Capítulo IV de «H frente a J»

Chapitre IV (págs 121 a 161)

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Chapitre IV

HITLER ET L’ECONOMIE.

En 1918 l’Allemagne des Hohenzollern et la
Bavière des Wittelsbach venaient de disparaître.
Déjà à cette époque Hitler concevait l’avenir du
peuple allemand mieux que la plupart des
politiciens. Certains imbéciles et les historiens
“labelisés démocrates” ricaneront sans doute en
déclarant qu’un ouvrier en bâtiments, caporal de
surcroît, est incapable d’une pensée politique. A
ces crétins congénitaux, je tiens à rappeler, que
Hitler avait déjà vu et constaté beaucoup de chose
lors de sa jeunesse pauvre à Vienne. Dans ce
creuset polyethnique et de ce fait polyculturel,
i l a v a i t p u s e r e n d r e c o m p t e , q u e t o u t
redressement, ainsi qu’une saine politique, ne
pouvait se concevoir que dans une unité raciale et
e t h n i q u e , d a n s l a r e c r é a t i o n d ‘ u n e s p r i t
communautaire (car une communauté est toujours
solidaire et exempte de lutte des classes) et dans
l’exclusion territoriale des “étrangers”. En outre
la guerre à laquelle il participa fut une
formidable école de civisme et de stoïcisme. Enfin
n’oublions pas, que déjà à cette époque il lisait
é n o r m é m e n t , p l u s q u e l a m o y e n n e d e s e s
contemporains. Rappelez-vous, que lors du Putsch
raté de Munich en 1923 le chef de la police, un
hobereau nommé von Godin, nourrissait une rancune
personnelle contre Hitler. Or cette rancune avait
eu sa source dans les tranchées, où lors d’une
inspection de détails le lieutenant von Godin
trouva dans le fourniment du soldat Hitler des
livres de Nietzsche et de Schopenhauer; et imbu de
sa caste cet imbécile avait vertement critiqué ce
“soldat intellectuel”. L’affaire s’était encore
envenimée un peu plus tard à l’état-major où
Hitler servait d’estafette (lire à ce sujet SaintPaulien).
Le grand concept de Hitler était d’unifier les
Allemands, tous les Allemands par le nationalisme
et par le socialisme; mais les unifier à la suite
d’une révolution pacifique. Après quoi cette
nouvelle Allemagne d’un concept révolutionnaire
posséderait un dynamisme tel, qu’elle s’imposerait
d’elle-même. Hitler était convaincu, que le rôle
de l’Allemagne devait être fatalement le premier
en Europe, de par sa situation et de par la
qualité de sa population, de par l’agressivité au
t r a v a i l d e c e t t e d e r n i è r e e t d e p a r s o n
homogénéité. C’est d’ailleurs ce qu’elle est en
fait actuellement, même après deux guerres
perdues. Pour Hitler, comme pour beaucoup
d’Allemands de son époque, l’Allemagne aurait été
victorieuse en 1918 si, 1) le monde entier ne
s’était pas ligué contre elle (c-à-d l’Angleterre
et ses colonies, la France et ses colonies, la
Belgique, les USA, le Japon, la Roumanie, la
Serbie, le Portugal, la Grèce, etc…) et si 2)
N’avait pas existé la Trahison de l’arrière en
Allemagne même, provoquant des grèves sauvages
dans les usines d’armements et de munitions.
Grèves toutes engendrées et dirigées en sous-main
par Rathenau et sa bande de Juifs.
Non seulement l’Allemagne avait perdu la
guerre, mais la tuerie fut abominable. L’Allemagne
eut 1.774.000 tués, l’Autriche-Hongrie 1.200.000.
Le nombre des blessés de ces deux pays dépassait
huit millions, dont beaucoup moururent encore
après la cessation des hostilités. En outre de
mars à décembre 1918, il y eut l’épidémie de
“grippe espagnole”, qui tua 21.640.000 Européens,
dont beaucoup d’Allemands à cause de la sousalimentation plus marquée dans ce pays, à cause
aussi du sabotage par les Juifs de la distribution
alimentaire. Avec les morts des deux camps en
guerre, soit plus de huit millions d’Européens,
L’Europe était non seulement exsangue, mais
c ‘ é t a i t e n g r a n d e p a r t i e s o n é l i t e q u i
disparaissait, car les guerres sont toujours des
sélections à rebours où périssent en priorité les
meilleurs éléments. Ensuite, comme je l’ai déjà
expliqué,il y eut la révolution bolchevique en
Allemagne et dans toute l’Europe centrale avec à
nouveau son cortège de dizaines de milliers de
morts, à nouveau parmi les meilleurs au profit de
la racaille. Et enfin pour couronner le tout, le
traité de Versailles et ses clauses iniques
achevaient de piller ce qui restait encore debout
en Allemagne et en Autriche. La franc-maçonnerie
et le Mondialisme juif avaient déclenché cette
guerre fratricide afin de détruire définitivement
le dernier Empire catholique d’Europe, c-à-d
l’Autriche-Hongrie, et dans le but d’instaurer
avec plus de facilité sur la planète le plan et
l’ère des Sages de Sion.
Pour enfin mettre sur pied ce plan Théodor
Herzl l’avait écrit, et Lénine le répètait: “Il
faut allier les masses slaves ignares de Russie à
la technicité avancée de l’Allemagne.” Pour cette
raison l’Allemagne devait perdre la guerre, et
tout fut fait en ce sens. Mais comme le
bolchevisme violent avait échoué en Allemagne,
Rathenau d’une part et Lénine de l’autre pensèrent
à organiser une alliance plus ou moins secrète
grâce au traité de Rapallo. Traité, qui entraîna
l’assassinat du maître secret de l’Allemagne, le
Juif Walter Rathenau par des officiers des corps
francs du Baltikum. Ceux-ci avaient pu constater
“de visu” l’enfer bolchevique en Lettonie et en
Lithuanie où ils combattirent (lire à ce sujet
l’épopée du Baltikum par D. Venner). D’autre part,
comme l’écrivit l’un des leurs, Ernst von Salomon:
“On a ou l’on n’a pas le sens de la hiérarchie des
valeurs, et l’on ne discute pas avec ceux, qui la
nient. Si les partis de gauche mettent toujours
leurs espoirs dans les actions de masses, pour les
conjurés de droite c’est l’individu qui fait
l’histoire. Ils savent, qu’il suffit de tuer un
chef pour paralyser toute une armée.” Et en fait
la mort de Rathenau mit une sourdine au processus
de dégradation générale.
Le traité de Rapallo fut “officiellement”
signé par le juif Rathenau pour la République de
Weimar (déjà entièrement aux mains des Juifs: Voir
plus haut) et par le juif Tchichérine pour l’URSS.
Mais la clause secrète militaire fut, elle, signée
d’une part pour Weimar par le ministre juif de la
guerre Gessler et par le grand maître de la
Reichswehr (limitée à 100.000 hommes par les
vainqueurs de Versailles) de l’époque, le général
von Seeckt (très, très favorable au bolchevisme),
et d’autre part par le grand état-major de l’armée
rouge engorgé de Juifs. Ces clauses prescrivaient
une collaboration militaire étroite entre les deux
pays. La Reichswehr pouvait de ce fait s’entraîner
en URSS et y construire les armes (avions, chars
d’assaut, etc…) dont l’usage lui était interdit
en Allemagne par le traité de Versailles. Ainsi
les techniciens et les ingénieurs allemands
construisaient près de Moscou des prototypes de
chars blindés et des avions Fokkers, des avions
Dornier à Cronstadt, des laboratoires et des
recherches chimiques à Saratov et des avions
Junkers en Sibérie centrale. En contrepartie
l’Armée Rouge bénéficiait des brevets et des
prototypes, ainsi que de tous les engins et
appareils construits dans les usines allemandes
d’URSS. Ainsi, entre autres, jusqu’en 1929 Fokker
d û t l i v r e r 8 2 4 a p p a r e i l s , c h a s s e u r s e t
bombardiers, à Moscou place d’arme de la
“Révolution Mondiale” et l’usine Dornier fournit
80 avions torpilleurs à la base de Cronstadt.
Sans oublier l’impact de la propagande
bolchevique sur les ouvriers et employés allemands
vivants en URSS. Cette collaboration dura jusqu’à
l’avènement de Hitler en janvier 1933. Etant
foncièrement antibolchevique, il ne put cependant
jamais désavouer publiquement cette collaboration
par crainte de nuire à la Reichswehr, et cela
malgré que les Nationaux-Socialistes en Allemagne
se battaient continuellement contre les Bolcheviks
locaux.
La guerre étant terminée et l’Allemagne
ruinée, la grande bourgeoisie libérale, aussi bien
celle d’Allemagne que celle des USA et de
l’Angleterre s’arrangèrent et s’entendirent
rapidement afin de relancer l’industrie et le
commerce. L’argent n’a pas de frontières, d’autant
que de grandes familles financières juives et
industrielles blanches possédaient des parents de
part et d’autre des frontières et des camps. On se
prêta donc à de gros taux d’intérêts (d’autant que
comme dans toutes démocratie c’étaient les états,
c-à-d les peuples qui payaient en majorité) et à
assez court terme; de telle sorte, que de 1923 à
1929 les affaires “marchaient”. Mais en fait
l’Allemagne traversait une période de prospérité
factice. La Nation n’était pas réellement remise
au travail, mais la magie du capital public et
p r i v é p r ê t é à l ‘ A l l e m a g n e p a r l e s U S A ,
l’Angleterre et la Hollande opérait. Il s’agissait
de sommes énormes, qui permirent à l’industrie
allemande de redémarrer. Bien entendu des
spéculations innombrables et douteuses en
r é s u l t è r e n t , a i n s i q u e d e g i g a n t e s q u e s
escroqueries. La social-démocratie ne se défendait
n u l l e m e n t c o n t r e l ‘ i n v a s i o n d u c a p i t a l
i n t e r n a t i o n a l , c – à – d d e l ‘ E s t a b l i s h m e n t
cosmopolite, et les trusts purent s’en donner à
cœur joie. Mais le 29 octobre 1929 éclata le crash
boursier à New-York. Et comme les prêts et de ce
fait les dettes étaient en cascades, c-à-d que
tous avaient des dettes envers tout le monde ou
étaient en retard de payement les uns vis-à-vis
des autres, la rupture d’équilibre boursier en
Amérique eut immédiatement des répercussions sur
l’ensemble du monde industrialisé. De ce fait de
nombreuses usines durent fermer pour cessation de
payement, et le chômage s’installa immédiatement
partout et de façon explosive. Cependant Hitler et
les Nationaux-Socialistes avaient prévu cette
catastrophe et ne cessaient de mettre en garde
leurs compatriotes devant cette probabilité. Mais
personne ne les écoutait, les considérant comme
des oiseaux de mauvaise augure. Et cependant,
demander constamment des prêts aux banques est
toujours malsain pour une nation. Nous le
constatons actuellement en France et surtout en
Belgique où la dette publique s’élève actuellement
à plus de 10.000 milliards, de telle sorte, que
plus de la moitié du revenu national brut (c-à-d
des impôts annuels) sert uniquement à payer les
intérêts de la dette énorme ainsi contractée. Dans
ce système il ne peut plus jamais être question de
rembourser même une minime partie de cette dette,
et chaque être humain de chaque pays industrialisé
est condamné, sa vie entière à payer de sa sueur
les intérêts de cette dette contractée par les
gouvernements successifs et incapables de chaque
nation. Cela va même plus loin, car aux USA par
exemple les petits enfants à naître sont déjà eux
a u s s i e n d e t t é s v i s – à – v i s d e s b a n q u i e r s
cosmopolites. Et à y réfléchir, il est vraiment
anormal, que ce soit les pays les plus riches,
soit les plus travailleurs et industrialisés, soit
au sous-sol les plus riches (comme l’Inde ou le
Brésil) qui sont les plus endettés. Les banquiers
ne font faire des dettes, que par ceux qui sont
exploitables. Les Sages de Sion l’ont très bien
p r é v u d a n s l e u r s ” P r o t o c o l e s ” . I l s y
reconnaissent, que si les états (entendez par-là
leurs gouvernants) avaient été raisonnables, ils
auraient tout simplement attendu, que leurs
impositions annuelles nationales ramènent la somme
suffisante pour chaque investissement. Le
développement de chacun de ces états aurait été
dans ce cas certes plus lent, mais il aurait
résulté d’un pacte entre l’état et ses concitoyens
en évitant ainsi l’usure juive.
Tous les états, sauf comme nous le verrons
l’état national-socialiste de Hitler, se sont
comportés jusqu’à ce jour comme beaucoup de jeunes
actuellement, qui veulent tout, tout de suite; la
radio, le frigo, la TV, le lave-linge et le lavevaisselle, la vidéo, la voiture, les vacances, les
voyages, etc… Et pour l’état, comme pour tous
ces ménages de jeunes, à bien y regarder, la plus
grande partie de ces TOUTS reste bien souvent
superflue, ou même peut attendre et être postposée
un certain temps. Un état se gère comme un ménage
avec des prêts minimums, et surtout pas chez des
USURIERS. Or tous les banquiers actuels, s’ils ne
sont pas Juifs eux-mêmes sont acoquinés à la
juiverie mondialiste et sont des usuriers. Un
exemple vous fera rapidement comprendre: J’ai
connu un ami, qui en 1968 voulut construire sa
maison avec un prêt bancaire. Après avoir payé les
frais d’enregistrement notariaux, son prêt de 1,5
million était déjà réduit à 1,4 million. Ensuite
en 25 ans il dût rembourser 3,2 millions au total.
Certes il put jouir de sa maison de suite, mais le
banquier fit là une belle opération d’escroc. En
o u t r e l o r s q u e h u i t a n s a v a n t l a f i n d u
remboursement total, suite à un héritage, il
voulut payer la somme restante, il devait encore
régler près de 1 million, car dans un prêt de ce
genre vous remboursez d’abord tous les intérêts et
seulement pour finir le capital prêté. Seconde et
délectable escroquerie. Ajoutons aussi qu’un prêt
de cet ordre doit toujours être contracté sous
forme d’assurance vie (afin que le banquier n’y
perde jamais),et que mon ami dût à la fin, c-à-d
au rachat de son Assurance-vie, payer une somme de
90.000frs environ comme nouvel impôt d’état. Et il
en va ainsi pour tous les prêts bancaires.
Malheureusement les gouvernants, qu’ils soient
rois, princes présidents de république ou
ministres, veulent eux aussi tout tout de suite,
surtout en démocraties, pour des questions de
c l i e n t é l i s m e é l e c t o r a l i s t e e t d e v a n i t é
personnelle. Ainsi tel pont est attaché à leur
nom, telle autoroute est inaugurée par leur règne.
Ils ne calculent jamais le rapport “coût/
intérêts”, et cela d’autant moins, que depuis 1945
ils se sont partout arrangés pour eux payer le
moins possible, par l’intermédiaire de lois les
exonérant, en tout ou en partie, des impôts
habituels. Ainsi en Belgique un ministre ne paye
des impôts que sur la moitié de ses gains, et
après sa législature il ne peut être tenu pour
R E S P O N S A B L E d e s e s a c t e s e t e n g a g e m e n t s
monétaires. Le pays seul, c-à-d les malheureux
“producteurs-consommateurs”, reste responsable.
Sans compter en outre pour tous les ministres et
députés les nombreux AVANTAGES NON-MONETAIRES,
comme cantine, voiture, essence à prix coûtant,
secrétaire et chauffeur, voyages avec bobonne ou
secrétaire-petite amie, etc… le tout aux frais
des contribuables. Ainsi Chirac et De Haene
promènent bobonne. Sans oublier les nombreux POTSDE-VIN, les pourcentages et vols sur chaque
réalisation d’infrastructure, de commandes
militaires, d’investissements à l’étranger, etc…
Rappelez-vous aussi tous les scandales Agusta,
Inusop, Bloch (dit Dassault) Emmanuelli et le
financement occulte du parti socialiste, Michel
Noir et les magouilles de Lyon, Tapie, etc… la
liste est vraiment trop longue. Sans oublier non
plus les gaspillages à tous les niveaux de l’état,
l e s d é p e n s e s d e p r e s t i g e , l e s r e t r a i t e s
somptueuses des ministres, (qui fut ministre une
heure touche le restant de sa vie), des députés et
hauts fonctionnaires, les escroqueries en tous
genres, la politisation à outrance des syndicats,
etc…
Mais revenons à la République juive de Weimar.
Là, comme dans les autres nations industrialisées
du temps de Hitler, les lois sociales étaient
pratiquement inexistantes. A part de très belles
e n v o l é e s v e r b a l e s e t d e t r è s n o m b r e u s e s
déclarations de principes les réalisations
sociales étaient totalement nulles. De telle
sorte, que le National-Socialisme n’attira au
début à lui que les plus intelligents des
malheureux et des exploités; ceux qui avaient
compris, que l’internationalisme socialiste
n’était qu’un leurre, un miroir aux alouettes.
Ceux qui avaient senti et vu la violence
bolchevique lors des émeutes de 1918-20, et qui en
avaient déduit que seul un socialisme national
pouvait sauver l’Allemagne du chaos. De telle
sorte qu’avant 1929, outre certains chômeurs,
invalides, artisans, quelques professions
libérales ruinées, paysans et quelques étudiants
p a r t i c u l i è r e m e n t s e n s é s , p e u d e m o n d e
s’intéressait au National-Socialisme et au
renouveau national du “Deutschland Erwache”. Le
parti était pauvre et ne vivait que des dons de
ses membres, des cotisations et des meetings
payants; Hitler parlait partout, ne ménageait
jamais sa peine. Il est totalement faux de croire,
q u e l a b o u r g e o i s i e e t s u r t o u t l a g r o s s e
bourgeoisie soutinrent financièrement son parti.
Dans son testament politique Hitler nous dit:
“J’aurais dû bousculer impitoyablement la
bourgeoisie de fossiles dénuée d’âme comme elle
est dénuée de patriotisme. Voila quels amis les
génies de la Wilhelmstrasse nous ont aussi trouvés
en France, de tout petits calculateurs, qui se
sont mis à nous aimer quand l’idée leur vint, que
nous occupions leur pays pour défendre leurs
coffres-forts, et bien résolus à nous trahir à la
première occasion, pour peu que ce fut sans
risques.” Comme encore actuellement les “bons
bourgeois” étaient alors trop occupés à faire de
l’argent, ne comprenant pas que du jour au
lendemain la ruine pouvait s’abattre sur le pays.
Quant à l’industrie, principalement l’industrie
lourde, elle était trop acoquinée avec les
banquiers pour penser “révolution”. Comme le
disait Hjalmar Schacht, qui fut un temps le
banquier du NSDAP et d’Hitler: “L’industrie lourde
porte sans doute ce qualificatif, car elle est
toujours lourde à la détente.” Et cependant en
1930 toute l’industrie fut-elle aussi entraînée
dans la tourmente financière, ce qui aboutit en
quelques mois à 6.300.000 chômeurs; et ce n’est
que par crainte d’une nouvelle révolution
s a n g l a n t e b o l c h e v i q u e q u e l ‘ e n s e m b l e d e
l’industrie allemande finit par “aider” Hitler en
1932, le considérant comme un moindre mal pour
elle.
S c h a c h t , q u i n e f u t j a m a i s n a t i o n a l –
socialiste, mais qui en fait était un “Grand
Vénérable” (un grand maître) franc-maçon, fut de
ce fait un des deux acquittés du procès de
Nuremberg. Placé sans aucun doute sur ordre de la
mafia mondialiste dans l’entourage d’Hitler afin
de le surveiller et de saboter éventuellement, il
s ‘ é t a i t v a n t é à v o n P a p e n , l e h o b e r e a u
réactionnaire, qui, lui, représentait l’industrie
et la haute bourgeoisie, que: “Laissons faire
Hitler six mois, ensuite il mangera dans notre
main.” Il signifiait par-là, qu’au point de vue
financier Hitler n’en sortirait jamais. Mais
voilà, Hitler non seulement était intelligent,
mais il refusa de jouer le jeu du libéralisme
international. Rappelons brièvement ce que
j’écrivais plus haut: Qu’arrivé au pouvoir Hitler
héritait d’un déficit de 7 milliards de Marks or
augmenté d’une dette extérieure de 17 milliards de
Marks or et qu’il n’y avait plus que 439 millions
dans les caisses de la Reichsbank. Malgré cette
situation catastrophique Hitler redressa son pays.
Voici comment:
Tout d’abord il partit du principe, que la
richesse d’un peuple ne réside pas dans son compte
en banque (son encaisse or à l’époque) mais bien
dans la cohésion et dans le courage de ses
habitants, dans l’abnégation et dans l’honnêteté
de ses dirigeants et surtout dans l’agressivité au
travail de tous. A ses yeux un peuple travailleur
et honnête doit toujours se relever. Nous avons pu
le constater après 1945 avec l’Allemagne et le
Japon; ces pays étaient ruinés en 45 mais ils sont
a c t u e l l e m e n t a u z é n i t h d e s p u i s s a n c e s
industrielles, malgré le faux-roi dollar imposé en
1945 à Bretton-Wood, et bien que les dirigeants
actuels de ces deux pays ne sont certes pas d’une
intégrité totale. Hitler avait aussi constaté, que
les syndicats ne sont pas de réels défenseurs des
travailleurs, mais bien plutôt les représentants
de la médiocrité, car ils étaient (et ils sont
toujours) devenus des succursales politiques. Ce
sont des ralentisseurs de progrès et surtout des
agents du Mondialisme, car ils entretiennent la
lutte des classes, lutte nuisible à l’essor d’un
p e u p l e e t d ‘ u n e n a t i o n . D ‘ a u t a n t q u ‘ i l s
encouragent le clientélisme, et de là la
fainéantise et la désorganisation sociale, et
qu’au surplus ils empêchent même bien souvent les
honnêtes gens de travailler. N’oublions pas non
plus, que la plupart du temps à leur tête, soit au
devant de la scène soit derrière sous forme de
b r a i n – t r u s t s c a c h é s , n o u s r e t r o u v o n s l e
Mondialisme juif. (Lire à ce sujet “Les Protocoles
des Sages de Sion”, tous les livres de Yann
Moncomble et “Infiltracion mondial” de Salvador
Borrego). Hitler constatait enfin, que dans les
sociétés modernes le paysan, l’artisan, le
fabricant et l’inventeur sont toujours de moins en
moins payés pour un travail de plus en plus
harassant et productif, alors qu’à l’autre bout de
la chaîne, l’acheteur, le consommateur, payent,
eux, toujours de plus en plus cher le même bien.
Il tira la conclusion, que ceux qui profitent du
travail, de la créativité, de la sueur et de la
peine des travailleurs sont les intermédiaires, où
l’on retrouve en majorité des Juifs et des
magouilleurs enjuivés.
En conséquence Hitler conclut, que pour
redresser un pays il faut d’abord supprimer les
syndicats, et surtout qu’il faut supprimer au
maximum les intermédiaires inutiles entre les
producteurs et les consommateurs. Pour lui la
relance de l’économie dépendait certes de certains
sacrifices, mais surtout de la suppression de la
lutte des classes; du retour de la cohésion entre
tous, ce qui n’est possible que dans un peuple
racialement homogène. Ce n’est pas pour rien
qu’actuellement tous les gouvernants aux ordres du
Mondialisme poussent aux métissages et aux
mélanges des populations et des races. Dans les
loges maçonniques, officines mondialistes par
excellence, sont imposés chaque jour des mots
d’ordre en ce sens. Ainsi Ploncard d’Assac, fin
connaisseur des loges maçonniques, précise, que
les agissements du Grand Orient se dirigent en
premier lieu contre l’identité des Français. La
r e v u e i n t e r n e d u G r a n d O r i e n t i n t i t u l é e
“Humanisme” précisait en novembre 1982: “Toutes
ces notions telles que la race, les frontières,
les classes sociales, etc… doivent être
éliminées pour faire place à une intégration à
l’échelle mondiale. C’est en cela que consiste la
grande révolution de notre époque, la vraie
révolution, que nous devons opérer.” (Relisez à ce
sujet les “Protocoles des Sages de Sion” ainsi que
les mémoires de Walter Rathenau page 33 de ce
livre).
Nous ne le répéterons jamais assez, lorsque
Hitler arriva légalement au pouvoir en 1933
l’Allemagne pays réduit à 68 millions d’habitants
possédait 6.300.000 chômeurs, presque tous des
hommes, car les emplois féminins étaient rares à
cette époque. Ce chômage tombe à 4.100.000 en
janvier 1934, à 2.700.000 en janvier 1935 à
1.500.000 en janvier 1937 pour n’être plus que de
350.000 en juillet de cette même année. Mieux
même, en 1938 l’Allemagne dût faire appel à de la
main d’œuvre étrangère, principalement polonaise
pour combler certains secteurs économiques comme
la construction et les mines de charbon. Certains
objectent encore toujours, que la résorption du
c h ô m a g e f u t g r a n d e m e n t f a c i l i t é e p a r l e
rétablissement du service militaire obligatoire et
par l’industrie de guerre; ce qui n’est vrai que
dans la proportion de 15 à 17% (d’après BenoistMéchin). La preuve nous est d’ailleurs fournie par
les statistiques d’embauche. Elles démontrent, que
les secteurs où l’augmentation fut la plus forte,
furent la construction des routes, des logements
et des cités ouvrières; aussi l’assainissement des
régions marécageuses, et enfin les industries du
textile et de l’automobile.
Outre le chômage les caisses de l’état étaient
vides (voir plus haut). Quant à l’économie
mondiale elle était en totale décomposition suite
à la crise de 1929, crise créée et entretenue
artificiellement par les banquiers cosmopolites.
En homme pragmatique et intelligent Hitler décida
de relever seul son pays. A cette époque aucun FMI
(fond monétaire international) n’était là pour
l’aider. Tous les pays pratiquaient un “chacun
pour soi” avec un protectionnisme des plus
sévères.
Analysons maintenant en détails comment Hitler
arriva à redresser son pays malgré le boycottage
systématique, que subissaient les produits
allemands à l’étranger suite à la déclaration de
guerre à outrance décidée d’abord par Jabotinsky
et les milieux sionistes en janvier 1934,
officiellement ensuite par le congrès juif mondial
tenu à New-York en mars 1934. Là, l’ensemble des
rabbins, des banquiers et des hauts dignitaires du
peuple juif décidèrent d’un commun accord de
livrer au Führer une guerre sans merci, économique
totale d’abord, mais militaire ensuite dès que
possible, c-à-d dès que l’ensemble de la diaspora
juive aurait su par sa propagande et par ses
mensonges soulever les autres peuples dits
“démocratiques” contre l’Allemagne. Et comme sans
relâche le bourrage de crânes et les contrevérités
les plus énormes accablaient l’Allemagne, ce n’est
qu’en septembre 1935 au congrès du NSDAP à
Nuremberg que Hitler se décida enfin à émettre
quelques lois bien timides qualifiées à tort
d’antisémites, car elles n’étaient en fait
qu’antijuives. En gros ces lois se limitaient à
interdire tout mariage mixte entre Juifs et
Allemandes, à interdire aux ménages juifs de
posséder servantes et laquais allemands et à leur
interdire tout poste dans l’administration, dans
les médias et dans les professions artistiques et
libérales. Il devenait interdit aux médecins juifs
de soigner des Allemands, mais par contre il leur
restait loisible de soigner d’autres Juifs. De
même pour les avocats qui pouvaient toujours
défendre leurs coreligionnaires. Ces lois ne
faisaient qu’entériner la séparation des deux
peuples, mais pas leur exclusion. Ces lois étaient
agréées avec satisfaction par les communautés
juives d’Allemagne, car elles favorisaient leur
propre racisme séculaire et parce qu’elles
poussaient au retour en Palestine.
Rappelons à nouveau ici, que le refus de
l’AUTRE est un élément constitutif du judaïsme et
qu’il est d’application intégrale depuis la
naissance de l’état d’Israël. On peut affirmer,
que la religion juive est la mère de tous les
racismes. Le Deutéronome VII,3 nous dit: “Tu ne
donneras pas ta fille à leur fils et tu ne
prendras par leur fille pour ton fils.” Cette
obligation poussa les troupes de Josué lors de la
conquête de la Palestine aux temps bibliques à
massacrer allègrement tous les habitants de chaque
ville prise; après avoir bien entendu violé femmes
et enfants, ce que la Bible ne dit naturellement
pas. Mais nous y apprenons, que les massacres
remplaçaient la captivité habituelle des vaincus
chez les autres peuples. La religion et la morale
des Juifs sont codifiées dans leurs livres sacrés,
L A T H O R A e t L E T A L M U D e n c o r e e n s e i g n é s
actuellement et dont la lecture serait édifiante
pour tous nos pacifistes, oecuménistes et
antifascistes bêlants. Comme l’écrivait Renan: “Le
Juif ne connaît guère de devoirs qu’envers luimême; revendiquer et poursuivre sa vengeance toute
t h é o r i q u e e s t à s e s y e u x u n e o b l i g a t i o n
constante…” V o l t a i r e r e m a r q u e q u e: “L e
Pentateuque recommande d’exterminer et de
massacrer toutes les nations, que Jéhovah leur
aura livrées. Qu’il est permis de dépouiller un
non-juif; que seuls les Juifs sont des hommes, les
autres étant des bêtes, dont la semence est celle
d’un animal; que le meilleur des non-Juifs peut
être tué sans aucune honte, etc…” En fait les
lois antijuives de Nuremberg ne visaient nullement
à abaisser la “race juive”, mais à promouvoir la
“race aryenne” sans les excès fanatiques et
religieux du Talmud. C’était une simple loi
d’Apartheid, c-à-d de développement séparé. Les
Juifs y perdaient la nationalité allemande, mais
étaient élevés à la citoyenneté juive. La preuve
en est, qu’il devenait interdit aux Juifs de
hisser le drapeau allemand, mais comme nous le
verrons plus loin, il leur était permis de hisser
les couleurs sionistes, ce dont il ne se privèrent
pas jusqu’en septembre 1939.
Jusqu’en 1945 les Juifs d’Allemagne, qui ne
s’occupaient pas de politique, possédaient leur
vie communautaire propre, leurs journaux, leurs
réunions officielles et leurs synagogues. (Lire à
ce sujet les revues d’Histoire révisionniste et
“d’Histoire non conformiste”). Lorsqu’en 1945 les
Soviétiques prirent Berlin, une délégation de six
mille Juifs habitant encore la capitale vint
demander aux troupes soviétiques de pouvoir
rouvrir leurs synagogues, ce qui fut immédiatement
permis, et les Soviétiques furent aussi très
étonnés de voir, que les Allemands venaient juste
de réparer une des synagogues berlinoises, qui
venait d’être détruite dans un bombardement
américain quelques mois auparavant. De même
rappelons ici, que les derniers défenseurs de
Berlin, des Waffen SS Français, Danois et
Norvégiens furent eux aussi tout étonnés de
trouver dans Berlin un hôpital, une maternité et
un hospice entièrement consacrés aux Juifs
berlinois et cela en avril 1945. Ce fait ne fut
jamais démenti et est relaté par plusieurs
écrivains dont Saint-Loup et J. Mabire. Enfin il
f a u t a u s s i s i g n a l e r à c e s u j e t , q u e l e s
organisations juives du “retour en Israël” avaient
pignon sur rue jusqu’en septembre 1939 en
Allemagne nationale-socialiste, et qu’elles
travaillèrent main dans la main avec les services
d’émigration de la SS de Eichmann jusqu’à l’entrée
en guerre. Ces organisations pratiqueront en
1945-49 le terrorisme contre les Anglais en
Palestine et portent nom d’Irgoun et de Haganah.
Seuls les Juifs communistes d’Allemagne furent
parfois internés un temps dans des camps de
concentration, non parce qu’ils étaient juifs,
mais pour leurs agissements communistes et
politiques. D’ailleurs il est à noter, que la
plupart des lois anti-juives émises lors du
congrès de Nuremberg de septembre 1935 restèrent
toujours lettre morte, car même des hauts
dignitaires du régime National-Socialiste ne les
appliquaient pas. En effet par exemple le grand
amiral Reader, chef de la flotte, se vanta en 1941
lors d’un discours officiel, de garder de nombreux
Juifs dans les services de la marine. De même le
maréchal Goering et sa seconde femme, une actrice,
aidèrent de nombreux Juifs à vivre libres durant
toute la guerre (ce dont à leur habitude ils
n’eurent aucun remerciement ensuite). Le chef
d’état-major de la Luftwaffe, le général Milch
était fils de rabbin de même que son jeune frère
capitaine de parachutistes dans la division Herman
Goering. C’est pour cette raison qu’en 1941
Goering déclara même que: “C’est moi qui décide,
qui est Juif et qui ne l’est pas.” On cite même le
cas de certain demi-juifs, qui combattirent dans
la Waffen SS de Himmler, entre autre dans les
divisions Wiking (lire à ce sujet le livre “SS” de
Peter Neuman) et dans la Wallonie. (fait confirmé
par Léon Degrelle) Lorsque ces cas étaient
détectés Himmler les remerciait avec des lettres
d’éloges, s’ils avaient été bons soldats (il en
existe des exemplaires). Citons aussi le cas de
l’éditeur juif Max Amman, qui fut l’adjudant de
Hitler durant la guerre 14-18, qui resta toute la
guerre son ami, et qui servit même un temps de
caissier au jeune parti NSDAP de Munich. Citons
enfin l’un des premiers gardes du corps de Hitler,
Emile Maurice, qui lui aussi était juif et
terminera la guerre comme colonel SS. Citons aussi
l’un des plus célèbres chefs de guerre de
l’Allemagne hitlérienne, le maréchal von Manstein.
Celui-ci, juif né Léwinski, fut adopté par le
général prussien von Manstein et porta ensuite son
nom. Ce juif était même un neveu éloigné du
maréchal von Hindenburg. Malgré ses origines
juives connues de Hitler, il fut l’un des généraux
en qui il avait le plus confiance et a lui seul de
par sa position dans la Wehrmacht il nous démontre
que l’antisémitisme hitlérien relève plus d’une
fable que d’une réalité fanatique.
Quant aux camps de concentration, qui ne
furent jamais des camps d’extermination, comme
nous le démontrent à suffisance actuellement les
historiens révisionnistes (c’est pour cette raison
que leurs écrits sont interdits dans de nombreuses
“démocraties” qui sont soi-disant adeptes des
droits de l’homme), ils ne répondaient qu’à un
isolement en temps de guerre d’une population
étrangère susceptible de créer des troubles,
d’effectuer des sabotages et de contrecarrer
l’effort de guerre. Le port obligatoire de
l’étoile jaune correspondait lui aussi à cet
i s o l e m e n t r e l a t i f , c a r d e n o m b r e u x J u i f s
considérés comme non dangereux restaient sur
place, même dans les pays occupés comme la France
et la Belgique. J’ai pour ma part connu un petit
Juif, qui gagna sa vie durant toute la guerre en
s ‘ o c c u p a n t c h a q u e m o i s d e s c a r t e s d e
ravitaillement de tout un quartier de ma ville, il
était perpétuellement à la Kommandantur pour les
questions administratives des citadins de ce
quartier et il ne fut jamais déporté. Certains
Juifs amenés dans des camps de concentration en
ressortirent même avec les honneurs pour services
rendus. Ainsi les trois Juifs, qui fabriquèrent
dans le camp d’Oranienburg les fausses Livres
S t e r l i n g , q u i s e r v i r e n t à p a y e r l ‘ e s p i o n
“Cicéron” (alias Elyesa Bazna). Celui-ci était le
valet de chambre de l’ambassadeur d’Angleterre à
Ankara et il espionnait son maître pour les
A l l e m a n d s . L e s t r o i s f a u s s a i r e s J u i f s
d’Oranienburg furent décorés de la “Croix pour le
mérite” et libérés sur ordre de Hitler. De toute
façon les camps de concentration hitlériens ne
furent jamais pires que les camps américains où
furent internés et croupirent de nombreux Japonais
et Germano-américains à partir de décembre 1941.
En 1940 les Allemands enfermèrent les
ressortissants britanniques à Besançon et ensuite
dans les palaces de Vittel. Par contre les Anglais
emprisonnèrent les Allemands dans d’horribles
conditions et les transférèrent à fond de cales au
Canada et certains périrent en mer. Les Américains
firent de même avec tous leurs Japonais et même
avec des blancs ayant épousé des japonaises, soit
120.000, de même des sujets allemands et des
Allemands américains et même 11.000 témoins de
Jéhovah. Quant à Staline il envoya en Sibérie
même, des Juifs polonais(des centaines de mille);
tous les Allemands établis en URSS (2 millions
dont les 500.000 de la Volga), ainsi que des Juifs
Tchèques et Hongrois. Il y avait 14 Groupes à
envoyer au Goulag, même les philatélistes. En outre en 1945 ils chassèrent plus de 15 millions
d’Allemands des territoires de l’Est. En outre des
Républicains espagnols du camp de Gurs en France
se retrouvèrent ensuite à Buchenwald, qui à leurs
dires était bien moins sévère que les camps
français.
R a p p e l o n s a u s s i , q u e l e s c a m p s d e
concentration furent “inventés” à la Révolution
française ; ensuite réinventés par les Anglais
lors de la guerre des Boers en 1901, et ces
derniers furent eux de véritables mouroirs où les
Anglais laissèrent mourir de faim les familles des
Boers, femmes et enfants. Si la mortalité fut
i m p o r t a n t e d a n s l e s c a m p s a l l e m a n d s
(principalement à Belsen) ce ne fut que lors des
derniers mois de guerre après janvier 1945,
lorsque la chasse (les avions) alliée interdisait
tout transport (même de vivres) sur le territoire
allemand. A la suite de cela certains camps virent
aussi leur mortalité considérablement augmenter à
cause d’épidémies de Typhus. D’autre part il faut
lire “La controverse sur l’extermination des Juifs
par les Allemands” (paru au Vrÿ Historische
Onderzoek BP 60/Berchem 2/Belgique) où un
historien révisionniste démontre très bien comment
disparurent en URSS les Juifs du camp d’Auschwitz;
camp qui ne fut d’ailleurs pour beaucoup que de
transit. Et n’oublions pas enfin, qu’en 1940
Hitler voulut déporter les Juifs à Madagascar avec
l’accord officieux des Anglais, mais Pétain
refusa. Cette idée de les envoyer à Madagascar
n’était même pas d’Hitler au départ. Le premier
qui proposa cela fut le colonel Beck, le président
de Pologne, qui en décembre 1937 en fit la demande
à Yvan Delbos le ministre des affaires étrangères
du cabinet Chamtemps. Beck tout franc-maçon qu’il
était, voulait se débarrasser de ses juifs
polonais. (Fait relaté par Benoist-Méchin). Notons
aussi ici pour en finir avec ce sujet, que le
colonel Remy, un des plus grands chefs de la
résistance française écrivit en 1945 (dans son
livre intitulé: “La justice et l’opprobre”) que:
“Dans les camps de concentration allemands il n’y
a jamais eu plus de 25% de Politiques.” En
d’autres mots cela revient à dire que 75% des
prisonniers étaient des droits communs, c-à-d des
délinquants. D’ailleurs un des plus grands
“résistants” belges, grand franc-maçon lui aussi,
fut interné pour trafic de devises en temps de
guerre et non pour fait de résistance.
C e g r a n d s o c i a l i s t e , p r é s i d e n t d e
l’association des résistants belges ferait bien de
prendre un profil nettement plus humble. Lorsqu’il
fut interné, sa femme s’empressa de prier l’ancien
ministre belge De Man d’intercéder en faveur de
son mari pour le sortir de Dachau, mais celui-ci
ne put rien faire car son inculpation était celle
d’un “droit commun”. Grâce cependant à ses
relations communistes et internationalistes, il
put devenir Kapo au Revier (c-à-d à l’hôpital) du
camp, et il passa ainsi son internement sans trop
de problèmes.Tout en détroussant ses compagnons de
captivité comme les autres Kapos avaient coutume
de faire.
* * *
Mais revenons après cette longue digression à
notre sujet principal: L’ECONOMIE. Et attachonsnous à comprendre comment Hitler sortit sa patrie,
l’Allemagne, du marasme économique dans lequel les
banquiers Juifs cosmopolites avaient plongé le
monde en octobre 1929.
1) Tout d’abord, mais cela n’était pas neuf,
car depuis la plus haute antiquité les états le
pratiquaient, Hitler appliqua le Protectionnisme.
A l’époque tous les états industrialisés, la
France, l’Angleterre, le Japon et surtout les USA
le pratiquaient et de manière encore plus
drastique depuis 1929 en imposant des droits de
douane encore plus élevés que ceux pratiqués en
A l l e m a g n e n a t i o n a l – s o c i a l i s t e . D ‘ a i l l e u r s
aujourd’hui les USA et le Japon n’ont pas changé,
tout en appliquant ce protectionnisme certes de
manière plus sournoise, alors que l’Europe,
perpétuellement vendue au Mondialisme par ses
dirigeants est en fait une véritable passoire
douanière grâce au “Marché Commun”. A ce sujet
savez-vous, que les vendus qui gouvernent la
Belgique ont transféré toute la réserve d’or de la
banque centrale aux USA, à fort Knox. Cela
certainement afin que le pays soit ruiné d’avance
si par chance un jour un mouvement véritablement
nationaliste prenait le pouvoir en Belgique. Les
gouvernants belges, tous partis démocratiques
confondus, sont de tous les Européens ceux qui se
sont vendus le plus totalement au Mondialisme
juif. Et pour bien faire allégeance à leurs
Maîtres et montrer leur souplesse d’échine, ils
vont en délégations régulières processionner à
Auschwitz, ce lieu du nouveau culte holocaustique,
qui doit finir par remplacer Lourdes et La Mecque.
En homme d’état responsable Hitler pensait
tout d’abord au bien-être de SON PEUPLE; sa
vocation européenne viendra plus tard. Mais la
guerre voulue et déclarée par les mafias
démocratiques ne lui laissa pas le temps de
réaliser son national-socialisme à l’échelle
européenne. Les Anglais et les G.I. américains ne
sont pas venus mourir sur les plages de Normandie
et ailleurs en Europe pour NOUS LIBERER, mais bien
pour nous imposer Bretton-Wood, le roi dollar et
le libre-échangisme. On ne le répétera jamais
assez.
M a l g r é q u ‘ i l s é t a i e n t f a r o u c h e m e n t
protectionnistes pour eux-mêmes, les Américains,
gouvernés déjà du temps d’Hitler par les lobbies
cosmopolites, essayaient à l’inverse d’imposer le
libéralisme économique sauvage chez tous les
a u t r e s . I l s n e r é u s s i r e n t à l ‘ i m p o s e r
définitivement qu’après 1945, après la seconde
guerre mondiale, lorsqu’ils devinrent la puissance
mondiale dominante, bousculant même l’Angleterre.
Mais déjà dans les années trente les démocraties
occidentales étaient vendues à des degrés divers
au cosmopolitisme juif, dont le bastion principal
se situe à Wall-Street. Dès le début Hitler
s’opposa à ce “système”. Pour lui, fini d’enrichir
continuellement des trusts cosmopolites, des
banquiers véreux et des industriels apatrides au
détriment des ouvriers et des peuples. De ce fait:
2) Il s’opposa aux capitaux baladeurs en
imposant aux Allemands fortunés d’investir
préférentiellement dans la communauté allemande
par divers moyens comme des facilités et des
réductions d’impôts, des détaxations diverses.
Pour lui le capital est au service du peuple qui
l’a engendré c-à-d de ceux, qui par leur travail
ont permis aux industriels de s’enrichir et de
tirer profits. Dans le cas inverse, les capitaux
baladeurs furent extraordinairement plus taxés et
imposés. En outre Hitler faisait une nette
distinction entre l’argent productif et l’argent
spéculatif. Le premier seul avait ses faveurs. Il
préconisa de ce fait à tous les Allemands
d’acheter en priorité les produits allemands. Il
partait du principe, qu’une économie prospère
devait toujours s’appuyer sur un haut niveau de
v i e d e s m a s s e s , e t q u e l e s e n t i m e n t d e
responsabilité sociale de chaque individu ne
devait jamais s’affaiblir par une charge d’impôts
e x c e s s i f s , n i p a r u n e a i d e s o c i a l e
“mécanique” (comme actuellement), mais qu’il
fallait toujours faire appel au sentiment de
justice et de camaraderie. Nous pouvons constater,
que dans nos démocraties actuelles, principalement
en France et en Belgique, les pays européens les
plus taxés et imposés, c’est exactement le
contraire qui se pratique, les impôts du travail y
sont excessifs, diminuant d’autant le pouvoir
d’achat des travailleurs au profit de la caste
apatride et des lobbies américains et israéliens.
Le FMI, Maestricht et le Gatt ne font qu’entériner
cet état de chose.
Tout en favorisant au maximum la vente et
l’achat des produits allemands dans sa communauté,
Hitler prit en main leur distribution, il la
réorganisa afin de supprimer les intermédiaires
abusifs, les agitateurs, les affameurs et les
spéculateurs sans scrupules. Pour ce faire, il
n’hésita jamais à utiliser les véhicules du parti
et même plus tard ceux de l’armée, elle aussi de
cette façon au service du peuple. Accessoirement
le troc fut favorisé un temps: D’abord entre
Allemands, mais ensuite avec d’autres pays. En
effet Hitler veilla tout spécialement pour
commencer à placer au plus haut niveau la qualité
des produits allemands. Cette qualité supérieure
se basait sur l’amour des Allemands pour le
t r a v a i l b i e n f a i t , s u r l e u r c o n s c i e n c e
professionnelle. Cette qualité favorisait ainsi
l’exportation et:
3) Le troc s’installa avec d’autres pays, qui
eux aussi voulaient éviter l’exploitation
cosmopolite. Ainsi la Norvège fournissait du fer à
l’Allemagne, qui le travaillait et repayait les
Norvégiens en leur fournissant des produits finis.
Il en allait de même avec la Roumanie, qui
échangeait son blé contre des produits finis.
La Yougoslavie échangeait du fourrage contre
des produits finis. Chose plus étonnante encore
les colonies juives de Palestine fournissaient
agrumes et oranges, etc… à l’Allemagne de
Hitler, qui les payait en automobiles. Ce Troc
évitait les pourcentages bancaires cosmopolites.
4) Afin de diminuer rapidement le nombre de
ses chômeurs Hitler décida de moderniser son pays
et de le doter d’infrastructures modernes. Il fit
construire des écoles, des universités, des
théâtres, des églises pour les divers cultes, des
hôpitaux, des ponts, des autoroutes, des crèches,
des champs d’aviation, des lignes ferroviaires
supplémentaires, assécher des marécages, etc..
Mais surtout le parti s’attacha à créer des cités
ouvrières et de nombreux logements, à embellir les
villes et les villages, et surtout à rendre au
travail manuel tout l’honneur qu’il avait perdu
dans les démocraties. Dans le domaine social, en
trois ans le National-Socialisme construisit
701.552 maisons ouvrières, 80.301 demeures plus
vastes, plus de 2.000 églises et temples,
plusieurs centaines d’hôpitaux. Car Hitler
désirait ardemment, que chaque citoyen possède sa
petite maison (pas un HLM ou un appartement
standard dans des buildings cages-à-poules),
c’est-à-dire son petit lopin de terre sur lequel
il serait maître absolu et qu’il pourrait orner et
organiser à son goût. L’inverse donc de la
philosophie démocratique où tout doit être
semblable et dans les normes et où l’égalité n’est
qu’un leurre extérieur. Pour Hitler la notion de
progrès était incompatible avec celle d’égalité,
mais pas avec celle de justice. Car appliquer un
traitement égal à un ensemble d’individus inégaux
dès la naissance (inégaux physiquement et
intellectuellement) c’est la plus grave des
injustices. Pour Hitler la nouvelle société
allemande devait être hiérarchisée suivant les
capacités de chacun, ça c’est l’élémentaire
justice. Hitler était un éthologue avant la
lettre. En visionnaire il voulait aussi, que
chacun puisse posséder son automobile dans
l’optique d’une justice sociale à long terme; et
ce fut la création de la cité Volkswagen sur le
canal Mittewald. C’est pour toutes ces raisons,
tous ayant du travail et réacquérant des biens,
que lors d’un Gallup organisé par les forces
d’occupation en Allemagne en 1949 et après 3 ans
de campagne anti-nazie forcenée, 68% des ouvriers
allemands se déclarèrent plus heureux au temps où
Hitler était au pouvoir, et 16% avaient par
crainte refusé de répondre à l’enquête.
Comme Hitler punissait très sévèrement tous
les tripotages financiers, ses autoroutes et ses
ponts sont encore fonctionnels actuellement,
malgré l’intense charroi routier moderne. Comparez
cela à nos autoroutes et à nos ponts actuels
(comme sur la fameuse autoroute des Ardennes
belges construite sous l’égide et sous les potsde-vin du ministre Chabert), qui se dégradent
r a p i d e m e n t à c a u s e d e d i v e r s v i c e s d e
construction, vices liés à des magouilles
diverses. A ce stade un mot d’explication est
nécessaire, car certains pourraient se demander,
où Hitler, maître d’un pays ruiné, trouva l’argent
pour financer et pour réaliser tous ces projets,
surtout après les faillites boursières du crash de
1929. C’est raisonner en “démocrate libéral”
obtus. En effet, il faut tout d’abord bien
comprendre, que “l’argent papier” comme le Dollar
se fabrique simplement sur une planche à billets.
Le banquier ne fait rien d’autre que de fabriquer
du papier “coloré”, en restant commodément assis
dans son fauteuil. C’est d’ailleurs Edmond de
Rotschild qui a dit: “Dites-moi qui frappe monnaie
dans un pays et je deviens maître de ce pays.”
Cela veut tout simplement dire, que c’est le
banquier, le détenteur de la fabrication de la
monnaie qui est maître du pays. Ce n’est pas pour
rien, que l’on pousse actuellement l’Europe à
adopter une monnaie unique avec une banque
centrale unique à Francfort, c-à-d là où se situe
l’origine de toute la famille de ces banquiers
Rothschild, qui écumèrent et écument encore toute
l’Europe. La monnaie unique étant installée,
toutes les nations européennes auront perdu leur
autonomie, et comme nous le verrons, il sera alors
n e t t e m e n t p l u s d i f f i c i l e p o u r u n e n a t i o n
d’échapper aux serres du cosmopolitisme juif, du
moins de la manière dont Hitler le fit. Tout l’or
est à fort Knox, en France et en Afrique du sud,
c-à-d dans des mains juives; L’argent reste encore
un peu éparpillé, mais la monnaie papier se
fabrique sur les planches à billets cosmopolites.
Et que dire ensuite de la “monnaie scripturale”,
qui représente une escroquerie encore plus énorme,
car elle n’est même plus en rapport avec
l’encaisse “billets papiers”. Tout banquier peut
de cette façon faire des transactions pour dix
fois plus que sa véritable encaisse (qui n’est
même plus or, mais papier). Ces transactions sont
alors basées simplement sur le renom “légal” de sa
banque. Et lorsque cela tourne mal comme au crédit
l y o n n a i s e n F r a n c e , l ‘ E t a t , c – à – d l e s
contribuables, doit se charger de payer la dette
frauduleuse afin de rester, lui, crédible au
niveau international (ce crash lyonnais fut de 60
milliards de francs français). Et ne parlons même
pas de la monnaie baladeuse sur ordinateur. A voir
l’argent jeté aux visages des joueurs de loteries
ou de jeux télévisés, même les imbéciles peuvent
se rendre compte, que l’argent est sans valeur
réelle, mais ces jeux permettent à tous de rêver.
Ils entretiennent chez tous l’espoir de devenir un
jour riche, c-à-d l’égal d’un banquier. La seule
valeur est le travail d’un peuple.
En 1938 il n’y avait que peu de dollars en
circulation aux USA, mais brusquement Roosevelt en
posséda en quantité pour payer les travailleurs
des usines d’armements, qui commençaient à
travailler à plein pour l’Angleterre et pour
l’URSS. Roosevelt fit tout simplement tourner “la
planche à billets”. Ce véritable “assassin-fauteur
de guerre”, car c’est lui et sa clique de judéom a ç o n s , q u i p o u s s a i e n t e n s o u s – m a i n l e s
démocraties à entrer en guerre contre l’Allemagne
hitlérienne, c’est lui qui poussa le colonel
B e c k , p r e m i e r m i n i s t r e d e l a P o l o g n e , à
l’intransigeance. Il fit même beaucoup mieux; il
fournit en 1942 à son compère et coreligionnaire
Staline un exemplaire “officiel” des planches à
dollars (fait relevé et jamais démenti dans
“Derrota Mundial” de Salvador Borrego). Ainsi
Staline put aisément payer toutes les fournitures
en armes et en munitions provenant des USA; au
détriment naturellement des gogos américains qui
suent sang et eau pour posséder des dollars. Cette
fausse masse monétaire américaine “made in URSS”
circule encore toujours, prouvant ainsi le peu de
valeur réelle du dollar. Dollar qui reste
cependant IMPOSE comme monnaie d’échanges
internationaux. Naturellement ce qu’un chef d’état
comme Roosevelt ou comme un grand banquier comme
Rothschild peuvent se permettre, nul autre mortel
ne peut se hasarder de le faire sans être
immédiatement taxé de faussaire. Hitler, chef
d’état fit de même au départ pour relancer son
économie, mais il conserva l’honnêteté de limiter
ces nouveaux billets à ordre à son usage interne,
uniquement en Allemagne. Car:
5) Hitler partait du principe logique et
naturel, que ce qui fait marcher un pays, ce qui
l’enrichit, ce n’est pas l’argent papier, qui ne
s e r t q u e d e m o n n a i e d ‘ é c h a n g e d a n s l e s
transactions, mais c’est au contraire le courage,
l’agressivité au travail et l’amour du travail
bien fait de tout un peuple; c-à-d sa sueur et son
sang. C’est ce qui permit aux Allemands et aux
Japonais de redresser spectaculairement leur pays
après les énormes destructions de la dernière
guerre mondiale. Si un peuple travaille dur, crée
et produit de la qualité, comme le fait encore
toujours le peuple allemand (quoique déjà dans une
moindre mesure que du temps d’Hitler, car les
Allemands modernes subissent eux aussi le laisseraller général insinué partout par la mentalité
juive), ses produits se vendront toujours à
l’extérieur. Le pays acquiert ainsi des devises
internationales, et pour finir tout le peuple
s’enrichit, car sa monnaie devient proportionnelle
à un standard type, l’or. En gagnant la guerre les
Américains, ou plus exactement la juiverie
cosmopolite qui vit en Amérique, nous imposèrent
l’étalon “dollar”, c-à-d du papier, qui n’est même
pas assuré par “l’équivalent travail” du peuple
a m é r i c a i n . S e u l p e r s i s t e e n c o r e u n p e t i t
équivalent créatif et inventif grâce aux cerveaux
européens, que s’adjugèrent les Américains, soit
en soudoyant et en corrompant des cerveaux de
leurs “Alliés” européens, soit plus simplement en
razziant les savants allemands, comme ceux de
l’équipe von Braun. Il n’empêche qu’actuellement
l’équilibre monétaire international est instable
et dangereux, car sa base, le dollar, est à peine
plus lourde que du vent, et le FMI (fond monétaire
international) créé pour le stabiliser n’est
qu’une vaste fumisterie, une pompe à sueur, où les
plus fainéants imposent leur monnaie-papier aux
plus courageux. Ce n’est pas pour rien non plus,
que les Israéliens, peu créatifs, imposent à
l’Europe de mettre en commun nos cerveaux, afin de
mieux nous piller ensuite, car la création est
source de revenus.
Hitler savait tout cela, et c’est bien parce
qu’il analysa judicieusement et qu’il comprit
ainsi le moyen de briser le monopole des banquiers
j u i f s , q u e c e u x – c i l u i v o u e n t u n e h a i n e
perpétuelle, lui attribuant par le mensonge tous
les péchés de l’univers. D’autant plus que Hitler
était un homme d’état honnête. Dès que son pays
commença de nouveau à posséder des devises
étrangères, grâce à la qualité du travail de ses
habitants, le Führer réinvestit le tout dans des
organismes sociaux, de plus en plus protecteurs,
ainsi que dans des services d’agréments et de
divertissements afin d’embellir la vie de ses
travailleurs. La devise de l’Allemagne devenait:
“le travail par la joie, mais pas sans efforts.”
Ce fut le premier pays au monde à organiser des
“congés payés” et des vacances à bas prix, avant
la France socialiste de 1936. Hitler créa et
organisa aussi un ensemble de protections sociales
(médecines préventives, crèches, allocations
familiales, hospices, maternités gratuites et
aussi le “Lebensborn” tant décrié par nos
démocrates cosmopolites, et qui n’était en fait
qu’une prise en charge par l’état des orphelins et
des filles-mères abandonnées). Tous ces organismes
aidèrent aussi grandement à juguler le chômage.
Avant leur mise en place parfaite, il y eut
partout, sous l’égide du parti, des distributions
de vivres et des soupes populaires pour tous les
démunis et pour ceux qui étaient encore en
chômage. (En Allemagne ce n’était pas des
organismes privés comme celui de Coluche, qui
prenaient en charge les déshérités mais la
communauté entière, l’état). Ajoutons encore que
tous ces organismes créés pour les Allemands
d’abord, furent début 1939 étendus à tous les
étrangers nécessiteux vivant en Allemagne et plus
surprenant, même aux JUIFS vivant en Allemagne.
Ensuite au fur et à mesure de la rentrée des
devises étrangères grâce à l’exportation des
produits allemands d’excellente qualité, et grâce
à la stabilisation interne du pays, Hitler put
retirer progressivement les billets à ordre à
usage interne et les remplacer par le Reichmark à
équivalence internationale.
Dans sa jeunesse Hitler avait connu l’extrême
misère du monde ouvrier allemand. Aussi, avant
même sa prise de pouvoir il conçut un système
social révolutionnaire, afin d’améliorer la santé,
la vie et les conditions de travail de ses
concitoyens, afin aussi de leur rendre l’espoir
d’une vie équilibrée et heureuse dans l’effort
librement consenti. Pour Hitler le vieil adage
encore toujours d’actualité, qui enseigne que: “Le
capital crée le travail” devait être remplacé par
celui bien plus correct disant que: “C’est le
travail qui crée le capital.” Pour lui la
meilleure politique sociale est aussi la meilleure
politique économique. D’ailleurs rapidement
l’expérience démontra, que la politique sociale
bien comprise se traduisait, dans les grandes
comme dans les petites entreprises, par de
sensibles augmentations de rendements. D’autre
part, dès son accession au pouvoir Hitler
s’engagea progressivement et rapidement dans:
6) De nombreuses réductions d’impôts en faveur
du monde du travail, des jeunes, des familles
nombreuses et des pensionnés, partant du principe,
que trop d’impôts tue le goût au travail et toutes
les initiatives créatrices.
7) Tout le système social hitlérien était basé
sur l’organisation de l’Arbeitsfront c-à-d “Le
front national-socialiste du travail” dirigé très
longtemps par le docteur Ley. Après avoir:
8) supprimé les syndicats, cet instrument de
la médiocrité sous toutes ses formes et de la
mésentente sociale orchestrée. Hitler les remplaça
par le front du travail. Il nous dit à ce sujet
dans son discours du 24 octobre 1934: “Le Front du
T r a v a i l a l l e m a n d e s t l ‘ o r g a n i s a t i o n d e s
travailleurs allemands, intellectuels et manuels.
Son but est la formation d’une véritable
“communauté populaire de producteurs”. Il doit
veiller à ce que chaque individu puisse occuper la
place qui lui convient dans la vie économique de
l a n a t i o n , e n r a p p o r t a v e c s e s f a c u l t é s
intellectuelles ou physiques pour lui permettre
d’atteindre le plus haut rendement au plus grand
profit de la communauté.” C’était réellement de
l’éthologie avant la lettre. Hitler inculqua au
peuple que le service du travail est un honneur,
comme l’est le service militaire. Ce service n’est
plus conçu en vue d’un quelconque profit, mais
comme un bien communautaire de service d’utilité
publique. Ce service de 6 mois à 1 an après les
études secondaires et avant l’armée est exalté en
tant que valeur intrinsèque. Ce n’est plus un mal
nécessaire, mais un immense potentiel d’énergie
susceptible d’embellir la vie à condition d’être
mis au service de la collectivité.
L ‘ A r b e i t s f r o n t , o r g a n i s m e v r a i m e n t
exceptionnel, novateur et inhabituel pour cette
époque avait de nombreuses fonctions: Tout d’abord
il servait à régler tous les différends, qui
pouvaient survenir dans le monde du travail. Avec
lui plus de patrons exploiteurs, ni d’ouvriers
fainéants, tire aux flancs et perpétuellement
revendicatifs, chacun essayant de tirer la
couverture à soi. Cette fois la guerre sociale
était bien terminée, et tous, patrons et ouvriers,
œuvraient la main dans la main au bien-être de
tous, c-à-d du peuple. Les patrons ne devaient
plus craindre de grèves sauvages ni de sabotages
de l’outil, et en contrepartie les ouvriers
obtenaient la sécurité de l’emploi et une paye
décente assortie de nombreux avantages, au fur et
à mesure du développement de leur entreprise. Ces
avantages consistaient en cantines de plus en plus
nombreuses distribuant souvent des repas chauds;
en garderies d’enfants sur les lieux du travail;
en plaines de sports, en piscines, en salles de
lecture et en bibliothèques; en concerts et en
a c t i v i t é s c u l t u r e l l e s ( t h é â t r e s , o p é r a s ,
opérettes, conférences scientifiques, etc…) en
apprentissages professionnels, en assistances lors
de pertes d’emploi, suite à un accident, une
maladie ou suite à l’âge, et en congés payés dès
1933. Rappelons encore ici que la France et la
Belgique n’adoptèrent les congés payés qu’en 1936
forcés par l’exemple allemand, et qu’à cette
époque ces congés étaient déjà en Allemagne d’une
durée plus longue, en rapport avec l’âge, le
métier, le mérite, le rendement et le sérieux
professionnel de chacun. Ainsi les métiers durs,
comme les mineurs, où les jeunes et ceux de santé
fragile bénéficiaient de suppléments de congés
payés. En plus de ces congés payés par les
entreprises, l’état intervenait en créant des
voyages à prix réduits dans toute l’Allemagne, et
il construisit une flotte de navires de tourisme,
qui permettait à chacun de passer des vacances de
rêves dans des pays lointains à des prix
relativement modiques. Enfin l’Arbeitsfront gérait
l’attribution de logements bon marché, distribuait
des primes d’éloignement lors de travaux au loin,
et entreprenait la vente de la petite voiture
populaire VW lorsque la guerre survint. Il faut
lire à ce sujet: “La politique sociale du 3ème
Reich” par Heinrich Schulz aux éditions Libres
Opinions.” Cet ouvrage démontre en quelques pages
toute cette entreprise sociale du mouvement
h i t l é r i e n . I l c o n s t i t u e a u s s i u n e p r e u v e
supplémentaire des intentions pacifiques de
Hitler, de son désir de paix, car, plus que de
conquêtes, son grand rêve était de rendre son
peuple heureux. Mais il ne pouvait admettre, que
ce même peuple continue à être humilié par les
clauses iniques du traité de Versailles, et qu’il
continue à être morcelé chez des voisins, qui ne
respectaient pas les justes revendications de
leurs citoyens allemands, qui les opprimaient et
même les brutalisaient.
Hitler partait du principe naturel, qu’un
peuple forme un tout, une communauté où chacun est
dépendant et responsable des autres. Chacun y a
son rôle, et par conséquent dans une communauté
bien comprise la lutte des classes ne doit pas
exister du moment que tous les salaires sont
décents. Chaque profession, du balayeur de rue au
chef d’industrie, tous devaient être solidaires et
tous devaient être incorporés dans leur propre
corps de métier, le tout supervisé par le parti
unique. Mais l’état hitlérien n’était nullement
corporatiste au sens de l’Italie mussolinienne. Il
était nettement plus communautaire, c-à-d
TOTALEMENT protégé de la lutte des classes si
chère aux fossiles communistes et socialistes
internationalistes. Ces fossiles en sont encore
actuellement à Germinal et à la charte de
Quaregnon. En Allemagne.
9) La suppression de la lutte des classes
évita immédiatement toutes pertes d’argent,
d’activité et de bénéfice pour le pays tout
entier. Car toute grève assez importante finit
toujours par appauvrir toute la nation, c-à-d
l ‘ e n s e m b l e d e s c i t o y e n s , q u i d e v r o n t
nécessairement en payer les frais plus tard au
moyen de nouveaux emprunts chez les banquiersusuriers, c-à-d par une augmentation d’impôts et
une diminution du pouvoir d’achat. Seule une
communauté de sang peut éviter d’entrer dans cette
spirale infernale. Mais Hitler alla bien plus loin
dans sa logique sociale; là où aucun chef d’état
n’avait encore osé aller, c-à-d:
10) Qu’il mit au pas ses banquiers. Il leur
i m p o s a n o n s e u l e m e n t d e r é i n v e s t i r
préférentiellement dans leur pays, mais surtout il
les obligea de n’imposer qu’un pourcentage décent
dans leurs activités de prêts, soit 1,5% maximum.
Par comparaison actuellement, lorsque les banques
donnent par exemple 5% d’intérêts à leurs
épargnants, elles prêtent à 9 ou 10% aux
quémandeurs industriels ou privés. Hitler voulait
d’ailleurs arriver à des prêts d’état SANS
INTERÊTS, mais la guerre survint pour l’en
empêcher. Malgré cela cet objectif avait déjà
connu un début de réalisation avec la création de
la voiture populaire volkswagen, que chaque
ouvrier pouvait acheter à tempérament grâce à des
carnets d’épargne exonérés d’impôts.
11) Hitler non seulement mit au pas les
banquiers, mais il s’ingénia en outre à stabiliser
la monnaie afin que les pensionnés et les rentiers
ne voient pas leur labeur de toute une vie de
t r a v a i l d i l a p i d é p a r d e s s p é c u l a t e u r s
cosmopolites, comme c’est le cas actuellement. De
1933 à 1945 (ceci comprenant les années de guerre)
le Reichmark ne dévalua que de 12%, mais les
salaires augmentèrent de 11% durant cette même
période. Cette dévaluation fut naturellement dûe
en grande partie par l’état de guerre. Nous devons
la comparer avec les dévaluations actuelles des
démocraties, qui “officiellement” se chiffrent
entre 3 et 5% l’an, mais qui sont chaque année
officieusement plus élevées.
Au lieu d’écraser d’impôts et de taxes
diverses son peuple, Hitler augmenta donc dans un
premier temps la masse monétaire à usage interne
afin que les travailleurs et l’ensemble du peuple
puissent acheter des biens et monnayer leur peine.
Tout travail étant décemment payé sans retenues
excessives, car c’était l’Argent productif. Par
contre l’Argent spéculatif propre aux Démocraties
où les spéculateurs, banquiers et cosmopolites
peuvent s’enrichir sans travailler en boursicotant
sur les diverses monnaies, sur les changes et sur
le travail des autres, cet argent spéculatif était
drastiquement surveillé et limité par des
taxations importantes. C’était tout l’inverse de
la situation démocratique. Hitler favorisa aussi
l’Epargne, qui n’est selon lui que du travail
accumulé. Pour lui tout les biens honnêtement
g a g n é s é t a i e n t ” s a c r é s ” e t d e v a i e n t ê t r e
respectés; tout voleur de ces biens très
sévèrement jugé. A nouveau nous pouvons noter ici,
qu’Hitler faisait de l’éthologie avant la lettre.
Ce respect de la propriété et de l’épargne propre
au monde hitlérien démontre le véritable fossé qui
le sépare de la mentalité démocratique, où les
dirigeants s’acharnent à surtaxer les biens
visibles et immobiliers tout en protégeant
l ‘ a r g e n t s p é c u l a t i f , c – à – d l ‘ a r g e n t d e s
spéculateurs cosmopolites et des Juifs errants. Ce
n’est pas pour rien, que les plus acharnés
défenseurs du système démocratique s’ingénient,
quant à eux, à ne posséder que des biens mobiliers
cachés et officieux (or, argent, bijoux, diamants,
actions non déclarées, etc…) facilement
mobilisables et facilement transportables dans des
paradis fiscaux.
Pour Hitler la justice sociale consistait en
quatre points essentiels, soit, 1) Du travail
assuré, 2) Des salaires équitables, 3) Une maison
ou un logement décent, 4) La possibilité de
s’améliorer constamment. Mais le corollaire de
cette justice sociale c’est l’ordre et la
discipline. C’est pour cette raison, que Hitler
encourageait tous les Allemands à posséder leur
petite maison, non pas des appartements de série
dans des buildings “cages-à-lapins” ce qui ôte
tout sentiment de territoire, mais il préconisait
au contraire de belles petites maisons, où chacun
pouvait se sentir son propre maître; et que chacun
pouvait ordonner et embellir à son gré. Il
satisfaisait ainsi chez chaque Allemand l’éclosion
de l’instinct de territoire et de hiérarchie, deux
i n s t i n c t s o b l i g a t o i r e m e n t n é c e s s a i r e s à
l’équilibre psychique de chaque individu. En outre
partout il s’ingéniait à recréer des petites
communautés, où le sentiment d’appartenance devait
se sublimer. Ainsi il préconisait d’éviter dans
les villes des rues toutes droites, comme en
Amérique, afin de recréer dans chaque quartier la
sensation de dépendance communautaire nécessaire à
t o u t a n i m a l s o c i a l . ( V o i r à c e s u j e t l a
construction de Nordhoff le créateur de la cité
Volkswagen). Et dans ce même ordre d’idée Hitler
tenta toujours de diminuer le nombre des
fonctionnaires, car selon lui ils entravaient
t o u j o u r s l a b o n n e m a r c h e d e s a c t i v i t é s
professionnelles, et car il avait horreur
d’entretenir des inutiles. L’état hitlérien
consista donc en la situation inverse de celle
régnant dans nos démocraties, où la pléthore des
fonctionnaires se monte à plus de 58% du monde du
t r a v a i l p r i m a i r e e t s e c o n d a i r e . M a i s c e
fonctionnarisme permet de planquer nombre de
petits copains politiques peu courageux.
1 2 ) E n f i n s i g n a l o n s q u ‘ H i t l e r r e f u s a
o b s t i n é m e n t d ‘ e n r i c h i r l e s o r g a n i s m e s
internationaux (la SDN et ses nombreuses annexes
de l’époque) car pour lui ces organismes ne
servaient qu’à exploiter le sang et la sueur des
peuples travailleurs. Ces organismes sont des
leurres; nés dans les loges maçonniques ils ne
servent qu’à rançonner les peuples et à engraisser
une pléthore de cosmopolites inutiles sous
prétexte de belles idées utopiques et de belles
paroles lénifiantes. La nouvelle SDN s’appelle maintenant ONU, avec toutes ses annexes (Unesco,
OMS, aide au développement, FMI, etc…) mais les
buts et les méthodes restent les mêmes, c-à-d
i n s t a u r e r l e r a c k e t m o n d i a l d e s p e u p l e s
travailleurs au profit des fainéants et surtout au
profit du “peuple élu”.
Rappelons à nouveau ici, qu’à l’inverse de
tous les chefs d’état modernes et démocratiques,
qui sont la plupart du temps impliqués dans des
magouilles financières et dans des enrichissements
f r a u d u l e u x , H i t l e r r e s t a d ‘ u n e h o n n ê t e t é
scrupuleuse, tous ses biens provenant uniquement
de ses droits d’auteur du livre “Mein Kampf”. Même
sa maison de l’Obersaltzberg fut construite à ses
frais et non à ceux de l’état. Hitler raisonna
toujours en chef d’état intelligent, conscient et
hyperaltruiste pour les siens, fier d’appartenir
au peuple germanique. Il voulait et ne pensait
qu’au bonheur de son peuple à l’inverse des
politicailles démocratiques actuelles, qui ne
pensent, eux, qu’à exploiter leurs administrés et
à défendre leurs diverses prébendes et leurs
importants privilèges. Aucun égoïsme chez Hitler,
si ce n’était pour son peuple, dont il ne se
considérait que comme un maillon momentanément
dirigeant. A l’inverse de la mentalité juive et
démocratique, pour lui une société ne devait
jamais être basée uniquement sur le profit, mais
b i e n s u r l a J U S T I C E S O C I A L E e t s u r
l’épanouissement des individus qui la composent.
Malheureusement sa réussite était trop
dangereuse pour le mondialisme cosmopolite et elle
créa de nombreux envieux, à commencer par les
peuples anglo-saxons toujours les premiers au
s e r v i c e d e l a f i l o u t e r i e c o s m o p o l i t e . E t
l’Establishment fit tout pour pousser à la guerre
c e s e n v i e u x e t l ‘ e n s e m b l e d e s d é m o c r a t e s
imbéciles. Guerre enfin obtenue grâce à la
crétinerie d’un peuple slave arriéré, les Polonais. Grâce aussi à quelques traîtres vivant
dans la nation allemande. Ces traîtres à leur
communauté possédaient pour la plupart des vies
dissolues et des vices cachés inavouables (nous y
reviendrons) et beaucoup appartenaient à des
sectes religieuses cosmopolites comme les francsmaçons, et les marxistes de tous poils. Et la
guerre survint, empêchant Hitler de réaliser
pleinement son projet social. Mais nul doute que
s ‘ i l a v a i t r e m p o r t é l a v i c t o i r e s u r l e s
démocraties gangrenées, il aurait réussi à
organiser toute l’Europe comme il le fit en
Allemagne. Il aurait ainsi créé un vaste espace
latino-slavo-germanique de paix et de prospérité,
où tous les peuples européens auraient eu leur
place, car l’Europe était née avant la lettre dans
les rangs de la Waffen SS, cette élite guerrière.
Rappelons ici brièvement, que l’ensemble des
peuples indo-européens possède une conception
philosophique (une Weltanchauung) basée sur les
trois fonctions, c-à-d la sacrée, la guerrière et
la troisième d’intendance et de commerce. Nous
retrouvons ces trois fonctions partout grâce aux
études de Georges Dumezil (lire à ce sujet “Mythes
et Epopées” aux éditions NRF). Depuis l’époque du
fer et les civilisations de La Tène et de
Hallstatt les sociétés indo-européennes se sont
toujours constituées suivant; soit la fonction
guerrière, soit la fonction marchande. Inutile de
préciser que les sociétés guerrières sont les plus
élitistes ,c-à-d les plus naturelles car basées
sur la valeur réelle des individus. Au contraire
les sociétés marchandes sont toujours plus
injustes, car uniquement basées sur le fric et sur
le profit résultant de l’entregent commercial. Ces
sociétés sont anti-naturelles car elles ne
respectent pas la hiérarchie des fonctions et
elles mettent toujours en place une pseudo-élite
enrichie par le commerce, c-à-d la plupart du
temps par la tromperie. Rarissimes en effet sont
les commerçants honnêtes qui n’exploitent pas la
crédulité d’autrui. Or l’Europe de Hitler était
une Europe guerrière, c-à-d honnête, juste et
élitiste naturelle. L’Europe actuelle, celle du
XXIème siècle ne sera qu’une Europe mercantile et
cosmopolite, c-à-d une Europe à l’opposé de notre
conception philosophique indo-européenne. Elle est
certainement dû au fait que dans nos populations
le sang germanique s’amenuise au profit du sang
sémite. Dans “Mein Kampf” Hitler nous explique que
l’important est le sang germanique, et que la
plupart des peuples indo-européens en possèdent
dans des proportions diverses, bien souvent en
suffisance pour fonder une vaste Europe guerrière.
Pour lui seul le sang compte et la langue reste un
accessoire. Ainsi Hitler considérait les Wallons
comme des Germains de langue latine, et c’est pour
cette raison, qu’il n’hésita pas à dire à Léon
Degrelle, le commandeur des Wallons, que: “Si
j’avais eu la chance d’avoir un fils, je voudrais
que celui-ci vous ressemble.”
A l’inverse de toute croyance populaire et
médiatique AUCUNE MAGIE ne présida à la mise en
place du système social hitlérien. Il découla
simplement d’un énorme bon sens, de l’observation
géniale d’un homme et d’un peuple totalement
enclin à la solidarité, apprise en grande partie à
cette époque dans la souffrance des tranchées.
Nous retrouvons d’ailleurs ce bon-sens dans la
plupart des 25 points du programme du NSDAP, le
parti hitlérien. L’économie ne peut être redressée
efficacement, c-à-d durablement, que SI LE SOCIAL
SUIT, car alors les peuples retrouvent toute leur
cohésion et la lutte des classes disparaît. Et il
faut bien admettre, que socialement, dans des
conditions économiques mondiales catastrophiques,
Hitler réussit à redresser son pays, qu’une
social-démocratie s’était avérée incapable de
sortir de la ruine. Tous les militaires “alliés”
honnêtes, qui ont occupé l’Allemagne en 1945 et
avec qui j’ai pu m’entretenir sur ce sujet,
reconnurent qu’en 1945 l’Allemagne était de plus
de 20 ans en avance sur les Démocraties au point
de vue social. Les travailleurs du STO (service de
travail obligatoire en Allemagne durant la guerre)
me le confirmèrent, de même d’ailleurs que
d’anciens Waffen SS. Et à mon avis c’est
principalement à cause de cette réussite sociale
et économique que le Mondialisme cosmopolite
inventa des crimes de guerre horribles, afin
d’interdire tout retour à un tel système si
favorable aux peuples et si défavorable au
mondialisme. Mais il existait aussi une seconde
raison pour accuser ainsi le peuple allemand; il
fallait faire oublier au plus vite, et même
justifier, les crimes de guerre cent fois plus
horribles des “Alliés”, crimes engendrés par les
bombardements systématiques des populations
civiles de même que par les viols systèmatiques a
l’Est et parfois même a l’Ouest, sans oublier les
vols et les exactions nombreuses sur les civils
pratiqués par les troupes d’occupation. Et cela
malgré que les USA et l’Angleterre avaient tous
deux signé la Convention de La Haye condamnant ce
type d’atrocités. La seule excuse des violeurs et
des massacreurs soviétiques est de ne pas avoir
signé cette convention. La grande publicité et la
“farce” des procès de Nuremberg avaient pour but
réel de culpabiliser tout un peuple, en visant
même plus loin toute une race et tout un
continent, qui fatalement redeviendrait un
concurrent dans le futur. Futur d’autant plus
éloigné que le sentiment de culpabilité serait
plus prononcé.
* * *

En Conclusion nous pouvons comprendre, que
Hitler était une véritable calamité pour le
Mondialisme. Tout d’abord il était foncièrement
anti-juif; il ne s’en cachait pas et il racontait
partout avec force détails son expérience de
jeunesse pauvre à Vienne, ville cosmopolite, où il
fut forcé de les côtoyer et où il put bien
analyser et comprendre leurs manigances. Ensuite
il s’était déclaré foncièrement nationaliste et
antibolchevique, c-à-d anti-internationaliste.
Très documenté, il avait aussi compris, que la
franc-maçonnerie constituait un cheval de Troie
dans toutes les nations, et surtout que tous ses
membres, consciemment ou inconsciemment, étaient
a u x o r d r e s d e c e m ê m e i n t e r n a t i o n a l i s m e
cosmopolite. D’ailleurs sitôt les rênes du pouvoir
entre ses mains, il s’empressa de faire fermer les
loges tout en envoyant en camps de rééducation
certains de ses membres, les plus turbulents et
les plus mouillés dans les scandales politicofinanciers. Ce ne fut jamais une persécution
a b s o l u e c o m m e v e u l e n t l e f a i r e a c c r o i r e
actuellement l’ensemble des frères maçons, car il
conserva par imprudence et par bonté certains
membres de cette confrérie dans son entourage
(comme par exemple Hjalmar Schacht, Otto Abetz et
certains militaires comme von Stüpnagel et Canaris
(lire à ce sujet Salvador Borrego).
En outre Hitler, d’éducation catholique et
toute sa vie croyant, s’entendit longtemps avec
l’Eglise Romaine au point d’obtenir un concordat
avec le pape Pie XI par l’intermédiaire du futur
pape Pie XII, c-à-d de monseigneur Pacelli. Il ne
commença à critiquer certains aspects de l’Eglise
qu’après la parution de l’encyclique “Mit
Brennender Sorge” en 1937, lorsque Pie XI critiqua
le racisme et s’enorgueillit d’être un enjuivé.
Suite à cette encyclique certains prêtres
gauchistes critiquèrent publiquement la politique
nationale-socialiste d’apartheid avec l’aide de
laïcs de la gauche chrétienne comme Goerdeleer le
maire de Leipzig ou Adenauer le futur maire de
Cologne. N’oublions pas, que l’Eglise CATHOLIQUE
r e s t a l o n g t e m p s l ‘ e n n e m i e p r i n c i p a l e d u
Mondialisme athée, qui voyait donc d’un mauvais
œil cette entente avec Hitler, qui en fait
renouvelait le pacte eglise-dynastie des Habsbourg
d’Autriche. Pour le mondialisme, si ce pacte se
remettait à fonctionner, si un nouvel empire
catholique ou même païen indo-européen se recréait
a u c e n t r e d e l ‘ E u r o p e p o u r s ‘ o p p o s e r a u
matérialisme judéo-maçonnique athée, la première
guerre mondiale avait raté son but. Car l’attentat
de Sarajevo préparé et exécuté par des logeards
juifs de Serbie n’avait pour seul but que de
renverser l’Empire catholique d’Autriche-Hongrie
afin de favoriser l’envahissement de toute
l’Europe par les Bolcheviques, c-à-d par le bras
séculier de la juiverie internationale.
E n o u t r e H i t l e r é t a i t u n c h e f d ‘ é t a t
incorruptible, romantique et entêté. Il disait
tout ce qu’il pensait et faisait tout ce qu’il
disait. Il l’écrivait même. Sa politique ne fut
jamais tortueuse car il ne savait pas mentir. Et
malheureusement pour le Mondialisme il possédait
un énorme charisme, les foules se rendant vite
compte de sa sincérité. Très documenté, il avait
lu et assimilé les “Protocoles des Sages de Sion”.
Il en avait tiré les leçons et les conclusions
magistrales afin de stopper leur emprise sur
l’univers. Rappelez-vous que lors de sa prise de
pouvoir en janvier 1933 Schacht avait déclaré:
“Laissons faire Hitler dans six mois il mangera
dans notre main.” Or Schacht reflétait exactement
la pensée des loges et l’espérance du Mondialisme
de voir échouer Hitler en économie. Mais dès le
début Hitler ne joua pas le jeu du libéralisme
économique. Il refusa de payer les emprunts faits
avant lui et leurs intérêts perpétuels comme il
refusait de payer plus longtemps les dettes de
guerre. Il refusa d’entretenir l’ONU de l’époque
et ses nombreuses annexes. Mais surtout il prouva
rapidement, qu’avec de l’intelligence et de la
cohésion nationale et raciale l’on pouvait se
passer de l’argent libéral. Il touchait là le
Mondialisme à son point le plus sensible, il
l’estoquait au cœur, c-à-d que son or, sa force
principale, devenait obsolète. En outre Hitler
mettait au pas ses banquiers et il taxait
“l’argent spéculatif”. Il dynamisait son peuple
par des mesures sociales encore jamais osées
auparavant. Bref, non seulement il tournait les
difficultés inventées depuis plus de deux mille
ans par les usuriers juifs, mais il devenait de ce
fait un très mauvais exemple pour d’autres.
Le Mondialisme cosmopolite, qui ne vit que par
l’usure, par le mensonge et par la corruption des
politiciens véreux était mis en échec. Il pouvait
même s’écrouler, puisque de nombreux peuples
acceptaient l’idée d’une croisade antibolchevique
au côté de l’Allemagne. Or le bolchevisme était le
bras armé du Mondialisme. Bras armé bien plus sûr
que ne l’est actuellement l’Amérique démocratique.
Pour toutes ces raisons le congrès juif
mondial de mars 1934 réuni à New-York décida de
déclarer la guerre totale à Hitler. Pour le
Mondialisme il s’agissait d’une question de vie ou
de mort. Malheureusement pour le monde Hitler
commit aussi quelques erreurs à cause de sa
sincérité et de sa fougue. En outre les mensonges
quotidiennement diffusés à travers le monde par
l’ensemble des “médias aux ordres” et les belles
e n v o l é e s l é n i f i a n t e s d e l a p o l i t i c a i l l e
démocratique corrompue partout par l’or juif,
finirent par étourdir les peuples et les
poussèrent dans une seconde guerre mondiale
fratricide.

FUENTE:

http://documentos.morula.com.mx/wp-content/uploads/2012/10/HITLER-Contre-JUDA.pd

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