bout de terre.
Exemples: Les Yougoslaves se disputent avec les
Italiens, les Roumains et les Hongrois, les
Polonais avec les Tchèques pour le district de
Techen, les Japonais avec les Américains pour les
îles allemandes du Pacifique, les Français et les
Anglais en Syrie, etc… Mais outre ces pertes
territoriales pleines de richesses la France
franc-maçonne et enjuivée, qui avait tout fait
pour que cette guerre commence, (lire à ce sujet
“Le traquenard de Sarajevo” et “Les Tricheurs de
Versailles” par Léon Degrelle) exige 90.000
millions de marks or de réparation. Avec ces
exigences et après ce dépeçage immédiat, la
nouvelle République de Weimar, qui ne compte plus
que 472.000 kilomètres carrés et 68 millions
d’habitants, est virtuellement ruinée. D’autant
que les vainqueurs ne se gênent pas pour emporter
chez eux machines industrielles, trains, wagons,
etc… C’est le règne du pillage organisé, comme
le pratiqueront en 45 les troupes soviétiques au
dépend des pays “libérés” de l’Est européen. En
pratiquant de cette façon en 14-18 et en 45 les
démocrates alliés ne pensent qu’à s’enrichir, les
Juifs qu’à créer au milieu de l’Europe une région
tellement appauvrie qu’elle acceptera sans trop de
difficultés le judéo-marxisme.
Mais pour l’Allemagne défaite, il y a encore
plus grave. C’est l’anarchie organisée et
installée par les marxistes partout en Allemagne.
Et là les agitateurs Juifs sont à la fête. A
Berlin nous trouvons Karl Liebknecht et Rosa
Luxembourg, Landsberg et Haase, Scheidemann et
Eischorn; A Munich Kurt Eisner (alias Salomon
Kutchinsky), Lipp, Landauer, Toller, Léwien,
Léviné, Axelrod et Wadler-Krakau; En Saxe
Fleissner, J. Brandeis, Kegel et un certain
Völker; A Magdebourg s’illustre Brandes; à Dresde
les Juifs Lipinsky, Geier et Fleissner; dans la
Rühr Markus et Lévinshon; A Bremershaven et à Kiel
les Juifs Khon et Grünewald; dans le Palatinat
Lielienthal et Heine; au Landtag de Prusse Hirsch
et Heine, etc… Sans oublier tout ce qui se passe
hors d’Allemagne, avec Bela Khun (alias Cohen) en
Hongrie, le juif Ulmanis en Lettonie; l’agitateur
juif Adler à Vienne, et le juif Borodine en Chine.
Sans oublier tous les Juifs soviétiques, qui
commencent à faire la loi en Russie. En voici
quelques noms non limitatifs parmi les plus
marquants: Au comité central bolchevique nous
trouvons outre Lénine Staline et Trotsky, Kaménev
et Zinoviev, Radek, Dzerzinski (à la GUEPEOU)
remplacé plus tard à la suite de purges par les
Juifs, Yagoda, Yeyov, Béria; en outre Rykov,
Molotov, Chtykgold, Vassiliev, Netchaev, Schmidt,
Fichtelen, Joffé, Smilga, Sapronov, Rakovsky,
Smirnov, Evdokimov, Bakaïev, Ter-Vaganian,
Matchkovsky, Reingold, Vichinsky, les frères
Kaganovitch, Sujanov, Saguerky, Bogdanov, Uritsky,
R i a z a n o v , A b r a m o v i c h , K a m k o v , G a m e t s k y ,
Meshkovsky, Parvus, Lapinsky, Babrof, Ortodox,
Garin, etc… Dans l’armée rouge outre Trotsky
nous trouvons les Juifs suivants: Slyanski,
l’adjoint de Trotsky, Egorov, Kork, Gamarnik,
E f r é m o v , E i d e m a n n , F e l d m a n n , S n e t c h i n e ,
Zichovitch, Goutor, Zaïntchovsky, Sitine,
Klembovsky, Jloba, Boutch-Boutcevitch, Sivers,
etc… Boguslavsky, Drobnis, Piatakov, Poutna,
Yakir, Sokolnikov, Mouralov, Serebriakov,
Ouborévitch, Frounzé, Kocjubinski (affaire
militaire d’Ukraine) et enfin Blücher (alias
Galen). Et à la police politique, c-à-d à la
Tchéka nous retrouvons entre autre les Juifs
suivants: Djerzinski, Latsis, Menjinski, Messing,
Moroz, Peters, Trilasser, Unchlicht, lagoda,
Abramovitch, Ouritzski, Karl Lander, Sergeï
Ordjenikidze, Gopner, Smirnov, N. Rosental lacob
Golden, Gal Pernstein, Woinstein, Voguel, Blumkin,
Meichman, Koslowski; et à la justice en 1919 le
juge suprême Steinberg (lire à ce sujet: “La
terreur rouge en Russie” par Serge Melgounov).
Heureusement en Allemagne les exactions
communistes sont trop brutales, et le peuple
allemand répugne à tant de sang et de haine. Ce
qui pouvait convenir à des Slaves assez rustres ne
pût s’appliquer à un peuple civilisé. L’armée
allemande, quoique bien désorganisée, a vu monter
en elle un important réflexe nationaliste, et
petit à petit elle nettoya partout la pourriture
internationale, qui sert de bras armé aux
“Protocoles des Sages de Sion”. Mais fidèle à sa
tactique habituelle le mondialisme juif, qui
naturellement aurait préféré cette prise de
pouvoir rapide et brutal, se reporta sur la
méthode douce du parlementarisme; et cela malgré
que dans les années vingt le peuple élu s’était
cru à l’aurore des temps nouveaux et mettait le
paquet pour faire basculer le monde dans l’horreur
de l’esclavage judéo-maçonnique. Mais l’heure du
“grand soir” et de la nuit des Sages de Sion
n’avait pas encore sonné. Tout d’abord à cause ou
plus exactement grâce aux corps francs allemands
du Baltikum, qui luttaient contre les Bolcheviques
en Lettonie et en Lithuanie. Mais voyant leurs
succès militaires, les puissances alliées firent
pression sur le nouveau gouvernement républicain
allemand pour qu’il cesse de leur fournir des
armes et des munitions. Alors que ces volontaires
antibolcheviques ne luttaient même pas pour
défendre des terres allemandes, mais bien pour
protéger l’Europe. Cette décision absurde n’était
naturellement pas exigée par les peuples anglais
et français, bien loin de se douter du péril
bolchevique, mais par leurs dirigeants soit Juifs,
soit déjà fortement soumis aux ordres du
mondialisme. Sans les actions désespérées de ces
Réprouvés des corps francs le bolchevisme aurait
déjà occupé toute l’Europe centrale dès 1919. Les
soviets auraient campé aux portes de la France et
de la Belgique, sans compter les millions de
martyrs, qui auraient jonché les plaines de
l’Europe de l’Est. C’est pour cette raison, que
l’état-major français dirigé par Foch et Weygand
décidèrent d’envoyer quelques troupes; afin
d’aider les Polonais pour combattre les pilleurs
r o u g e s d e B o u d i é n y , d e S t a l i n e e t d e
Tchougachievsky; dans le même temps la France aida
les Hongrois à se libérer de la sanglante
dictature de Bela Khun. Dans ce même ordre d’idée
et plus ou moins clandestinement en 1923 un accord
secret fut tenté entre d’une part le maréchal
Ludendorff et le général Hoffman du côté allemand
et d’autre part le généralissime Foch pour créer
un front commun franco-allemand contre le
bolchevisme. Mais Hoffman le principal agent de
liaison des deux maréchaux mourut dans des
circonstances étranges, sans doute assassiné par
les Britanniques, qui s’opposaient violemment à
cet accord, qui aurait changé avant la lettre les
données en Europe continentale. Dans l’insouciance
de l’après-guerre seuls quelques militaires
voyaient assez clair et possédaient encore
suffisamment la fibre nationaliste pour s’opposer
au mondialisme. Ainsi Lyautey à propos de la
collusion entre judaïsme et communisme déclarait
en 1921: “C’est un grand mal que nous ayons gagné
la guerre; nous n’avions qu’une chance de nous
redresser, de faire un bloc européen contre les
infiltrations judéo-bolcheviques, c’était avec l’Allemagne.” C’est, semble-t’il encore le cas
actuellement; et c’est bien pour cette raison, que
dans tous les pays “dits démocratiques”, l’on
démantèle à qui mieux mieux les armées encore
existantes, en tentant de leur insuffler un
“réflexe onusien” internationaliste.
L’Europe, et principalement l’Europe de
l’Ouest fut donc une première fois sauvée en
1919-21 de la bolchevisation. Et l’on sait
maintenant ce que cela a représenté, c-à-d plus de
40 millions de morts en Russie avant 1940, sans
compter les Goulags instaurés par décrets par
Lénine lui-même dès 1918. Cette même Europe de
l’Ouest sera encore sauvée de la peste rouge en
1936-39 par le chancelier Hitler, lorsqu’il prit
p a r t i p o u r l ‘ E s p a g n e f r a n q u i s t e ( n o u s y
reviendrons). Sauvée encore en 1941 lorsque Hitler
devança de trois semaines l’attaque russe décidée
par Staline contre l’Allemagne et contre l’Europe
de l’Ouest. Il faut lire à ce sujet: “Le Brise
Glace” par le général Souvarov aux éditions Orban.
Car en déclarant la guerre à l’est le 21 juin 1941
Hitler attaqua une armée rouge en complète
réorganisation d’attaque, ayant détruit dans ce
but certains de ses ouvrages défensifs, et ayant
concentré l’ensemble de ses troupes en des points,
qui furent facilement encerclés et anéantis par
les professionnels Allemands de la guerre éclair
et de mouvement. Cette même Europe de l’Ouest sera
encore sauvée du Communisme par le sacrifice des
volontaires de la Waffen SS en 1945. Jamais nos
peuples ne seront assez reconnaissants envers tous
ces volontaires, qui sacrifièrent leur vie pour
que l’Europe sociale et des nations survive. Ils
acceptèrent de se battre et de mourir, parce
qu’ils avaient compris tous les bienfaits
qu’apporterait une organisation politique
Nationale-Socialiste après les restrictions dûes à
la guerre totale engagée par le mondialisme contre
l’Europe. Le National-Socialisme c’est avant tout
une justice sociale dans un espace communautaire
élitiste; biologiquement élitiste. L’Europe sera
enfin sauvée en 1989 par l’implosion du système
communiste russe, par la chute du mur de Berlin et
par la réunification allemande. Celle-ci permit de
retrouver en Allemagne de l’Est les plans
d’invasion du pacte de Varsovie contre l’Europe de
l’ouest. Ces plans, qui furent sur le point d’être
exécutés en 1982 furent retrouvés dans les
archives du camp de Strauberg, camp d’occupation
de l’armée soviétique en RDA.
Naturellement l’Establishment mondialiste
aurait de loin préféré imposer sa dictature sur le
monde par la voie brutale et sanglante du
communisme, en poussant une dernière fois les
Indo-Européens naïfs à s’entre-tuer. Mais au vu de
la faillite retentissante de leur système de
gouvernement en URSS, et vu aussi le peu
d’empressement actuel des Indo-Européens à se
faire tuer à nouveau.8 l’Establishment en revient

8 Ce peu d’empressement est à rechercher dans la propagande pacifiste avec laquelle le mondialisme
incitait les peuples de l’ Ouest à céder plus rapidement à la subversion de LEUR communisme. Des
slogans comme : “Plutôt vivre à genoux que de mourir debout” ou comme : “Plutôt vivre rouge que de
mourir atomisé”, etc… devaient servir à démoraliser les peuples encore plus ou moins libres et conscients
du danger. Mais comme la langue d’Esope, la pire et la meilleure des choses, ces slogans se retournent
maintenant contre la volonté de leurs auteurs.

à sa seconde stratégie, la méthode douce, (si l’on
peut dire) par ONU interposée et par achats des
consciences de la plupart des dirigeants du monde.
La corruption des consciences amène à la
destruction rapide des structures nationales, à
Maestricht, au FMI et au Gatt; l’ONU à la création
du “droit d’ingérence”, afin de réduire les
peuples, qui n’appliqueraient pas les “lois
démocratiques” concoctées par les diverses francsmaçonneries aux ordres des Sages de Sion. D’où
l’ingérence onusienne de plus en plus fréquente en
Afrique, en Bosnie et dans le Golfe contre l’Irak
de Saddam Hussein, lui aussi satanisé pour les
besoins de la cause, car il est le seul chef arabe
suffisamment conscient du danger funeste du
mondialisme juif. Ingérence aussi en Bosnie et au
Kossovo, etc…
* * *

Mais revenons à l’Allemagne de 1919. Suite à
la défaite et à la fuite du Kaiser en Hollande,
elle se dote,ou plus exactement on lui impose un
gouvernement “démocratique libéral”. Dans son
livre: “Le Juif international”, Henri Ford, le
grand constructeur d’automobiles nous dit: “A la
fin de la guerre 14-18 les véritables vainqueurs
sont les Juifs. En effet en Allemagne le
gouvernement mis sur pied est conçu de la façon
suivante: Ministre de la justice c’est Rosenfeld;
à L’intérieur un nommé Hirch; Aux Finances un
autre Juif nommé Simon; à l’Enseignement un nommé
Futran; Aux Négoces, Lettres et Arts un nommé
Katsenberg; Le Juif Würm est secrétaire à
l’Alimentation; Hirsch et Stadhagen aux Travaux
publics; Cohen et Eischorn président les Conseils
d’Ouvriers et de Soldats, en fait les véritables
maîtres du pays. De ce fait ces deux derniers ont
beaucoup de collaborateurs tous Juifs; ils se
nomment Stern, Herz, Loswemberg, Frankel,
israëlowitz, Laubeheim, Seligschen, Katsenheim,
Lauffenberg, Heimann, Schlesinger, Merz et Weil.
Jamais l’influence juive en Allemagne n’avait été
si totale. Et grâce à l’aide de la Russie
bolchevique, aide camouflée en secours socialiste,
le contrôle de la presse, de l’industrie et de
l’alimentation est total.” Sans compter bien sûr
le maître juif Walter Rathenau, qui fut un temps
premier ministre, et qui possédait en douce toutes
les administrations de guerre.
D’ailleurs depuis 1916 il était le seul homme
à posséder une ligne téléphonique directe et
privée avec le Kaiser, qu’il trompa effrontément
depuis que celui-ci l’avait placé à la direction
des fournitures aux armées. N’oublions pas non
plus, que des banquiers juifs d’une même famille
se retrouvaient de chaque côté du front; ainsi si
Félix et Paul Warburg coopéraient à l’effort de
guerre allemand, leur frère Maurice Warburg, lui,
collaborait à fond avec les Alliés. Comme le
répétait Henri Ford, l’on assistait à une
véritable PAN JUDEA.
En outre en Allemagne, durant toute la guerre
et ensuite après la défaite tous les principaux
journaux (les seuls médias existants à l’époque)
étaient totalement dans les mains des Juifs. Nous
y retrouvons ceux aux plus gros tirages, comme le
” B e r l i n e r T a g e b l a t t ” , l e ” M ü n c h e n e r N e u e
Nachtrichten” et le “Frankfürter Zeitung”. D’autre
part, analysant les causes de la brusque défaite,
imprévisible vu que l’Allemagne n’avait plus qu’un
seul front au début de 1918, puisque la Russie en
révolution s’était retirée des combats, que les
Italiens venaient d’être défait sur l’Isonzo et
sur le Piave, que les Roumains et les Serbes
étaient défaits avec l’aide des Bulgares, le
général Ludendorff conclut dans son livre
intitulé: “La Guerre Totale”, que seules les
grèves sauvages et brusques dans les usines
d ‘ a r m e m e n t s e t d e m u n i t i o n s e m p ê c h è r e n t
l’offensive allemande de juin-juillet 1918
d’aboutir à la victoire. Or à cette époque
rappelez-vous, que le seul grand patron de toutes
ces usines était Walter Rathenau, le Juif, qui se
vantait de connaître les 200 familles qui
dirigeaient le monde. Et dans son testament
politique Ludendorff aboutit à la conclusion,
qu’il existe un gouvernement occulte et secret du
monde, gouvernement formé principalement de Juifs
et de francs-maçons; et que ceux-ci avaient décidé
f i n a l e m e n t d e f a i r e p e r d r e l a g u e r r e à
l’Allemagne, parce que celle-ci seule était
capable de mettre un frein aux ambitions de
l’Esthablisment. De ce fait l’Allemagne devait non
seulement perdre, mais aussi être ruinée, afin
d’instaurer au plutôt une “Mittel-Europa” marxiste
comme en Russie. D’ailleurs le juif Lénine l’avait
dit: “Les masses russes plus le savoir allemand
nous fourniront la domination du monde lorsque
n o u s p o u r r o n s l e s r é u n i r s o u s u n m ê m e
régime.” (juif naturellement)
Aussi pour bien ruiner l’Allemagne, qui avait
évité de justesse le péril bolchevique grâce à ses
divers Corps Francs on planifia un Traité de
Versailles aussi impitoyable que cynique. Dans son
livre intitulé: “Années de lutte” le juif Stéfen
Wise(grand rabbin de New-York et membre influent
de la mafia mondialiste) écrit: “La conférence de
paix de Versailles fut essentiellement juive;
comme représentants de la juiverie américaine il y
avait le juge Julien Mack, Louis Marshall, le
colonel Harry Cutler, Jacob de Haas, le rabbin
B.L. Lévinthal, Joseph Banrondeis, Nachman,
Syrkin, Léopold Bénédict, Bernard Richard et lui
Stéfen Wise. C’était pratiquement toute la
délégation.”
Quant à la délégation allemande il y eût tout
d’abord celle qui signa la paix et qui fut menée
par Erzberger avec les Juifs Lédebour, Toller et
Landauer. Mais il y eut aussi celle qui s’attela à
la discussion des “réparations” où nous retrouvons
outre Walter Rathenau les Juifs suivants:
Wasserman, Mendelshon, Bartoldy, Max Warburg,
Oscar Oppenheimer et L. Deutch c-à-d toute la
délégation. Sans oublier les délégations anglaise
et française toutes farcies de francs-maçons et de
Juifs.
* * *
Nous venons de constater, que deux grands hommes cultivés et intelligents mais de cultures
et de nationalités différentes, c-à-d Henri Ford
et le général Ludendorff, aboutissaient tous deux
aux mêmes conclusions c-à-d à l’existence d’un
gouvernement mondial déjà bien structuré et mis en
place pour le malheur des nations. Mais fin 1919
un troisième homme, qui avait abouti aux mêmes
conclusions, entre lui aussi en scène. Ce n’est à
cette date encore qu’un obscur ex-caporal devenu
Bildungsofficier dans l’armée allemande nouvelle
cantonnée à Munich. Il deviendra un grand chef
d’état, ce qui lui permettra de donner une grande
résonance à ses déductions. Cet homme, Adolf
Hitler, encore inconnu, symbolise cependant le
point de vue de la masse du peuple allemand suite
à la curieuse défaite de 1918. Voici à ce sujet
son raisonnement, qu’il développa en 1920 lors
d ‘ u n d e s e s p r e m i e r s m e e t i n g s à l a
Hofbrauhauskeller de Munich: “…En acquérant des
actions les Juifs entrèrent de plein pied dans
l’industrie, et grâce aux tripotages boursiers ils
ont accru leur pouvoir sur le terrain économique.
Avec la franc-maçonnerie tombée complètement en
leur pouvoir,ils obtiennent insensiblement une
grande influence sur la grosse bourgeoisie
économique, financière et politique. Ensuite avec
une rare persévérance et une habileté consommée
ils prennent en main la majorité de la presse, et
par tous ces relais, ils commencent à manipuler
l’opinion publique. A ce stade ils s’emploient
d ‘ a b o r d à s o u t e n i r e t à e n s e i g n e r l a
“démocratie” (c-à-d un vote une voix); mais cette
démocratie est truquée à la base, car la majorité
est bête et ignorante, cette ignorance étant
subtilement entretenue par leur presse; ensuite
parce que cette presse s’ingénie à créer sciemment
la rupture sociale à tous les niveaux par l’envie
et par le mensonge. Dès que le pourrissement
démocratique est ainsi obtenu et que les diverses
c l a s s e s s o c i a l e s s ‘ e n t r e – d é c h i r e n t a v e c
acharnement, les Juifs développent une autre idée;
celle de la dictature du prolétariat. La Russie
peut nous servir d’exemple à l’aboutissement de ce
processus, où les Juifs, avec une sauvagerie
fanatique, laissèrent mourir de faim et sous la
torture des millions d’êtres humains avec pour
seule finalité d’assurer à une mafia de Juifs,
littéralement de bandits de la Bourse, l’hégémonie
sur tout un peuple. Ce schéma n’a pas réussi en
Allemagne, d’une part parce que le peuple
allemand, à l’inverse du peuple russe, n’était pas
mûr pour une procédure aussi sanglante, mais
surtout à cause de la grande homogénéité de sa
population. En Allemagne la classe ouvrière et la
classe intellectuelle sont racialement homogènes
et de culture semblable. Alors que ce n’était
nullement le cas en Russie; de sorte qu’il leur
fut possible là-bas de mobiliser facilement les
masses ignares et analphabètes contre une classe
d i r i g e a n t e c u l t u r e l l e m e n t e t r a c i a l e m e n t
différente. Cette masse russe a juste changé de
maître sous le fallacieux mensonge de la dictature
du prolétariat. L’homogénéité raciale allemande
nous a sauvés de la bolchevisation, mais seule à
la longue la pensée Nationale-Socialiste peut nous
éviter de tomber sous le joug de la finance
internationale juive. Comme tant de fois dans
l’Histoire l’Allemagne est en première ligne dans
ce nouveau combat de Titans. Si elle réussit, non
seulement l’Allemagne, mais le monde entier seront
sauvés de cette dictature sanglante et financière;
mais si le National-Socialisme échoue le monde
entier sera à la merci de ce poulpe aux nombreuses
tentacules.”
L’Allemagne s’était en effet sauvée (du moins
temporairement) principalement grâce à son
homogénéité raciale, et c’est pour cette raison,
qu’à l’heure actuelle le mondialisme impose
partout les mélanges raciaux les plus poussés
possibles, et cela malgré l’échec retentissant de
l’exemple américain. Les loges, l’ensemble des
médias (écrits et télévisés) et même de nombreux
relais “chrétiens” aiguillonnent les masses afin
d’obtenir ces mélanges raciaux et afin de
sanctionner durement les peuples qui s’y refusent.
Quiconque s’y refuse est instantanément traité de
“nazi”, quoiqu’il pourrait tout aussi bien être
traité de juif; car le peuple le plus raciste de
la terre est le peuple juif, parce qu’il sait
pertinemment bien que sa prodigieuse réussite,
m a l g r é s a d i s p e r s i o n , r é s i d e d a n s s o n
intransigeance raciale, qui l’a gratifiée d’un
mental si particulier.
Le refus de l’autre est un élément constitutif
du judaïsme au point que certains ont pu affirmer
que cette religion est la mère de tous les
racismes. En effet le DEUTERONOME VII,3 dit: “Tu
ne donneras pas ta fille à leur fils et tu ne
prendras pas leur fille pour ton fils.”
Dans son livre sur Israël Roger Garaudy nous
explique, que les lois de citoyenneté des
lsraéliens sont pires que les lois racistes des
nazis. Il reprend les dires de Haïm Cohen, qui fut
juge à la cour suprême d’Israël et qui dit:
“L’amère ironie du sort a voulu, que les même
thèses biologiques et racistes propagées par les
Nationaux-Socialistes, et qui ont inspiré les lois
de Nuremberg, servent de bases à la définition de
la judaïcité au sein de l’Etat d’Israël.”
En outre dès 1920, Hitler, héros décoré de la
grande guerre développa régulièrement lors de ses
meetings l’idée de la nécessité pour l’Allemagne
d’une réconciliation définitive avec la France et
avec l’Angleterre. Pour lui un seul danger
menaçait réellement (et menacera toujours)
l’Allemagne et à travers elle le monde entier;
c’est le bolchevisme. Pour cette raison il
réclamera toujours avec insistance la création
d’une entente anglo-franco-allemande, et il
comprit toujours mal que les dirigeants de ces
deux autres pays n’estimaient pas à sa juste
valeur le danger de subversion marxiste, dont tous
étaient menacés. Son analyse du mondialisme juif
est parfaite, mais il ne parviendra jamais à
admettre, si ce n’est fort tard, que l’ensemble
des classes politiques anglaise et française ne
puisse comme lui penser en premier lieu au bien de
leur peuple respectif. Toute sa vie il va espérer
cette compréhension, qui ne viendra jamais. Et
pour cause, les politiciens de ces deux pays sont
pour la plupart gangrenés jusqu’à la moelle. Tous
doivent leur position de dirigeants, de près ou de
loin, à l’argent et à la propagande, par médias
interposés, de ce mondialisme juif. Dans ses
années de luttes il répétera souvent à son
entourage: “Il faut absolument unifier l’Europe
avant que la Russie ne soit prête à se lancer à
l’assaut du monde occidental. Pourquoi suis-je
forcé d’agir comme je le fais? Parce que tout le
monde est aveugle, parce que personne ne veut voir
le danger. Si j’échoue l’Europe sera perdue.”
Dès l’entre-deux guerres il existe déjà en
France plus de 700.000 Juifs, dont les principaux
dirigent l’ensemble du monde bancaire, avec les
Rothschild, les Lazare, les Schlumberger, etc…
En outre ils possèdent toutes les agences de
presse, la plupart des principaux journaux et des
maisons d’édition ;et pour le reste ce sont leurs
amis et élèves de la franc-maçonnerie, qui le
gèrent. N’oublions pas non plus qu’en France la
droite nationaliste reste fort divisée, qu’elle
comporte pas mal de revanchards “anti boches”
comme Maurras et les siens. Ces aveugles mentaux
là ne fourniront jamais aucun soutien au NationalSocialisme et à l’Allemagne. En Angleterre le roi
Edouard VIII, malgré l’importante proportion de
sang juif, qui coule dans les veines de toute sa
famille, fut toujours assez favorable à Hitler;
mais à cause de ce “penchant” justifié la mafia
juive parvint à le démettre grâce à son amour pour
la roturière juive américaine miss Simpson. Et ce
roi préféra abdiquer en faveur de son frère, afin
de se marier et de roucouler en paix. Romance et
mariage très correct au regard des frasques du
mari de l’actuelle reine Elisabeth II, lord
Mountbatten, don Juan qui fut impliqué dans
l’affaire Keller, cette call-girl manipulée par
l’espionnage soviétique. Au regard aussi des
frasques de leurs descendants le prince Andrew et
sa femme, et surtout de celles du prince Charles
l’actuel prétendant au trône. Frasques dévoilées
dans la grande presse à sensation juive, cette
fois dans le seul but de “faire du fric” et non
dans celui de l’écarter du pouvoir, car il est
entièrement dévoué au mondialisme. En effet il fut
formé par son conseiller privé et ami Armand
Hamer, juif d’origine russe émigré aux USA,
banquier et marchand de pétrole, communiste
convaincu et longtemps le seul américain à pouvoir
se promener partout en URSS, même du temps de
Staline. Cette confiance que lui témoignait les
S o v i e t s i n d i s p o s a m ê m e u n t e m p s s o n
coreligionnaire le grand Rockefeller.
Mais revenons à nouveau en arrière. Hitler, à
juste titre, considérait la Russie comme un
conglomérat de peuples et de races ignares, qui
furent toujours organisés et dominés par des
peuples étrangers plus évolués. Ce furent d’abord
des Vikings, qui fondèrent le royaume de Kiev;
ensuite durant longtemps des Germains, comme au
temps de l’impératrice Catherine II, et maintenant
les nouveaux maîtres étaient les Juifs marxistes.
Et comme dans l’avenir proche (nous sommes au
début des années vingt) le rôle principal de la
lutte antibolchevique sera dévolu au peuple
allemand, Hitler demandait qu’en échange de cette
peine, de cette future intervention et aussi en
échange des colonies allemandes perdues en 1918,
les Français et les Anglais lui permettent de
coloniser une partie des terres russes pour sa
surpopulation; d’autant que déjà de nombreuses
petites colonies allemandes se trouvaient
éparpillées jusqu’à la Volga. Sans oublier de
rendre à l’Allemagne l’ensemble des terres
allemandes indûment distribuées en 1919 à
certaines populations slaves. En échange de cet
accord il s’engageait de ne plus jamais réclamer
les anciennes terres coloniales allemandes, que
les Anglais et Français s’étaient empressés de se
partager en 1918.
Hitler était un éthologue avant la lettre,
tout son raisonnement était basé sur le fait, qu’à
son époque en Allemagne il y avait plus de 137
habitants au Km2 et seulement 7 au Km2 en Russie
jusqu’à la Volga. Toute son idéologie basée sur la
communauté de sang prônait d’éviter les mélanges
de races et de peuples. Et par conséquent il
regrettait que le Kaiser Guillaume II se soit
lancé dans la course aux colonies lointaines, ce
qui risquait de rabaisser la valeur du sang
germanique par des mariages avec des autochtones,
et qui risquait en outre d’indisposer les grandes
puissances coloniales anglaise et française. En
outre il ne demandait pas des terres pour y faire
travailler des indigènes au service des Allemands,
mais simplement d’obtenir des terres par l’épée,
qu’ensuite des paysans allemands cultiveront euxmêmes avec leur charrue. Car le peuple allemand
est travailleur et ne refuse pas la peine.

C’était là une exigence minime et de bon sens,
que les peuples français et anglais avaient tout
intérêt à accepter; à condition bien sûr de ne pas
être manipulé par une coterie judéo-maçonnique;
celle-ci n’œuvrant plus depuis longtemps au bien
des peuples qui l’hébergeaient, mais travaillant
opiniâtrement à la réalisation du grand oeuvre
judéo-maçonnique mondialiste planifié par les
Sages de Sion, reprise tout d’abord par les
“Illuminés de Bavière” du Juif Weishaupt et par
les loges française de la révolution de 89,
réactivée et réaffinée par Téodor Herzl et sa
bande de Juifs fanatiques. La preuve de cette
immense influence judéo-maçonnique fut encore
fournie durant ce que l’on qualifie de la “Drôle
de Guerre”, c-à-d durant le début de la seconde
guerre mondiale de septembre 1939 à mai 1940. En
effet après la victoire rapide sur la Pologne il y
eut des pourparlers de paix (nous y reviendrons)
entre Berlin et les milieux antibellicistes
a n g l a i s d i r i g é s p a r N e v i l l e C h a m b e r l a i n .
L’Allemagne acceptait de cesser la guerre pourvu
que l’on maintienne ses droits sur le corridor de
Dantzig et sur la région de la Warthe peuplée en
grande majorité d’Allemands. Une fois acquis
l’accord de principe donné par Londres aux
négociateurs officieux, et alors que tout semblait
pouvoir s’arranger, le gouvernement anglais
” o f f i c i e l ” f i t c o n n a î t r e d e u x e x i g e n c e s
supplémentaires, soit: 1) L’Allemagne devait
renoncer à son autarcie, adopter l’étalon or,
ensuite faire retour au libre échangisme, et 2)
L’Allemagne doit autoriser la réouverture des
loges maçonniques, qu’elle avait fermées en 1933.
Ces nouvelles exigences, qui firent capoter
l’accord de paix pratiquement signé, furent
révélées en 1947 dans le bulletin très autorisé de
la “National Industrial Dévlopment Association of
Eire”. Postérieurement l’article fut confirmé par
Craigh Scott, diplomate assez connu, qui avait
participé en 39 aux négociations, et qui ne fut
jamais démenti. Craigh Scott a accusé publiquement
le gouvernement anglais dans une conférence à
l’hôtel de ville de Chelsea d’avoir provoqué la
guerre uniquement pour défendre l’étalon or et la
franc-maçonnerie, deux instruments du mondialisme
juif. C’est d’ailleurs aussi sous la pression du
Juif sir Montague Norman, que Churchill proposa
d’inclure le retour à l’étalon or dans la “Charte
de l’Atlantique”. Ces faits sont repris et
commentés dans le livre de Joaquim Bochaca Criol
intitulé: “La Historia de los Vencidos; el
Suicidio del Occidente.” (édition BAU, Barcelona
1976, tome I page 182)
Au moment de la réoccupation de la Ruhr et de
la Rhénanie par les troupes françaises, Hitler
douta un temps de sa politique d’entente avec la
F r a n c e ; a v e c c e t t e F r a n c e r e v a n c h a r d e e t
marxisante. Mais cet état d’esprit dura peu. Assez
cependant pour paraître dans certaines éditions de
son “Mein Kampf”. Mais en 1936, grâce à un
plébiscite en sa faveur Hitler put réoccuper les
régions rhénanes avec ses troupes. Ensuite il ne
cessa d’essayer d’attirer à lui la France, et
c’est pour cette raison, que les conditions
d’armistice en juillet 1940 suite à sa victoire
éclair sur la France, furent si légères. Pour
cette raison aussi, qu’à la suite de son entrevue
de Montoire avec le maréchal Pétain, il accepta de
nombreuses décisions contraires à ses intérêts.
Hitler voulait une paix définitive avec la France.
Il reconnut avoir fait toutes ces concessions dans
ce seul but devant ses chefs d’état-major Keitel
et Jodl, devant son ordonnance Schultze, devant
Kempka son chauffeur, et plus tard devant Bormann,
qui en reparle dans ses: “Libres propos sur la
guerre et la paix.” De toute façon, dès 1936
Hitler désirait tellement la paix avec la France,
qu’il dérogea à tous ses principes. En effet il
proclama toujours n’avoir de cesse avant de
ramener dans le giron de la mère patrie tous les
Allemands obligés de subir des gouvernements
étrangers (polonais, tchèques, yougoslaves,
etc…) Or, il annonça publiquement, et il tenait
toujours parole, ne plus jamais vouloir réclamer
l’Alsace et la Lorraine en contrepartie d’une
entente ferme et définitive avec la France. Il
accepta de même de sacrifier les Allemands du
Haut-Adige pour une entente ferme avec Mussolini.
Et de même pour obtenir une paix définitive avec
l’Angleterre, il renonçait non seulement à la
possession de colonies hors d’Europe, mais il
signa en 1935 un accord maritime, où il acceptait
que son tonnage maritime (de guerre et marchand)
ne soit jamais supérieur au tiers du tonnage
anglais. Les Anglais apprécièrent un temps, mais
la “perfide Albion”, qui mérita cette fois encore
ce qualificatif, ne lui en déclara pas moins la
guerre en septembre 1939.
Hitler s’est toujours borné à ne promettre,
que ce qu’il pouvait tenir et qu’il avait
l’intention de tenir. Il n’a jamais menti ni fait
de fausses promesses. C’est là aussi une des
raisons de la haine profonde, qu’il a suscitée
chez tous les hommes politiques des “démocraties”,
qu’ils soient de son temps ou actuels. En ne
faisant pas comme tous ses adversaires des
promesses impossibles, il faussait les règles du
jeu. Il se tenait à l’écart du syndicat des
meneurs de peuples, dont le but tacite et inavoué
est l’exploitation de la crédulité humaine. Pour
lui les “Universalistes” ont toujours été soit des
utopistes, soit surtout des cyniques, qui trompent
t o u t l e m o n d e e n p r o m e t t a n t u n ” P a r a d i s
inaccessible”, toujours pour demain,ou même,
comble de cynisme, dans l’au-delà. Pour lui le
National-Socialisme était, ou plus exactement
devait être, un paradis à portée humaine, c-à-d
une amélioration constante du sort de son peuple.
Autant Hitler désirait ardemment la paix et l’entente à l’Ouest autant par contre il restait
intransigeant à l’Est. Sa jeunesse autrichienne et
viennoise l’avait rendu méfiant et peu favorable
vis-à-vis des peuples slaves, qu’il fut forcé de
f r é q u e n t e r . P o u r l u i t o u s l e s S l a v e s n e
constituaient qu’un conglomérat de peuples
arriérés, instables, paresseux et revendicatifs
vis-à-vis des Germains. Et cependant, très
instruit en Histoire, Hitler savait, que depuis
les chevaliers teutoniques en passant par la
grande Catherine II et jusqu’en 1918 ces peuples
slaves furent toujours dominés, dirigés et
c i v i l i s é s p a r d e s m i n o r i t é s g e r m a n i q u e s
aventureuses. Depuis l’empire romain les terres de
l’est représentèrent toujours pour les Germains
leurs terres d’expansion, leur Far-West, leurs
terres de colonisation et de grand Trek. En
témoignaient encore en 1918 les nombreuses
communautés germaniques de l’Ukraine et de la
Volga; communautés que Staline déplaça de force en
Sibérie dans l’entre-deux-guerres.
En outre Hitler, cet élève brillant en
Histoire, savait, que depuis la Rome antique les
Germains constituèrent toujours le rempart de
l’Europe contre les grandes invasions venues des
steppes. Et maintenant, concluait-il, un autre
danger, bien plus grand encore que les invasions
antiques, se levait à l’Est et menaçait non
seulement l’Allemagne, mais toute l’Europe
civilisée. Ce danger, LE BOLCHEVISME, alliait à la
barbarie coutumière des peuples slaves, le mépris
pour la vie humaine des peuples mongols, le
sadisme et le fanatisme religieux des plus
acharnés des Sémites.
Le bolchevisme restera toujours la hantise de
Hitler. D’une part parce qu’il l’avait vu à
l’oeuvre dans sa jeunesse et après la défaite,
mais aussi et surtout parce qu’il restait bien
renseigné et au courant de tous les événements,
des massacres et des déportations massives en
URSS, de même que sur les luttes pour le pouvoir
d a n s c e v a s t e e m p i r e . L e s r e n s e i g n e m e n t s
foisonnaient grâce aux nombreux émigrés russes
réfugiés en Allemagne, grâce aux opposants
ukrainiens de Pétlioura, grâce enfin aux réseaux
mis en place par son adjoint Rosenberg, lui-même
marié à une belle slave. Celle-ci se révéla plus
tard être un agent de la Guépéou et elle disparut
brusquement en livrant aux Russes tous les réseaux
d’espionnages allemands.
Or, que se passait-il en Russie? Depuis 1917 à
fin 1920 des armées blanches (les Russes
antibolcheviques) s’opposaient avec succès aux
voyous bolcheviques de Trotsky. Au début ces
“Blancs” furent activement soutenus par la France
et par l’Angleterre, et surtout dans ce dernier
pays par sir Henri Déterding, le tout puissant
directeur de la Deutch Pétroléum Company (BP).
Mais fin 1920 sous les ordres de l’entourage juif
de Churchill, les Anglais abandonnèrent les armées
blanches alors en pleine offensive victorieuse, en
faisant assassiner l’amiral Koltchalk par la garde
tchèque et, par l’intermédiaire de la francmaçonnerie en fournissant à l’armée de Wrangel des
munitions rares et inadéquates. Ce truc des
munitions inadéquates fut utilisé au même moment
par les Yankees pour désorganiser l’armée
victorieuse, elle aussi, de Pancho Villa au
Mexique. Et cela malgré que Villa fut franc-maçon;
mais son ennemi le général Obrégon l’était aussi
et nettement plus souple envers la haute finance
juive américaine. Que ce simple fait serve de
leçon aux dévoués Francs-maçons; le Juif n’a
jamais d’amis autres que ceux de sa race; et
encore.
En 1921, Lenine, ce “brave” champion de la
paix, cette douce colombe comme le décrivaient les
médias enjuivés d’Amérique et d’ailleurs, signe le
décret-loi organisant le Goulag, où mourront des
dizaines de millions d’opposants et d’esclaves,
même de nombreux communistes de la première heure.
En janvier 1924 ce “grand bienfaiteur juif de
l’humanité” crève enfin à la suite de plusieurs
attaques cérébrales. Ce même mois de janvier 1924
Hitler est condamné à cinq ans de prison à la
forteresse de Landsberg, suite au putsch manqué du
9 novembre 1923, lorsque les Nationaux-Socialistes
avaient tenté de renverser le gouvernement
b a v a r o i s d e G u s t a v v o n K a h r . C ‘ é t a i t u n
gouvernement de réactionnaires sécessionnistes et
les Nationaux-Socialistes préconisaient toujours
une grande Allemagne unie. Mais en novembre 1924
Hitler sort de prison et commence à réorganiser
avec poigne son parti le NSDAP. A la même époque
Staline (de son vrai nom Joséf Vissarionovitch
David Nijéradze Chizhdov Djugaschvili), juif né en
Géorgie, de 10 ans son aîné, a 45 ans. Il avait
été instruit en politique et en marxisme par son
professeur juif Noah Jordania, et il détenait déjà
depuis plusieurs mois le pouvoir absolu en URSS.
De telle sorte, qu’en cette fin d’année 1924
Staline développa devant les instances supérieures
du bolchevisme (la Tverskaia) son plan afin
d’implanter la peste bolchevique dans le monde
entier. Ce plan fut ensuite bien exposé dans son
livre intitulé: “Problèmes du léninisme.” Il
considère d’abord, qu’arrivé à cette troisième
étape du bolchevisme (la première étant la prise
du pouvoir dans le Nord, la seconde la victoire
sur toutes les armées blanches) il faut:
1) Avant tout consolider le bolchevisme en
URSS en l’affublant du nom de “Dictature du
Prolétariat”, afin de piéger tous les gogos et les
masses ouvrières exploitées des autres pays. Au
contraire de Trotsky et des trotskystes, qui
préconisaient une révolution générale permanente
et immédiate, Staline voulait d’abord bien assurer
et bien organiser sa base arrière. Tous les deux
voulaient instaurer le bolchevisme sur la terre;
seule la façon d’y parvenir différait. Staline
l’emporta grâce à l’appui de ses coreligionnaires
juifs banquiers aux USA; grâce aux Warburg,
Gugenheim, Axelberg, Rockefeller et consort, qui
estimaient les temps non encore mûrs et “venus”
pour la méthode trotskyste. Staline et Trotsky
étaient pour eux tout aussi fanatiques et dévoués,
mais la prudence joua, comme elle jouait depuis
déjà des millénaires.
2) Et pour Staline c’est seulement après avoir
organisé et bien assuré sa vaste base arrière, cà-d l’URSS, qu’il acceptait d’exporter le
bolchevisme ailleurs en préconisant que:
3) La force principale et active de la
révolution mondiale doit être la “Dictature du
P r o l é t a r i a t ” a u x d é p e n s d e s m a s s e s
révolutionnaires prolétaires. Et Victor Serge,
autre juif communiste, journaliste à la Pravda et
auteur d’un livre intitulé: “Hitler contre
Staline” ajoute que: “Pour Staline la révolution
mondiale préconisée par le marxisme juif ne
reconnaît aucune frontière, ni raciale, ni
religieuse, ni politique.” C’est ainsi que
joignant l’acte aux discours Staline s’empressa
d’annexer à l’URSS par la terreur et par la force
brutale: 1) La Géorgie et l’Arménie chrétiennes,
qui refusaient le bolchevisme athée, 2) Le
Tadjikistan, l’Uzbekistan, la Turkménie et la
Kirghisie, ces pays islamiques qui ne voulaient
pas non plus du bolchevisme si éloigné de leur
croyance, 3) Ainsi qu’un ensemble de petites
nations caucasiennes, comme les Ossètes, les
cosaques du Kouban et du Térek, etc…
En outre Staline voulait parachever la
révolution économique commencée par Lénine. En
effet afin de faciliter l’implantation du
bolchevisme et de s’attirer les masses Lénine
avait commencé à n’exterminer que les gros et les
moyens propriétaires terriens, en promettant aux
humbles paysans la redistribution et le repartage
des terres. Pour Staline le temps était venu fin
1924 d’imposer dans les campagnes la dictature du
prolétariat, c-à-d de collectiviser toutes les
terres et de mettre au pas les petits paysans
appelés Koulaks. En cela il appliquait les
décisions des “Protocoles des Sages de Sion” qui
prescrivaient de supprimer toutes les propriétés
au profit unique de l’état, c-à-d de ses
dirigeants, Juifs pour la plupart avant d’être
enfin totalement juif (le peuple élu). Et
l ‘ a m b a s s a d e u r a m é r i c a i n d e l ‘ é p o q u e , l e
journaliste juif Bullitt, enthousiaste partisan
des Bolcheviks, écrivit: “Pour collectiviser
l’agriculture Staline supprima les petits
propriétaires. S’ils protestaient, et ils furent
des millions à le faire, Staline les faisait
fusiller ou les envoyait au Goulag en Sibérie, où
l a p l u p a r t p é r i s s a i e n t s u i t e a u x m a u v a i s
traitements et aux travaux forcés.” La conséquence
de ce traitement fut la famine; et Victor Serge
note dans la Pravda du 28 janvier 1935 que: “Cinq
millions et demi de Koulaks furent déportés en
Sibérie.” Il ne parle naturellement pas de tous
ceux, qui furent fusillés sur place. Mais
actuellement, depuis les révélations de Kroutchev
et de ses successeurs, l’on peut sans se tromper
estimer à plus de 30 millions les morts de cette
folie, morts par balles, par travaux forcés, par
marches à la mort ou même par famine. Le “paradis
soviétique” était en marche.
Afin d’obtenir toujours plus de mains d’œuvre
dans ses Goulags, Staline y envoya ensuite tous
les délinquants, grands et petits, en abaissant
l’âge de la déportation à 12 ans, c-à-d que des
enfants volant pour manger à cause de la famine y
f u r e n t a u s s i d é p o r t é s . D u r a n t c e s a n n é e s
terribles, seule la Nomenklatura (principalement
juive) vivait grassement. Ensuite l’on déporta les
parents, de près ou de loin, des délinquants.
Ensuite vint le tour des exilés politiques et de
leur famille, puis celui des “opposants”, de leurs
familles et même de leurs voisins. Ne pas dénoncer
s o n v o i s i n ” s o u p ç o n n é ” d ‘ e s p i o n n a g e v o u s
assimilait en “opposant au régime”, c-à-d en futur
esclave d’un Goulag. Le pays devint ainsi un vaste
empire de délateurs terrorisés à la simple pensée
de pouvoir être accusé d’opposant. C’est le même
processus, quoique non encore aussi parfait et
aussi poussé (mais on y viendra), que les Juifs
ont mis en place actuellement dans nos régions de
l’ouest européen, où le terrorisme intellectuel
est devenu tel, que la majorité tremble à l’idée
d’être un jour qualifiée de raciste ou de
fasciste. Il n’y a pas encore de Goulag comme
sanction, mais déjà des amendes sévères, des
procès coûteux et des pertes d’emploi pour tout
déviationniste de la pensée. La surveillance
s’exerce par les différentes ligues juives et
gauchistes,ou même par de simples citoyens se
portant partie civile. Etre simplement accusé
c’est déjà être coupable. Les lois iniques FabiusGayssot ou Moureau-Erdekens,etc, furent créées
spécialement pour empêcher toute opposition au
mondialisme. Les “Droits de l’homme” si chers aux
“Démocrates” sont de ce fait perpétuellement
foulés aux pieds; qu’importe, pas de pitié ni de
liberté pour les ennemis de la liberté; traduisez
pour les ennemis du mondialisme juif. Pire même;
Si vous êtes propriétaire, interdiction de refuser
d’héberger ou de louer votre logement à des
étrangers; sinon procès. Si vous dirigez une
entreprise, interdiction de refuser une maind’œuvre étrangère; sinon boycottage et procès.
Interdiction même de conter ou de raconter des
blagues sur des étrangers noirs ou nordafricains,ou vous pouvez vous retrouver vite fait
devant les tribunaux. Seules sont admises les
blagues ridiculisant des Belges, des Suisses ou
des Français. Et, comme en Russie bolchevique, en
communauté européenne actuellement être né juif
vous situe d’office parmi les privilégiés; vous
pouvez alors tout vous permettre, ne devez plus
jamais être critiqué dans aucun de vos actes; vous
devez être engagé préférentiellement partout (vous
passez même devant les nègres et les maghrébins),
car certainement un membre de votre famille,
proche ou éloigné, a dû subir les persécutions
nazies.
Pour bien comprendre ce qui les attend à
terme, les “Démocrates” de l’Ouest n’ont qu’à
réétudier l’Histoire et les lois de la Russie
bolchevique; et dites-vous bien, que nous n’en
sommes encore qu’au stade de la “Méthode Douce”.
On peut facilement faire basculer chaque peuple en
“Régime Dur” comme en Bosnie, en Palestine, en
Tchétchénie, en Irak ou en Armenie. Quand les
peuples comprendront-ils? Et comprendront-ils
jamais ? Relisez les “Protocoles des Sages de
Sion”. Là il est bien expliqué, qu’après
l’instauration du règne d’Israël, l’on éliminera
tous les Goyim, qui avaient aidé à cette mise en
place; et parmi eux principalement les frères
maçons, qui constituent un état dans l’état. Comme
en URSS les purges seront successives, et après
avoir éliminé les opposants, l’on s’attellera à
éliminer de nombreux “sympathisants” de la première heure; les chrétiens enjuivés et les
Juifs synthétiques c-à-d les frères maçons trop
z é l é s o u t r o p ” a u c o u r a n t ” . D e n o m b r e u x
communistes l’apprirent à leurs dépens.
La “Dictature du prolétariat” n’est qu’une
façade, un slogan de propagande, qui cache la
dictature d’une poignée “d’étrangers” sur un
conglomérat de peuples asservis et terrorisés. Et
de nombreux communistes sincères, suite à leur
voyage en URSS à l’époque de Staline en revinrent
totalement écoeurés, guéris et vaccinés de ce
“virus politique”. Tous l’écrivirent et le
clamèrent bien haut, comme Doriot en France, comme
Walter Citrine le secrétaire général des Trade
Unions de l’époque, comme l’écrivain mexicain
Pédro Gonzalez Blanco, qui écrivit suite à son
voyage: “Tigrocracia stalinina”, comme Max Eastman
professeur de philosophie à l’université de
Colombia, qui écrivit: “La Russie de Staline”,
comme le président mexicain, le général Abélardo
Rodriguez, qui écrivit: “Impréciones de mi viaje a
Russia”, etc…
En 1938, après la énième grande purge
stalinienne, le parti communiste russe ne comptait
plus que 1.700.000 membres, dont plus de 700.000
Juifs, la plupart aux postes de commande de
l’administration, de la finance, de l’industrie et
d e l ‘ e n s e i g n e m e n t ( t o u s l e s c o m m i s s a i r e s
politiques de l’armée étaient juifs, de même que
de nombreux membres des polices secrète et
politique.) A noter qu’à cette époque la Russie
comptait environ 140 millions d’habitants dont 3
millions de Juifs. Cette prééminence juive dans le
parti et dans tous les rouages de l’état explique
la suppression de tout enseignement religieux aux
jeunes de moins de 18 ans. Mieux, l’on publia un
“Manuel Antireligieux” obligatoire dans les
écoles. Pour le marxisme l’enseignement est une
arme, qui doit être utilisée dès le berceau
jusqu’à la tombe. Curieusement les “Démocraties
Occidentales actuelles” agissent de même, plaçant
préférentiellement l’enseignement dans les mains
d e g a u c h i s t e s d e t o u t p o i l ( s o c i a l i s t e s
internationalistes, communistes ou chrétiens de
gauche). N’avons-nous pas vu toutes les écoles
être obligées de visiter toutes les grandes
expositions mises au point par l’idéologie
dominante “démocratique”. Depuis la fameuse
exposition: “Tous égaux et tous frères” où l’on
tentait de nier l’existence des races humaines et
de leurs différences, jusqu’à la fameuse: “J’avais
20 ans en 1940”, exposition mise sur pied
uniquement afin de diaboliser le seul régime
politique, qui parvint un temps à tenir tête au
mondialisme. Sans oublier les nombreux voyages
o r g a n i s é s à A u s c h w i t z e t a u t r e s l i e u x
holocaustiques pour les jeunes cervelles “mal
informées”, le tout aux frais des contribuables
belges et français. Le bourrage de crânes se porte
bien, merci.
* * *
Je le répète, Hitler fut le seul homme
politique, qui ne dissimula jamais ses intentions,
e t q u i n e c h a n g e a j a m a i s d e c o n c e p t i o n
philosophique, ni d’idéal, ni de cap. Ses
e x p é r i e n c e s d e j e u n e s s e l ‘ a v a i e n t r e n d u
foncièrement nationaliste et antibolchevique. Il
avait aussi compris dans sa jeunesse, que pour
combattre efficacement la terreur marxiste le seul
moyen était d’agir par une contre-terreur tout
aussi brutale. Il nous dit: “La tactique de la
terreur est fondée sur une estimation exacte de
toutes les faiblesses humaines, et sa réussite est
d’une certitude presque mathématique. On ne lutte
pas contre les marxistes à coups d’arguments ou de
discours. A la terreur, qu’ils font régner dans
l’atelier, à l’usine, dans les lieux de réunion ou
lors des grandes manifestations populaires, il
n’est qu’une seule réponse possible; une contreterreur équivalente.” Et il ajoute dans ses:
“Libres propos sur la guerre et la paix”: “J’ai vu
les hommes mourir par milliers autour de moi dans
les tranchées. J’ai appris ainsi que la vie est
une lutte cruelle, qui n’a d’autre fin que la
conservation de l’espèce. L’individu peut
disparaître pourvu qu’il y ait d’autres hommes
pour le remplacer… Par nature je serais plutôt
différent; j’aimerais ne voir souffrir personne,
ne faire du mal à personne. Mais quand je
pressens, que l’espèce est en danger, la raison la
plus froide se substitue chez moi au sentiment. Je
deviens uniquement sensible aux sacrifices
énormes, qu’exigera l’avenir faute d’avoir
consenti aujourd’hui à des sacrifices limités.”
Inutile de préciser que par espèce Hitler
entendait la race germanique.
Certains historiens tentent encore de faire
croire, que le pacte de Hitler avec Staline en
a o û t 1 9 3 9 f u t u n e t r a h i s o n d e s o n i d é a l
antibolchevique. Il n’en fut rien; il voulait
juste soustraire au plus vite les Allemands de
Pologne tracassés, assassinés et martyrisés par un
état polonais dominé et dirigé par la judéomaçonnerie. (Lire à ce sujet le “livre blanc”
publié en 1940 sur les atrocités en Pologne en
1939). L’état polonais dirigé par des francsmaçons était excité à agir en ce sens par les
bellicistes judéo-maçons d’Angleterre et des USA
avec à leur tête les véritables instigateurs de la
seconde guerre mondiale, l’ivrogne Churchill et le
juif mondialiste Franklin Délano Roosevelt. Ces
bellicistes firent accroire aux Polonais, qu’au
premier coup de fusil Hitler serait renversé par
la clique des traîtres du haut état-major
allemand; clique manipulée par le fameux amiral
Canaris, d’ascendance juive, une des plus grandes
crapules que la terre ait porté.
Sans les provocations continuelles de la part
des Polonais, jamais Hitler n’aurait accepté de
signer le pacte germano-soviétique. Il le fit
c o n t r a i n t e t f o r c é p o u r s a u v e r d e s v i e s
allemandes; et encore pour l’éviter s’ingéniait-il
à d’ultimes tentatives de médiation fin août 1939
avec les Polonais d’une part, avec les Anglais et
Français d’autre part par l’intermédiaire de
Goering, de l’industriel suédois Dahlérus et de la
Croix-rouge suédoise (lire à ce sujet: “Les
Responsables de la seconde Guerre Mondiale” par
l’historien Paul Rassinier, édition NEL). Mais à
cette occasion Hitler tomba dans le piège
mondialiste, tout comme le peuple polonais, à qui
les médias juifs de Pologne firent croire, que
cette guerre serait rapide, franche et joyeuse et
que les tanks allemands étaient en carton.
Croyance qui poussa des régiments de cavalerie
polonais à charger sabre au clair et en gants
blancs des blindés allemands bien réels.
Après Munich, il y eut une conférence pour
améliorer le bon voisinage franco-allemand. La
réunion se fit le 6 décembre 1938 à Paris. Lors de
cette réunion, mine de rien le ministre Bonnet
déclara devant témoin (dont Paul Schmidt) à von
Ribbentrop, que: “La France a l’intention de se
consacrer exclusivement au développement de son
empire colonial et dorénavant se désintéresse de
l’Est européen; elle l’a prouvé à la conférence de
Munich.” Von Ribbentrop rapporta ses propos à
Hitler et tous deux en conclurent avec raison,
qu’ils pouvaient alors demander sans crainte le
règlement du contentieux germano-polonais au sujet
de Dantzig et de la Warthe. Ils pouvaient encore
être renforcé dans cette opinion, du fait qu’il
existait déjà depuis un certain temps une tension
entre Varsovie et Paris; tension, qui avait
conduit entre autres les presses anglaises et
françaises à lancer de très violentes attaques
contre les Polonais, car ces derniers avaient
profité de la crise tchèque pour récupérer les
régions de Teschen et d’Olsa (sur le dos des
Tchèques) et aussi pour l’attitude du premier
ministre polonais Beck envers ses Juifs (il
préconisait de tous les envoyer à Madagascar).
B o n n e t a j o u t a m ê m e : ” S i H i t l e r a t t a q u a i t
maintenant la Pologne, je serais le premier à lui
souhaiter bonne chance” (propos repris par Stephen
King-Hall écrivain et radio-reporter bien connu de
l’époque). Ces propos et cette attitude du
ministre George Bonnet n’avaient en fait qu’un
s e u l b u t ; c e l u i d e p o u s s e r H i t l e r à
l’intransigeance envers la Pologne et à la guerre.
L’entente germano-polonaise, qui était
virtuellement réalisée du temps du général
Pilsudski ne fut plus possible avec son successeur
le franc-maçon colonel Beck. Et cependant en 1939
les exigences allemandes étaient des plus
modestes. Hitler réclamait seulement un “couloir
franc”, hors taxe, pour relier Dantzig (ville à
9 0 % a l l e m a n d e ) e t l a P r u s s e O r i e n t a l e à
l’Allemagne, et en outre que cessent les
tracasseries envers les Allemands de la Warthe. En
outre il proposait aux Polonais la signature d’une
entente secrète contre l’URSS, voisin dangereux et
menaçant pour la Pologne. Tout Polonais sensé
aurait dû accepter. Mais depuis des mois le
mondialisme juif poussait à la discorde; celle-ci
entretenue par les 3,5 millions de Juifs vivant
parmi les 30 millions de Polonais. Jupiter aveugle
ceux qu’il veut perdre. L’adage était et est
toujours de circonstance. Il n’y a qu’à voir
actuellement les imbéciles, qui restent encore
communistes ou ceux des ligues antifascistes. La
chute de Hitler était aux yeux des Polonais
d’autant plus plausible, qu’il y avait déjà eu une
tentative de putsch en juillet 1935 dans le haut
état-major allemand; tentative avortée grâce à
l’honnêteté du général von Rundstedt, bien qu’il
ne fut jamais national-socialiste (lire à ce sujet
le livre de Curt Reiss intitulé: “Gloire et
Occasions des Généraux Allemands”). Mis à part
leurs dirigeants les peuples anglais et français
entrèrent en guerre en traînant les pieds; et
cependant le mondialisme juif avait mis le paquet,
comme l’on dit, pour les endoctriner et pour les
exciter contre Hitler. Cependant le coeur n’y
était pas; il fallait vraiment les pousser. Trop
d e F r a n ç a i s s e r e n d a i e n t c o m p t e q u e : 1 )
L’Allemagne pratiquait un véritable socialisme
avec disparition totale du chômage, et que 2)
Hitler ne cherchait pas à imposer son système
National-Socialiste comme les communistes le leur.
En effet il ne cessait de clamer, que le NationalSocialisme n’était pas une doctrine d’exportation
et que chaque pays devait trouver sa voie et son
propre système basé sur le nationalisme.9 }}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}} 9

9 Comme l’avait déjà écrit en son temps José-Antonio Primo de Rivera, le leader phalangiste espagnol :
“Le nationalisme est l’individualisme des peuples et l’Idéologie est l’expérience des peuples. Il n’y a pas
de panacée politique universelle et chaque peuple a besoin de SA SOLUTION A LUI”
* * *
Pour Hitler, je le répète, le seul ennemi est
et restera toujours le bolchevisme et son soutien
mondialiste. C’est pour cette raison, qu’il
s’engagea dans la guerre d’Espagne. Comme
Mussolini il jugeait extrêmement dangereux pour sa
patrie l’installation d’un régime bolchevique au
sud de l’Europe. Il se rappelait les menaces de
Lénine, qui avait proclamé: “Nous prendrons
l’Europe par son ventre mou, par le sud et par
l’Afrique du nord.” Et Hitler savait, que
l’Espagne était racialement fort métissée et fort
enjuivée parmi sa classe dirigeante, raison et
moteur d’une facile et probable bolchevisation.
P o u r p l u s d e c o m p r é h e n s i o n a n a l y s o n s
maintenant brièvement ce qui se passait en Espagne
dans les années trente. Et pour bien comprendre le
déroulement des événements il est souhaitable,
sinon nécessaire, de lire les cinq livres
suivants: 1) “La guerre d’Espagne” par Hugh
Thomas, 2) “Lo que Espania débe a la Masonéria”
par Edouardo Comin, 3) “Derrota Mundial”, 4)
“Infiltracion Mundial” les deux derniers livres
étant de l’historien mexicain Salvador Borrego Escalante et
5) “De l’horreur rouge en terre d’Espagne” par V.
De Moor et Claudek (édition b.v.p.).
Pour débuter, sachons qu’il existait en
Espagne à l’époque quatre groupes marxistes
importants; à savoir: 1) les socialistes de la CNT
(confédération nacional del trabajo, 2) les
communistes en fait relativement peu nombreux mais
dirigés par deux leaders fameux, la Passionaria et
Jésus Hernandez), 3) Les prolétaires de la FAI
(fédéracion anarquista ibérica) et 4) les
Trotskystes du POUM. Tous faisaient partie de
l’internationale marxiste. Mais en Russie, lors de la révolution Lénine et Staline avaient éliminé
les trois autres groupes pour raison de mollesse
et de stratégie. Cependant ces groupes restaient
les plus nombreux en Espagne et surtout les plus
turbulents et les plus pressés. Et la FAI et le
POUM forcèrent la main à Staline, qui, en réalité
trop occupé à renforcer son pouvoir en Russie, ne
voulait pas de cette guerre d’Espagne; du moins
pas encore. Mais il fut obligé de suivre, afin de
participer à la curée en cas de victoire, mais
aussi afin d’éliminer deux concurrents dangereux
en cas de défaite. A partir des revers de 1938
c’est à cette tâche qu’il s’attela. Il faut lire à
ce sujet les “Mémoires” de Jésus Hernandez. Un
communiste assassina Durruti le chef de la FAI
lors des combats pour la cité universitaire à
Madrid, ce qui désorganisa définitivement la FAI.
Les trotskystes, quant à eux, menés par le juif
André Nin et par sa clique de coreligionnaires
furent éliminés petit à petit sous diverses
accusations de traîtrises. Ensuite après avoir
amené en URSS tout l’or de la banque d’Espagne,
Staline retira petit à petit son épingle du jeu en
diminuant progressivement l’aide de l’URSS aux
républicains espagnols. Pour Staline le seul
ennemi était Hitler et tous ses efforts devaient
converger à l’organisation de cette future lutte à
mort.
Mais revenons quelque peu en arrière. A la
suite d’une profonde infiltration maçonnique dans
tous les rouages gouvernementaux, les premiers
troubles débutèrent en Espagne le 11 mai 1931. De
nombreuses églises furent incendiées et quelques
assassinats furent perpétrés dans les grandes
villes. Pour calmer la population le roi Alphonse
XIII abdiqua, la république fut proclamée et le
pouvoir passa dans les mains d’un juif séphardite
nommé Alcala Zamora. Bien que Juif et franc-maçon
ce dernier assistait tous les dimanches à la messe
pour donner le change,10 mais en sous-main il }}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}} 10

10 Comme actuellement le juif Poutine en Russie qui se fait bénir par les popes orthodoxes.

favorisait partout un début d’infiltration
communiste. Deux ans plus tard le nouveau
président de la république, un franc-maçon nommé
L a r g o C a b a l l é r o , c o n c l u t u n p a c t e a v e c
l’ambassadeur soviétique Rosenberg afin d’activer
la venue en Espagne de conseillers soviétiques.
Staline envoya donc rapidement sur place ses
meilleurs agitateurs, tous Juifs naturellement,
tous déguisés en ressortissants russes. On
retrouva sur place Iliya Ehrenburg, Primakoff,
Goreff, Rose Skoblewski, Aralink Tupolyew,
Vladimir Bischitzki, Béla Kuhn, J. Artadel,
Antonov Ovejenko, Moïse Rosenberg, Leo Jacobson,
Keikin, Grunzberg, Frielander, J. Maratvilles,
Stillerman, Samuel Fratkin, Schapiro, Lourie
Fusch, Adler, Zibrowski, Merkas et Wall, ces deux
derniers s’occupant de la recherche et de l’achat
d’armes pour les futurs “républicains espagnols”.
Ces armes transitaient naturellement par la
France, qui était dans les mains du gang juif de
Léon blum. Certains historiens français de gauche
prétendent encore, que le 4 juin 1936, lorsque
Blum présenta son nouveau ministère au président
Lebrun, il n’était composé, outre Blum que de deux
ministres juifs et par conséquent ni enjuivé, ni
tendancieux. C’est exact, mais ce qu’ils omettent
c’est la présence de 29 Juifs comme chefs et
attachés de cabinets, ainsi qu’une multitude de
francs-maçons à tous les postes clefs.
En 1934 il y eut un nouveau soulèvement
communiste dans les Asturies; mais il fut réprimé
durement par le général Franco. Ensuite en février
1935 le député Cano Lopez révéla comment la
maçonnerie s’était infiltrée dans l’armée pour la
désorganiser. Et pour finir en juillet 1936 le
président du parti catholique espagnol, Calvo
Sotelo fut assassiné sur ordre du Grand-Orient réuni à Genève deux mois plus tôt.4 11 }}}}}} 11

11 L’ordre d’assassiner le leader catholique Calvo Sotelo fut décidé dans le
Grand Orient de Genève; il fut ramené en Espagne par le frère maçon Barcia,
approuvé sur place par le frère Casares Quiroga avec l’assentiment des frères
maçons F. Galarza, Manuel Azaña, Ortéga y Gasset, lndalacio Prieto, Alcala
Zamora et Miguel Maura. C’était déjà ces comploteurs de haut niveau, qui
s’étaient arrangés pour destituer le dictateur Primo de Rivera en 1934 suites
à une réunion et une décision prise dans le Grand Orient de Paris, rue Cadet.
L’exécution du député Calvo Sotelo fut ensuite réalisée par les frères maçons
Molès, Mallol et un autre officier de la guardia civil. Ce fait maintenant
bien connu (lire l’horreur rouge en Espagne) nous prouve à sasiété
l’internationationalisme mafieux et la nuisance de la franc-maçonnerie, qui ne
recule devant aucun crime et qui se présente toujours comme un organisme
humaniste dédié à l’amour et à la justice.

Le commanditaire était le grand maître maçon (33ème
degré) Manuel Azaña, pédéraste notoire et
président de la République. Plus tard il
commandera l’assassinat de José Antonio Primo de
Rivera le jeune chef de la Phalange, c-à-d des
fascistes espagnols. Mais le 17 juillet 1936
l’armée restée catholique et nationaliste se
souleva contre cette “république de Bolchevistes”.
A la tête du soulèvement militaire devait se
trouver le général Sanjurjo, un homme intègre,
mais il mourut assez mystérieusement en avion, et
le général Franco fut mis à la tête des
“Rebelles”.
La mort (ou plutôt l’assassinat) du général
Sanjurjo convenait parfaitement à l’autre mafia
espagnole, c-à-d à L’OPUS DEI. Cette organisation
considérée comme de droite regroupait (et regroupe
encore toujours) des hauts dignitaires du clergé,
de très gros industriels ainsi que la haute
finance bancaire espagnole composée de nombreux
Juifs Marranes. Pour bien situer cette mafia,
sachez qu’elle participe actuellement activement
aux réunions du groupe de Bilderberg, où elle
e n v o i e s e s r e p r é s e n t a n t s c h a q u e a n n é e .
Actuellement cet OPUS DEI gouverne l’Espagne par
l’entremise du roi Juan Carlos, qui, pour obéir à
cette mafia, fit capoter le soulèvement du général
Tejero contre la politicaille gauchiste, qui
gouverne l’Espagne d’après Franco. En 1936 Franco
é t a i t l e c a n d i d a t d e l ‘ O P U S D E I p a r
l’intermédiaire de son beau-père, important
banquier juif marrane. A première vue il semble difficile de comprendre, que des “réactionnaires”
de droite agissent en faveur de gouvernements
gauchistes; mais c’est cependant un fait, que
l’hydre mondialiste possède plusieurs bras. Le but
reste toujours le même; à savoir la domination de
la terre entière au profit du peuple élu et de ses
acolytes, mais la stratégie envisagée par ces
divers bras (ou groupes) composant cette hydre est
variable, allant de la méthode douce à la méthode
brutale en passant par d’autres plus ou moins
dures. Et l’entente n’est pas toujours parfaite
entre tous ces dirigeants pour preuves rappelonsnous la liquidation de Trotsky par Staline,
l’assassinat en Israël lors du procès Eichmann du
haut dirigeant juif Rudolf Kastner, celui, qui
négocia en 1944 avec le même Eichmann l’échange de
camions contre la vie de quelques Juifs hongrois.
(Kastner avait d’ailleurs témoigné à décharge au
procès de Nuremberg pour le standartenführer Kurt
Becher antijuif notoire, qui sauva ainsi sa tête).
Par peur de son témoignage et qu’il ne révèle les
dessous de la collaboration entre l’Irgoun et le
Stern avec l’Allemagne hitlérienne, le Mossad
préféra l’assassiner (lire à ce sujet l’excellent
livre de Roger Garaudy sur: “Les mythes fondateurs
de la politique Israélienne”). Et n’oublions pas
non plus tout récemment en novembre 1995
l’assassinat de Itzak Rabin par une branche de ce
même mondialisme. Rabin comme Gol (inski en
Belgique, cet ancien ministre libéral mort
naturellement)12 étaient cependant deux de leurs

12 “Officiellement le ministre belge Gol serait mort d’un empoisonnement : d’autres disent d’un accident
cérébral. D’autres enfin prétendent qu’il serait mort empoisonné par la CIA ou même par les services du
Mossad pour une sombre affaire de détournement de fonds de plus de cent millions. Qui dit vrai” ?

meilleurs pions sur le terrain.
De même pour cautionner leurs ordres et leurs
actions les mondialistes possèdent à leur botte
q u e l q u e s r o i s , p r i n c e s o u p r é s i d e n t s d e
république. S’ils obéissent bien les rois sont
gardés sur leur trône, sinon ils sont soit démis,
soit assassinés. Ainsi en est-il de Juan Carlos
d’Espagne, de la famille d’Angleterre et de celle
de Belgique. En effet le roi Baudouin y épousa la fille d’un banquier juif marrane, de telle sorte,
que certaines de ses “initiatives” antiracistes et
en faveur des mixages raciaux, à l’inverse des
intérêts de son peuple, nous rappelle son
obéissance au mondialisme bien plus qu’une soidisant bonté candide. Il est vrai cependant, que
toute cette famille royale de Belgique est
endoctrinée par le “Renouveau Charismatique” (un
nouveau mouvement oecuménique chrétien) et que la
bêtise peut aussi être pour quelque chose dans les
attitudes de cette famille royale. Ainsi ces rois
(Baudouin et Albert II) soutiennent activement les
entreprises maçonniques de madame Mitterand en
faveur des étrangers, des mélanges raciaux et de
la suppression des frontières. Il faut bien
comprendre, qu’actuellement le catholicisme de nos
pères retourne à ses origines judaïques. Le haut
clergé chrétien possède à sa tête un pape à moitié
juif, Jean-Paul II, et des évêques soit juifs,
comme monseigneur Lustiger et Elder Camara, soit
franchement gauchistes comme monseigneur Daneels,
soit même francs-maçons comme monseigneur Gaillot
et Decourtray; ce dernier dont la mort récente fut
honorée par tous les rabbins de France et par
l’ensemble des francs-maçons. C’est dire la
nuisance du personnage. Rappelons-nous enfin,
qu’au départ le christianisme n’était qu’une secte
judaïque adaptée aux divers peuples Goyim en vue
de renverser l’Empire et l’ordre romain.
Mais revenons à la guerre d’Espagne, où L’OPUS
DEI fut forcé de soutenir la rébellion des
militaires et d’une grande partie du peuple
espagnol, qui refusait le communisme. Ainsi quel
que soit le camp victorieux, le mondialisme
restait toujours gagnant. Dès le début de la
révolte le président Manuel Azaña mit sur pied
avec l’aide de l’ambassadeur soviétique Rosenberg
les “Tchékas”, la distribution d’armes aux milices
rouges et l’organisation de la terreur. Des
nonnettes furent déterrées pour servir de cibles,
il y eut de nombreux viols, d’encore plus
nombreuses fusillades et des tortures en tous
genres. Et comme les rebelles nationalistes
s ‘ o p p o s a i e n t f o r t e m e n t à l a ” R é v o l u t i o n
Mondialiste”, tous les gouvernements démocratiques
et maçonniques s’empressèrent de condamner ces
rebelles. Aux USA se créa un “comité d’aide à la
démocratie espagnole” dirigé par le rabbin Louis
Mann, par Stephen Wise (ce juif des Carpates
devenu grand rabbin de New-York) et par Albert
Einstein. On dépêcha en Espagne le journaliste
juif Herbert Matthews du “New-York Time” pour
câbler des chroniques en faveur des braves
miliciens rouges; et les Juifs Hillman, Gold et
Dubinski mirent sur pied la brigade “Abraham
Lincoln” avec à sa tête le fils du rabbin
Lévinger. Ce fut la première des brigades
internationales, dont les membres encore vivants
viennent d’être déclarés membres d’honneur de
l’Espagne, recevant tous d’office la nationalité
espagnole. Et cela sous le nouveau gouvernement de
droite espagnole dirigé par José-Maria Aznar.
L’Hydre est tellement sûre de sa victoire
maintenant, que tous ses bras se rejoignent.
Moscou envoya aussi en Espagne d’autres délégués
juifs, tels Marguerite Nelken et P. Neuman, et
l’association hispano-hébraïque créa un peu
partout des “comités d’aide aux républicains
espagnols”, qui luttaient pour la “fraternité
universelle”. Ces comités furent à l’origine des
fameuses “brigades internationales” et des
diverses ligues “antifa” (scistes) réactivées
actuellement contre les droites nationales de
France, de Belgique et d’Allemagne. Le FANATISME
DEMOCRATIQUE présente partout les nationalistes
comme d’affreux fascistes. Pour l’ensemble des
peuples il ne peut exister d’autre issue que
d’opter entre le bochevisme, qui est leur mort, et
la démocratie qui est INADAPTABLE a beaucoup
d’entre-eux, le tout sous la soi-disant vertu
légalisante et sanctifiante de la majorité. Comme
si les sociétés civiles n’étaient qu’un simple
conglomérat d’individus isolés, alors qu’elles
possèdent toute une entité, une existence
supérieure, qui est leur culture, leur communauté
et leur Nationalité. L’égalité absolue de tous les
individus est une supercherie comme l’on très bien
démontrée les études éthologiques en se basant sur
les qualités innées différentes chez chacun.
Naître inégaux en intelligence, en force et en
sagesse n’est pas une tare, mais il reste
OBLLIGATOIRE que, comme dans l’élitocratie
nationale-socialiste chaque communauté veille
scrupuleusement a ce que tous ses membres aient en
suffisance matérielle. C’est la JUSTICE SOCIALE la
plus élémentaire. Roosevelt ne demandait qu’à
aider les républicains espagnols, mais il ne
pouvait le faire ouvertement, car l’opinion
américaine était encore trop “catholique”. Et il
en avait besoin pour être réélu, comme l’expliqua
son conseiller John M. Cowles à ses frères Maçons
d’Espagne. En France Léon Blum et son gouvernement
judéo-maçon fit lui aussi de son mieux pour aider
les Républicains; mais les Anglais dirigés par
Chamberlain furent nettement plus nuancés. Et pour
finir Hitler grâce à sa diplomatie et à la légion
Condor, grâce aussi à Mussolini et à ses troupes
italiennes permit à Franco de l’emporter en mars
1939.
En 1940 Hitler fut obligé de faire la guerre à
l’Ouest. Elle se termina par une brusque défaite
de la France en juin 40. Suite à cela en septembre
40 Hitler sollicita une entrevue avec le général
Franco chef de l’Espagne. Et là, sur la Bidassoa,
le Führer demanda à Franco la réciprocité de son
aide, c-à-d de lui permettre le passage afin de
prendre Gibraltar, ce qui aurait certainement
permis à l’Allemagne de gagner la guerre. Mais
Franco se déroba et l’opération contre le “rocher
maudit” n’eut pas lieu. Par ce refus Franco
démontra sa soumission au mondialisme par Opus Dei
interposé. D’ailleurs la guerre d’Espagne à peine
achevée, il s’empressa de démanteler la Phalange
et de la réduire à un rôle de figurant. Ce que peu
de gens savent, c’est qu’en 1945 après la victoire
totale des “Alliés” le général en chef de l’Ouest,
le juif Eisenhower, voulut en terminer avec tous
les fascismes. Il proposa d’attaquer immédiatement
l’Espagne franquiste par la France et les
Pyrénées. Le chef d’état-major américain le juif
Marshall et le banquier juif Warburg (conseiller
de Roosevelt et de Truman, eux aussi juifs)
poussaient en ce sens mais Franco fut sauvé d’une
part par L’OPUS DEI, mais surtout par le général
De Gaulle, qui refusa tout net satisfaisant ainsi
sa rancune contre Roosevelt et Churchill (fait
expliqué et démontré par l’exilé Léon Degrelle a
l’auteur). Et petit à petit ensuite l’Espagne
franquiste rentra dans le giron des nations
démocratiques.
Suite au refus de Franco, Hitler fut quelque
peu dépité, mais il ne se formalisa guère, car il
avait d’autres chats à fouetter. L’URSS devenait
tout doucement menaçante; elle avait confisqué des
terres aux Finlandais suite à la guerre de 39-40
entre ces deux pays; elle avait envahi les pays
baltes et y massacrait à plaisir tous les
anticommunistes; elle exhortait contre l’Allemagne
dans les Balkans; elle visait à amputer la
Roumanie de la Bessarabie, etc… Aussi Hitler
e n v i s a g e a i t – i l f r a n c h e m e n t d ‘ a b a t t r e
définitivement le bolchevisme par une guerre
préventive. Mais il voulait à toute fin éviter
deux fronts; d’où ses nombreuses propositions de
paix envers l’Angleterre (nous y reviendrons).
Propositions que refusaient obstinément les
bellicistes juifs avec Churchill, tous soutenus en
sous-main par le véritable maître du jeu, l’infâme
Roosevelt. Déjà en décembre 1940 le général
d’aviation Galand rapporte dans son livre
intitulé: “Jusqu’au bout sur nos Messerchmidts”,
que Goering lui parla de cette éventualité de
g u e r r e à l ‘ E s t m a i s t o u t r e s t a a u s t a d e
d’intention et de “Kriegspiels” jusqu’en juin
1941, lorsque se déclencha l’opération Barbarossa.
Nous savons maintenant, que Hitler devança ainsi
l’invasion de l’Europe par les troupes soviétiques
de 3 semaines seulement, et qu’il put le faire
grâce aux renseignements fournis par ses avions
espions (les premiers avions à voler à plus de
15.000 mètres d’altitude), qui constatèrent les
concentrations de troupes soviétiques en vue d’une
o f f e n s i v e . C ‘ e s t d ‘ a i l l e u r s g r â c e à c e s
concentrations, que les Allemands passés maîtres
dans la guerre éclair de mouvements purent en
quelques semaines annihiler de nombreuses armées
soviétiques et faire plus de trois millions de
prisonniers en moins de quatre mois. Mais nous
verrons tout cela plus loin.
Pour Hitler la doctrine marxiste est fausse de
bout en bout. Dans “Mein Kampf” il écrit: “C’est
u n e n t a s s e m e n t m o n s t r u e u x d e m o t s
incompréhensibles et de phrases dénuées de sens.
Seuls des intellectuels dépravés peuvent se
trouver à l’aise dans cet amas fangeux d’inepties
et de contrevérités, ou encore cette partie naïve
de la population, qui est toujours disposée à
croire en voit très sage et très profond ce
qu’elle comprend le moins. La théorie de la lutte
des classes n’est qu’une mystification, dont les
marxistes se servent comme d’un coin pour
disloquer l’unité nationale. Quant à la “dictature
du prolétariat” elle est un non-sens, Car le
prolétariat est incapable de gouverner par luimême. Si jamais il conquérait le pouvoir, il
serait contraint de le remettre à une petite
clique de dirigeants, qui lui imposerait une
dictature beaucoup plus dure que toutes celles du
passé. On déjà les symptômes dans les syndicats
ouvriers, dont la devise parait être: “Sois des
nôtres ou je te casse la gueule.” Aussi le
c o m m u n i s m e e s t u n d a n g e r m o r t e l p o u r l a
civilisation, car il dissout les nations et
anéantit les élites. C’est un fléau dont il faut
délivrer la terre au plutôt, sinon ce sera la
terre, qui se débarrassera de l’humanité.” Mais
qui donc a intérêt à répandre ce poison se demanda
Hitler? Quels gens peuvent prôner cette doctrine
de haine, d’envie et d’égoïsme, dont la victoire
signifierait la déchéance du genre humain? Ce ne
peut être les ouvriers, puisqu’ils en seraient les
premières victimes. Alors qui? A force de
chercher, Hitler comprit rapidement que ce sont
l e s J u i f s , c a r  d é c l a r e – t ‘ i l : ” S e u l e l a
connaissance du judaïsme donne la clé de l’énigme
et permet de découvrir les desseins cachés mais
réels des partis marxistes… Devenu un antijuif
fanatique je pus sans trop de peine discerner ce
qu’il y avait de proprement diabolique chez les
théoriciens juifs du marxisme, et toute l’histoire
de l’humanité s’éclaira pour moi d’un jour
nouveau.” Et il en vient alors à se poser cette
question: “Dieu n’a-t-il pas voulu, pour des
raisons, que les humains chétifs sont incapables
de comprendre, donner au peuple juif la victoire
finale? A cette race, qui ne vit que pour les
jouissances terrestres, la terre a-t-elle été
promise? Sa dispersion à travers le monde n’estelle pas le début d’une conquête universelle? Et
quand nous luttons pour notre conservation, si
bien fondé nous semble notre droit à la vie,
n ‘ a l l o n s – n o u s p a s à l ‘ e n c o n t r e d ‘ u n e l o i
supérieure contre laquelle notre volonté sera
toujours impuissante? C’est une étude plus
approfondie de la doctrine marxiste, une vue
claire et objective de l’action exercée par le
peuple juif, qui me fournit enfin une réponse à
ces questions. Le marxisme rejette le principe
a r i s t o c r a t i q u e f o n d é e n n a t u r e ; a u d r o i t
éternellement supérieur des êtres forts et
puissants, il oppose le nombre, la masse, avec son
poids étouffant. Il nie ainsi la valeur de la
personne humaine, il ne tient nul compte de
l’inégalité des races, il enlève à l’homme ce qui
est la condition première de sa culture et de son
existence même… Si le Juif, à l’aide de sa
profession de foi marxiste, venait à dominer sur
les peuples, sa couronne de triomphateur serait
pour l’humanité une couronne mortuaire, et cette
terre que nous habitons, redeviendrait une
planète, roulant vide d’hommes dans l’éther, comme
elle roulait, il y avait un million d’années. Car
la “Nature” éternelle punit inexorablement toute
transgression à ses commandements. C’est pourquoi
je crois agir dans le sens voulu par le Créateur
tout puissant; en luttant contre le Juif, je
défends l’œuvre du Seigneur.” (cité dans “Mein Kampf”)

A l’heure actuelle quelques historiens
“labelisés démocrates” insinuent la thèse, que
Staline était un virulent antisémite. C’est entre
autres la thèse soutenue par ceux, qui publièrent
tout récemment ce pavé à certains moment assez
nébuleux intitulé: “Le livre noir du communisme”.
Pour soutenir leur opinion ils se basent sur la
terreur née du fameux complot des “blouses
blanches” qui en 1952-53 attira l’attention sur
l’élimination par Staline de quelques médecins et
militants communistes juifs, et sur la suppression
dans les années trente de nombreux militants
communistes juifs du Komintern. Ils tentent ainsi
de faire passer Staline pour un pur russe et le
communisme pour une invention et pour une
organisation criminelle antisémite. Or il suffit
d’étudier les “Protocoles des Sages de Sion” ainsi
que toute l’histoire du communisme, comme je le
fais ici, pour se rendre compte, que ce système
dictatorial fut exclusivement l’œuvre de la
juiverie. Et il échappe bien souvent, que le parti
communiste russe était à 90% composé de Juifs,
tout comme les Juifs furent toujours fort nombreux
dans tous les partis communistes du monde. Avec un
tel pourcentage de Juifs à la tête de l’URSS il
était fatal, que lors des règlements de compte et
des luttes intestines pour les successions, les
Juifs se massacrent entre eux, comme dans un nid
de vipères. Le système communiste, qui implosa en
1989 en Russie représente le “système exemplaire”
avec lequel les Juifs comptent gouverner le monde
entier. C’est celui que met en place l’ONU sans
aucun doute, certes nettement plus progressivement
que lors de son application dans la Russie du
XXème siècle.
En fait des livres comme ce “Livre noir du
communisme” (écrit en fait par des gauchistes et
des sympathisants) ne servent qu’à MASQUER ce
désir de domination mondiale des Juifs, tout en
dévoilant l’histoire d’une dictature, dont les
excès sont actuellement impossibles à rester tus.
Mais en outre ce livre par ses constants soidisant parallèles avec la dictature hitlérienne
permet à nouveau de critiquer cette dernière et
d’empêcher ainsi sa renaissance. L’on peut même se
demander si la parution de ce livre soi-disant
anticommuniste n’a pas été permise que dans ce
dernier but?

FUENTE:

http://documentos.morula.com.mx/wp-content/uploads/2012/10/HITLER-Contre-JUDA.pdf

–PÁG. 87–

Acerca de hirania

i am a man!
Esta entrada fue publicada en antropologia, Europa, HISTORIA, III Reich y etiquetada . Guarda el enlace permanente.

Deja un comentario