Capítulo V de «H frente a J»

Chapitre V ( a pág. 252)

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Chapitre V

HITLER L’HOMME DE PAIX.

Parmi les médias actuels nous trouvons tout
d ‘ a b o r d l e s T E L E V I S I O N S . L a p l u p a r t s o n t
“officielles”, d’état. D’autres sont privées et
publicitaires. De tous les médias ce sont
actuellement les plus importants car elles ne
demandent aucun effort intellectuel, leurs
messages étant prédigérés, et parce qu’elles
utilisent le sens le plus développé de l’espèce
humaine, c-à-d la vue. Il est presque inutile de
vous faire remarquer, que toutes ne distillent que
des nouvelles tronquées, car toutes, d’état ou
publicitaires, tirent leurs revenus soit des
agences publicitaires cosmopolites, soit des états
dont les dirigeants sont eux-mêmes aux ordres
absolus de ce même Mondialisme cosmopolite. Parmi
les autres médias nous trouvons ensuite les
RADIOS, elles aussi d’état ou publicitaires. Elles
ont moins de succès, vu qu’elles s’adressent au
sens de l’ouïe uniquement. Cependant tous leurs
journalistes sont eux aussi aux ordres du
Mondialisme. Ensuite viennent les JOURNAUX à gros
t i r a g e s ; T o u s r e p r é s e n t e n t d e s p a r t i s
démocratiques, mais en outre comme ils possèdent
tous une administration pléthorique et que de ce
fait ils possèdent de gros frais, tous dépendent
de leurs rubriques publicitaires quand ce n’est
pas de subsides de l’état. Or publicité et état
sont entièrement dans les mains du pouvoir
cosmopolite. Enfin viennent les journaux toutes
boîtes, eux exclusivement publicitaires donc
partiaux aussi. De ce fait comment voulez-vous
être convenablement informés par l’ensemble des
médias actuels? A part quelques petits journaux
“dits de droite ou plus exactement d’extrêmedroite” parce qu’ils refusent le Mondialisme, mais
leur tirage reste limité, l’information reste
truquée. Que vous soyez d’accord ou non avec
télévisions, radios ou journaux à gros tirage,
vous les entretenez par vos impôts. Ce Racket
représente le comble de la TYRANNIE DEMOCRATIQUE.
Ainsi messieurs les partisans du “libéralisme”
vous payez l’afflux de fausses nouvelles et
d’informations truquées tout en tressant, comme le
répétait Lénine, la corde qui servira à vous
pendre. Votre argent sert à entretenir la
clientèle journalistique des gouvernants en place,
c-à-d des valets obéissants de l’Establishment,
qui casent partout dans les médias ses “petits
protégés”. De telle sorte que le Mondialisme
décide seul des mots d’ordre à répercuter dans
l’ensemble des médias à travers le monde. Et Si
parfois l’un ou l’autre journaliste ou écrivain (à
part les maudits, les non-soumis, qualifiés tous
d’extrême-droite) possédait des velléités
d’indépendance, il sera promptement remis dans le
“droit chemin”, celui du mondialisme, soit par
pression financière (sa place ou sa paye), soit
par l’application du terrorisme intellectuel du
“politiquement correct” imposé par les lois
Fabius-Gayssot ou Erdekens-Moureaux (Juifs francsmaçons), soit même s’il récidive par application
du terrorisme physique sur lui ou sur ses proches.
Jamais le Mondialisme n’a reculé devant ces
méthodes de coercition. L’exemple le plus récent
date d’avril 1996 lorsque le professeur Garaudy,
communiste bon teint, fut excommunié pour son
livre critiquant Israël et les lobbies juifs; de
même que l’abbé Pierre, fanatique de tous les
mouvements antiracistes, mais cependant lui aussi
excommunié pour son soutien à son ami Garaudy.
Mais rappelez-vous aussi le passage à tabac
presque mortel du professeur Faurisson, un vieil
a n a r c h i s t e , e t l ‘ a s s a s s i n a t  d e  D u p r a t  c e
journaliste impartial.

Devant une telle situation et devant un tel
arsenal de dominations alimentaires et répressives
il n’y a rien d’étonnant, que les médias
appliquent à la lettre les mots d’ordre de
l’Establishment. Or ce dernier n’a et n’a toujours
eu qu’un seul ennemi; LE NATIONAL-SOCIALISME
personnalisé en son chef et son fondateur, ADOLF
HITLER. Rien d’étonnant donc à ce que l’ensemble
des médias ne cherche encore et toujours à le
diaboliser et à le désigner comme l’Antéchrist. Le
monde possède ainsi “officiellement” un boucémissaire, qui masque la présence DU VERITABLE
ANTECHRIST, c-à-d DE JUDA. Ce dernier possède de
nombreux visages; ils se nomment Karl Marx,
Lénine, Staline d’une part, mais Rockefeller,
Rotschild, Morgenthau, Marshall ou Roosevelt de
l’autre. Disraëli, ce juif qui devint 1er ministre
de la reine d’Angleterre Victoria, a écrit en 1844
un roman politique intitulé: “Coningsby.” Il y
dit: “Pensez-vous vraiment, qu’un représentant
modéré d’une université anglaise puisse écraser
ceux qui, tour à tour, ont déjoué les Pharaons,
Nabuchodonosor, Rome et la Féodalité? Ni les lois
pénales, ni les tortures physiques ne peuvent
entraîner l’absorption ou la destruction d’une
race supérieure par une race inférieure. Les races
mêlées des persécuteurs disparaissent; la race
pure des persécutés reste. En ce moment en dépit
d e s s i è c l e s e t d e s m i l l i e r s d ‘ a n n é e s d e
dégradation l’esprit judaïque exerce et exercera
toujours une grande influence sur les affaires
d’Europe.” Et il ajouta plus loin: “La race est la
clé de l’Histoire.” En réalité le vrai facies de
l’Antéchrist est celui du ROI des “Protocoles des
Sages de Sion”, c-à-d LE PEUPLE ELU.
Vu la propagation et l’entretien d’une telle
diabolisation manichéenne par les médias “bien
pensants”, je considère nécessaire de parfaire la
description de certaines caractéristiques du
Führer, quitte à me répéter parfois quelques peu.
Et commençons tout d’abord par démontrer, que loin
d’être un Antéchrist Hitler resta toute sa vie
catholique. Et je défie d’ailleurs quiconque,
journaliste ou historien, de me fournir un texte
ou Hitler renie explicitement sa foi. En effet,
comme la plupart des Bavarois et des Tyroliens,
Hitler fut toute sa vie imprégné de culture
chrétienne (Chrétien étant ici entendu dans le bon
sens du terme, c-à-d antimarxiste). Sa mère
profondément catholique veilla toujours à éduquer
ses enfants dans cette loi. Bien qu’adulte il
cessa d’être pratiquant (comme d’ailleurs beaucoup
d’adultes catholiques actuels), jamais il ne renia
sa foi. Mais à l’inverse de nombreux catholiques
Hitler était d’une TOLERANCE totale toute
germanique envers toutes les autres religions,
sauf bien entendu envers celle destructrice de
Karl Mordékai dit K. Marx. En vrai Indo-Européen
Hitler dissocia toujours politique et religion.
Sachant que bon nombre de ses adhérents, comme
Rudolf Hess, Alfred Rosenberg, Himmler et surtout
le maréchal Ludendorff étaient tous fortement
imprégnés du vieux fond romantique germanique et
païen, Hitler accepta sans difficulté un renouveau
du paganisme ancestral; paganisme attaché
viscéralement aux diverses populations indoeuropéennes, qu’elles soient germaniques ou grécolatine, antiques ou rurales. Cette tolérance,
incompréhensible pour des chrétiens enjuivés
élevés dans l’intolérance judaïque monothéiste,
est le plus grand reproche dont l’accable
maintenant l’Eglise chrétienne retournée à son
judaïsme originel. Après des siècles le pape Paul
VI retourna baiser la “terre sainte” d’Israël, et
Jean-Paul Il, ce demi-juif polonais décréta que
les Juifs n’étaient plus un peuple déicide. Les
chrétiens puissamment enjuivés de la fin du XXème
siècle sont plus portés à accepter le communisme
international niveleur qu’un NATIONALISME païen
élitiste.
Hitler était non seulement croyant, mais aussi
tellement imprégné d’éducation chrétienne, qu’il
consacra toute sa vie à défendre la civilisation
chrétienne européenne. Ce christianisme là, plus
exactement ce catholicisme, n’est naturellement
pas à confondre avec le christianisme marxisant
actuel des “Messeigneurs” Decourtray, Gaillot,
L u s t i g e r , S u e n e n s , D a n e e l s , e t a u t r e s
internationalistes et antiracistes patentés.
Dès sa jeunesse Hitler avait compris, que
l’Antéchrist c’était le JUDAISME BOLCHEVIK. Les
sans-dieux des Soviets le prouvèrent à suffisance
du temps de Lénine déjà, qui proclamait partout
que: “La religion est l’opium du peuple.” Lénine
et Staline, ces deux Juifs, imposèrent à une
Russie martyre l’athéisme dans les écoles,
l’instruction athée OBLIGATOIRE pour tous les
jeunes Russes de moins de 18 ans, la fermeture et
la démolition de la plupart des églises et des
monastères, ceux restant étant transformés en
écuries ou en entrepôts, la destructions des
icônes et la multiplication des “mascarades”
antireligieuses, qui remplaçait Dieu par la
déification du “petit père des peuples”, c-à-d de
Staline. Cette destruction religieuse systématique
e t c e t t e i n t o l é r a n c e d ‘ o r i g i n e j u d a ï q u e
horrifièrent Hitler. Mais féru d’histoire Hitler
voulait aussi empêcher la religion, quelle qu’elle
soit, d’intervenir et d’interférer dans les
“affaires terrestres”, c-à-d dans les décisions
d’état. La religion est affaire d’âme, personnelle
et intime; la gestion de l’état relève de
l’organisation terrestre. Cette attitude permet à
tous les hommes de bonne volonté d’une même nation
et d’une même race, mais de croyances différentes,
d’œuvrer ensemble pour le bien de la nation, de se
côtoyer sans heurts et d’éviter les guerres de
religions, qui ne cessèrent d’ensanglanter
l’Europe depuis l’irruption de l’intolérance
judaïque chrétienne.
Je le répète encore, jamais Hitler ne renia sa
foi chrétienne. Cependant il devint anticlérical
après 1943, car, la guerre s’éternisant, certains
prêtres et certains pasteurs, sentant une partie
de la population lasse des privations et des
efforts demandés, commencèrent à utiliser leur
chaire comme tribune politique. Et cela afin de
dénigrer haineusement la société élitiste
nationale-socialiste. Ces chrétiens gauchisants et
égalitaires retournaient ainsi avant la lettre à
leur source judaïque en essayant de dévoyer leurs
ouailles. Certaines églises et certains temples,
surtout dans les pays “provisoirement occupés”
devinrent ainsi non plus des lieux de sermons
religieux, mais bien de discours politiques.
Certains prêtres d’ailleurs, comme l’abbé Henri
Groes, le futur abbé Pierre, soutinrent et
aidèrent les maquis communistes, trouvant plus de
similitudes entre le message marxiste et leur
christianisme enjuivé qu’avec le NationalSocialisme élitiste, lui plus en conformité avec
le catholicisme européen. Si certains prêtres
s’acoquinèrent ainsi avec les marxistes, la grande
majorité resta cependant fidèle jusqu’à la fin à
l’Hitlérisme et à son chef, qu’ils considéraient
comme les plus sûrs remparts contre le bolchevisme
athée et foncièrement anticatholique. Parmi ces
prêtres citons pour mémoire monseigneur Mayol de
Lupé, monseigneur Innitzer, monseigneur Tizso, le
pape Pie XII et de simples curés comme Cyril
Verschaeve en Flandres ou l’abbé Verney à la
Waffen SS Charlemagne. Cette fidélité au NationalSocialisme se perpétua d’ailleurs dans l’immédiate
après-guerre par l’organisation de réseaux
d’évasion vers l’Amérique du sud pour de nombreux
c o m b a t t a n t s a n t i b o l c h e v i q u e s o u p o u r d e s
collaborateurs de la SS. D’ailleurs de nombreux
régiments SS possédaient leurs prêtres et leurs
pasteurs. Encore en automne 1944 la caserne de la
Waffen SS de Breslau mettait deux autobus à
disposition pour conduire tous les dimanches les
jeunes SS, qui le demandaient, à l’église
catholique ou au temple protestant. Ce fait
démontré mérite toute notre attention, alors qu’à
cette époque l’Allemagne subissait une pénurie de
plus en plus importante de produits pétroliers,
l’empêchant même parfois d’en avoir en suffisance
pour ses blindés et pour ses véhicules militaires.
Le fait d’être affilié à une communauté chrétienne
ne nuisait en rien à l’avancement dans le parti
national-socialiste ni dans la SS. Un de mes amis
arrivant pour la première fois en 1943 en
Allemagne fut tout étonné de rencontrer deux
nonnettes, qui arboraient fièrement sur leur
tunique l’insigne du parti National-Socialiste.
A l’époque où les Bolcheviques “alliés” aux
démocraties occidentales persécutaient les
chrétiens et détruisaient la plupart des églises
en Russie et en Ukraine, le National-Socialisme
fit construire plus de 2.500 églises nouvelles en
Allemagne, c-à-d de 1933 à 1944. Durant cette
période aucune église chrétienne ne fut fermée,
pas même celles où des prêtres politiciens
dénigrèrent l’état national-socialiste. C’est
d’ailleurs la loi hitlérienne, qui prescrivait la
PRIORITE DE L’ECOLE ET DE LA RELIGION sur le
service à la jeunesse hitlérienne.
Lorsque Hitler prit le pouvoir LEGALEMENT en
1933 l’Eglise Réformée la première l’assura de son
complet dévouement. Ensuite cette même année, en
plein accord avec Rome, les évêques allemands se
réunirent à Fulda et décrétèrent: “Nous ne
c o n s i d é r o n s p l u s c o m m e n é c e s s a i r e l e s
avertissements et les défenses générales édictés
par Nous, en leur temps, concernant le mouvement
national-socialiste.” N’attendant que cela
l’archevêque de Cologne accueillit avec joie les
étendards à croix gammée dans sa cathédrale, et
l’organe du Zentrum catholique, Germania,
é c r i v a i t : ” N o u s a p p r o u v o n s l a t o t a l e
responsabilité du chef, laquelle implique le droit
à une obéissance sans réserve.” Et cependant à
cette époque le programme national-socialiste
était connu de tous; et tous le trouvaient
magnifique, à part quelques milliers de fanatiques
irréductibles. Les officiers et les hommes des
formations nationales-socialistes recevaient les
sacrements en uniforme dans toutes les églises.
Tout cela n’a rien d’étonnant, du fait qu’avant sa
prise de pouvoir Hitler avait déclaré à plusieurs
reprises, que toutes les croyances religieuses
seraient respectées dans le Reich, pourvu qu’elles
ne portassent jamais atteinte au pouvoir de
l’état. Et rappelez-vous, comme je l’ai déjà
indiqué dans un chapitre précédent, que cette
tolérance s’appliquait aussi, à la religion juive,
et qu’encore en 1944 plusieurs synagogues
fonctionnaient normalement. Hitler avait répété,
qu’il ne s’occuperait jamais de ce qui se
passerait dans les évêchés, à condition que les
évêques ne s’occupent jamais de ce qui se
passerait dans la Chancellerie; et à sa demande
Goering précisa dans son discours du 26 mars 1938:
“Nous voulons procéder à une séparation bien
nette. L’Eglise a des tâches précises, importantes
et extrêmement utiles; l’Etat et le Mouvement en
ont d’autres, tout aussi importantes et décisives
pour la Nation.”
Rappelons aussi, que le 20 juillet 1933 un
concordat était signé entre le Vatican et le
gouvernement national-socialiste. Les signataires
étaient Franz von Papen et le cardinal Pacelli,
futur Pie XII alors secrétaire d’état de Pie XI.
P o u r l a p r e m i è r e f o i s d e p u i s l a R é f o r m e
l’Allemagne donnait un statut officiel à l’Eglise
catholique. L’état national-socialiste la
soutenait financièrement et décrétait que:
“L’enseignement de la religion catholique dans les
écoles élémentaires, professionnelles, moyennes et
supérieures est officiellement reconnu et sera
donné conformément aux principes de l’Eglise
catholique.” Hitler avait d’ailleurs précisé dans
“Mein Kampf” que: “Le Protestant le plus convaincu
peut marcher dans nos rangs avec le Catholique le
plus convaincu sans que leurs convictions
r e l i g i e u s e s s o i e n t l e m o i n s d u m o n d e
contrariées… Les idées et les institutions
religieuses doivent toujours être inviolables pour
le chef politique.” En fait catholiques et
protestants furent toujours unis à la base dans le
parti jusqu’à ce que les cathédrales et les
temples furent détruits et brûlés par les
bombardements anglo-saxons ou rasés et fermés par
les Bolcheviks.
Hitler mieux que tout autre savait, que les hommes ont toujours besoin d’un Dieu pour
a f f r o n t e r l ‘ i n c o n n u , l e s m i s è r e s e t l e s
difficultés de ce bas monde. Il est facile de
démolir un système religieux. La plupart des pays
communistes l’ont fait; mais il faut alors le
remplacer; et Hitler voulut toujours rester un
h o m m e p o u r s e s c o m p a t r i o t e s r e f u s a n t l a
déification acceptée par Staline. Il se rendait
aussi compte, que le contenu spirituel du
National-Socialisme ne suffirait jamais à combler
les aspirations spirituelles de la majorité des
Allemands, car pour accepter un paganisme basé sur
l a b i o l o g i e e t s u r l ‘ é l i t i s m e i l f a u t
nécessairement une âme d’acier. Seule une
véritable élite biologique possède assez de sangfroid pour concevoir ce type d’immortalité.
Beaucoup de catholiques fervents furent des
Nationaux-Socialistes convaincus et de choc. Un de
mes amis a d’ailleurs démontré cette évidence dans
un manuscrit intitulé: “De Rome à Thulé.” J’espère
sa publication prochaine et j’engage tous les
catholiques à le lire pour bien se rendre compte
de la religiosité du Führer et de nombreux membres
de son mouvement. (comme Julius Streicher par
exemple)
Le 30 janvier 1933 Hitler accède légalement au
p o u v o i r . A p a r t i r d e c e m o m e n t b e a u c o u p
d’opportunistes et même de nombreux anciens
communistes se précipitèrent pour s’inscrire au
parti. Le gauchisme de certains bonzes du NSDAP,
comme les frères Strasser et comme Rhöm et sa
clique facilitèrent leur admission. En quelques
mois le parti atteignit ainsi près de 8 millions
d’adhérents (sur une population de 68 millions
d’Allemands). Ces huit millions représentaient
toutes les organisations du parti confondues; les
éléments féminins aussi bien que masculins et tous
les jeunes; des prêtres et des bonnes sœurs
étaient même membres du parti.
Si rien d’important ne pouvait voir le jour
sans l’accord de Hitler, lorsqu’il fut devenu
président du Reich, celui-ci ne pouvait cependant
pas tout superviser. Il devait se reposer sur des
conseillers, dont certains membres du parti, qui
étaient cependant d’une intelligence limitée. Ils
comprenaient mal le grand dessein de leur chef, et
d e c e f a i t n e u t r a l i s a i e n t m ê m e p a r f o i s
inconsciemment ses décisions. Mais en outre Hitler
d e v a i t a u s s i s e r e p o s e r s u r d e n o m b r e u x
fonctionnaires de l’ancien régime depuis longtemps
en place. Consciemment ou par bêtises, beaucoup
d’entre-eux passèrent leur temps à saboter et à
f r e i n e r a u m a x i m u m l a m i s e e n p l a c e d e s
r é a l i s a t i o n s n a t i o n a l e s – s o c i a l i s t e s .
Principalement toute une clique bien consciente de
traîtres et de francs-maçons. Parmi les traîtres
importants citons ici pour mémoire (mais nous y
reviendrons) l’ignoble Canaris, un juif acoquiné
avec l’Establishment, son compère le colonel
Lahousen, ou bien le colonel des transmission
n o m m é F i e l g i e b e l c r y p t o – c o m m u n i s t e , q u i
transmettait fidèlement toutes les décisions du
grand état-major à ses compères de la “Rote
Kapelle” (réseau d’espionnage presque entièrement
judéo-communiste dirigé de Suisse et de Bruxelles
par le juif Trepper). Ce militaire communiste
m a s q u é f u t d é m a s q u é e t f u s i l l é e n 1 9 4 4 .
Trahissaient aussi toute la clique des officiers
supérieurs pédérastes, qui gravitaient autour de
Goerdeleer et du comte Stauffenberg. Mais il y
avait aussi les nombreux francs-maçons, cet état
dans l’état, qui obéissaient aux ordres de
l’Establishment.
En mai 1933 Hitler instaura tout d’abord un
nettoyage moral des villes, dont certaines comme
Berlin étaient de véritables lupanars. Cet
assainissement lui aliéna tous les dévoyés
s e x u e l s , a i n s i q u e b e a u c o u p d e J u i f s e t
d’enjuivés, qui vivaient grassement de la
prostitution et de la pornographie, ou qui
gravitaient autour de ce monde interlope.16 Au même }}}}}}}}}}}}  16

16 Sous le régime hitlérien, les protituées étaient libres de pratiquer leur profession, mais TOUS les
proxénètes furent internés dans des camps de concentration afin d’y être rééduqués. Ce fait fut encore
signalé lors d’une émission TV à la gloire des quartiers de Sankt Pauli de Hambourg sur la chaîne juive
“Arte” en septembre 2000. A l’inverse de l’ensemble des démocraties, le régime hitlérien bien qu’assez
prude sous certains aspects tolérait la prostitution, mais pas l’exploitation éhontée des femmes.

moment Hitler fit fermer les loges. Mais
pratiquement il se contenta de cette demi-mesure,
car très rares furent ces internationalistes
judaïsés envoyés un temps dans des camps de rééducation. La majorité ne fut même pas inquiétée et la plupart des frères restèrent en poste, soit
dans l’armée, soit dans l’administration, soit
même dans le corps diplomatique. Ainsi Hjalmar
Schacht, président de la Reichsbank, et acquitté
naturellement au procès de Nuremberg, était membre
influent de la loge “Urania”; loge dont était
membre aussi le futur président de l’état
tchécoslovaque annexé en 1939 par Hitler, le
président Hacha, de même que le président Serbe
Neditch. Le président polonais Rydz-Migly et le
premier ministre de cet état, le colonel Beck, eux
aussi étaient francs-maçons. De même que le
diplomate Otto Abetz le représentant de Hitler en
France occupée. Abetz fut “initié” à la loge
Goethe de Paris avant guerre grâce à ses amis
Juifs, Walter Strauss, fils d’un banquier de
Karlsruhe, et Weil-Curiel le grand franc-maçon
français. Tous ces individus et bien d’autres
pratiquèrent un sabotage larvé et conscient, à la
longue bien plus destructeur qu’il n’y paraît.
N’en voulons pour preuves que les constantes
doléances et les récriminations à ce sujet par
Nordorff, qui eut la responsabilité de créer de
rien la cité Volkswagen le long du canal Mittwald
(lire à ce sujet: “Dix millions de coccinelles”
par l’écrivain Saint-Loup).
Au fond ce qui manqua toujours au NationalSocialisme et à son chef, ce fut le temps pour
organiser parfaitement son plan social. Ce besoin
de temps prouve à lui seul, que l’Allemagne
hitlérienne ne voulait ni ne préparait aucune
g u e r r e d ‘ a g r e s s i o n . M a i s l ‘ E s t a b l i s h m e n t
mondialiste, lui, voulait absolument faire la
guerre et le plus tôt possible, car Hitler avait
trouvé le système pour faire fonctionner une
grande nation sans l’or juif. Tous les peuples
furent entraînés dans la guerre sous un mauvais
prétexte, Dantzig, en réalité pour défendre le
système bancaire du Mondialisme et la Francmaçonnerie. Mais nous y reviendrons encore. Non
seulement le temps manqua toujours à Hitler, mais
sa culture et sa bonté naturelle l’empêchèrent
toujours d’éliminer physiquement en masse ses
opposants, les défaitistes et les saboteurs, comme
le fit sans vergogne son ainé Staline, ce juif
sadique et déifié. Le National-Socialisme ne fut
pas le communisme, qui lui, étrangement a toujours
pignon sur rue en démocratie libérale, et le
germain Hitler ne pouvait ni concevoir ni
appliquer la tyrannie juive, qui écrasa les
peuples slaves. (Lire à ce sujet “La Russophobie”
d’Igor Chafarévitch).
Actuellement les loges maçonniques veulent
faire accroire, qu’elles résistèrent avec ardeur
contre l’envahisseur national-socialiste dans
toute l’Europe occupée. Cette opinion est
mensongère. Même en France beaucoup collaborèrent
plus ou moins sous la haute direction du juif
Weil-Curiel et de son ami Otto Abetz. Mêmes des
Juifs collaborèrent, comme Joinovici et sa bande
de ferrailleurs; certains pour dénoncer d’autres
Juifs et s’approprier ainsi une partie de leur
fortune, d’autres par pur appât du gain. Beaucoup
de Juifs furent protégés par Abetz, comme par
exemple toute la famille des Rothschild, qui fut
conduite en Espagne en 1941 par Hendaye sous
l’escorte de la police allemande et avec deux gros
camions de l’armée remplis à ras-bord de leurs
biens. (Fait cité par monseigneur Jouin dans les
“Protocolos de los Sabios de Sion). En France les
logeards résistants déportés sont répertoriés dans
le livre intitulé: “Les Francs-Maçons sous
l’occupation” par Argus. Environ 500 furent
déportés et connurent les camps de concentration
et environ la moitié y décédèrent pour causes
diverses. Naturellement à partir de 1943, lorsque
l e v e n t c o m m e n ç a à t o u r n e r , t o u s l e s
collaborationnistes commencèrent à virer à gauche
et à saboter l’effort de guerre hitlérien.
Certains jusqu’à la fin jouèrent sur les deux
tableaux.
Mais pour en revenir à Hitler et à sa bonté,
je tiens à nouveau à attirer l’attention sur une
réalisation nationale-socialiste à laquelle Hitler
tenait beaucoup, approuvée par lui mais en réalité
créée et supervisée par Himmler. A nouveau les
médias démocratiques nous présentent cette
réalisation comme l’abomination des abominations,
comme une œuvre satanique entourée d’une aura de
perversion sexuelle. Il s’agit des Lebensborn,
présentés comme une espèce de haras humains, où
les “méchants SS” pouvaient forniquer à leur aise.
En réalité les Lebensborn était un organisme
d’assistance sociale et médicale destiné aux
jeunes-filles mères et aux enfants des couples SS
illégitimes, ou dont le père était décédé à la
guerre.
Lors de son accession au pouvoir Hitler avait
été très impressionné par la misère et par la
détresse de nombreuses filles-mères. Elles étaient
abondantes, car la république enjuivée de Weimar
avait transformé les grandes villes allemandes en
véritables lupanars. Voyant cela Hitler se
rappelait sa jeunesse à Vienne où la plupart des
souteneurs étaient Juifs. Mais malgré la pollution
raciale possible de ces innombrables malheureuses
mères exploitées par la misère du début des années
trente, Hitler décida de les aider. Ici intervient
le cas du héros National-Socialiste HORST WESSEL,
qui fut assassiné à Berlin par trois maquereaux
communistes, alors qu’il défendait une prostituée
qu’il avait sauvé du trottoir. Ce ne fut pas un
règlement de compte entre souteneurs comme le
diffusent encore complaisamment les médias aux
ordres, mais bien le geste d’un chevalier
national-socialiste amoureux, qui sauvait une
prostituée des griffes de maquereaux juifs et
communistes. Comme pour beaucoup d’autres misères
de l’époque, sur ordre de Hitler le parti aida de
son mieux ces filles-mères. Suite à cet exemple de
bienfaisance Himmler imagina de créer un organisme
dans le même principe d’assistance, mais cette
fois sur base raciale et avec l’accord du Führer.
Ce furent les LEBENSBORN, ou source de vie, fondés
en 1936. Leur but est clairement défini dans un
ordre du jour de septembre 1936. Il y est dit:
“Quatre enfants constituent le minimum nécessaire
à un mariage bon et sain. En cas d’absence d’enfant dans un ménage tout Führer SS devra
adopter des enfants de bonne valeur raciale et
dépourvus de maladies héréditaires. Il devra les
élever dans la doctrine nationale-socialiste et
leur donner une formation conforme à leurs
aptitudes.”
Naturellement Hitler et Himmler privilégiaient
ainsi l’adoption d’enfants germaniques; à
l’inverse des démocraties actuelles, qui toutes
poussent à choisir des enfants étrangers provenant
d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine. De
nombreux enfants français et belges vivent dans
nos orphelinats, mais il est administrativement
très difficile de les adopter. Par contre pour
l’adoption d’un enfant racialement différent les
difficultés administratives tombent comme par
enchantement. Il vous en coûtera juste un peu plus
sous prétexte d’éloignement, mais en fait pour
enrichir les trafiquants d’enfants, ces négriers
d’un nouveau genre. Au fait de quelle race sont la
plupart de ces intermédiaires négriers?
Selon Himmler l’association Lebensborn doit
être à la disposition des Führer pour: 1) Soutenir
les familles nombreuses de bonne valeur raciale et
de bonne hérédité biologique. 2) Placer et soigner
les futures mères de bonne valeur raciale et de
bonne hérédité biologique chez lesquelles un
examen soigneux permet d’attendre des enfants de
même valeur. 3) Soigner les enfants et les mères.
E t H i m m l e r p r é c i s e : ” J e m ‘ i n f o r m e r a i
personnellement du succès de ces dispositions.”
Naturellement l’ensemble des médias actuels aux
ordres nous parle encore toujours de haras
humains. Une abondante littérature et même des
films fort dévêtus y ont été consacrés avec forces
détails sur l’organisation des rencontres à but
reproductif entre jeunes-filles et jeunes-gens
“sélectionnés”. Tout cela n’est que fabulation de
cerveaux obsédés par le sexe. En réalité les
L e b e n s b o r n s e l i m i t è r e n t à h u i t c e n t r e s
d’accouchements et à six homes d’enfants.
L’organisation n’évoluera qu’avec la guerre. On
recueillit alors dans les foyers lebensborn des enfants étrangers orphelins, Polonais, Tchèques,
Serbes, Français, etc… qui avaient été reconnus
de race nordique, et qui de ce fait devaient être
élevés suivant les principes du NationalSocialisme.
C’est la même préoccupation, c-à-d assurer
l’avenir de la race, qui dicte l’ordre spécial de
Himmler en date du 15 août 1942: “Lorsque dans une
famille SS il n’y a plus qu’un seul fils et que
celui-ci est en âge de combattre, il sera retiré
du front et renvoyé dans ses foyers pendant un an,
afin qu’il puisse s’y reproduire et maintenir la
lignée. Le SS se doit de combattre, mais il a
aussi le devoir de se survivre à travers ses
enfants.” Et le Reichführer ne fut pas seulement
soucieux des enfants de ses SS. Tous les petits
Européens promus à la dignité de “frères de
sang” (et la notion s’élargira avec la masse des
volontaires étrangers embrigadés dans la Waffen
SS) sont assurés d’une attention vigilante pour
leur avenir. Et des écoles et des foyers furent en
outre organisés à travers cette volonté de sauver
la jeunesse européenne de bon sang.
* * *
Un autre aspect de Hitler et du NationalSocialisme est constamment passé sous silence par
les médias démocratiques aux ordres. Et pour
cause; la divulgation de cet aspect nuit lui aussi
à la volonté constante de diaboliser ce chef et
son régime. Car il démontre encore une fois
l’esprit de TOLERANCE et de BONTE de Hitler et de
la plupart des dirigeants nationaux-socialistes,
qui furent pendus à Nuremberg pour satisfaire la
haine et la loi du talion juives.
Les Indo-Européens constituent un ensemble de
peuples, dont la Weltanchauung est commune sur
bien des points. Ainsi les Perses, un de leur
groupe, exigeaient dans leur religion et de leurs
guerriers quatre obligations nécessaires pour être
reconnus Aryas, c-à-d hommes libres de la
communauté. Il fallait 1) Savoir tirer à l’arc, 2)
Savoir monter à cheval, 3) Ne jamais mentir, et 4)
Protéger partout les faibles; étaient compris
comme faibles les femmes, les enfants, les
vieillards ET LES ANIMAUX. Cette bienveillance et
cette protection envers les animaux est une
constante typiquement indo-européenne. Certes la
plupart des Indo-Européens mangent de la viande et
de ce fait doivent tuer des animaux; mais
l’abattage doit toujours être rapide, correct et
sans souffrances inutiles. Ce n’est qu’au contact
des peuples sémites, pour qui l’animal n’est
qu’une “chose” taillable et corvéable à merci, que
la souffrance animale n’a aucune importance. Elle
est même recherchée afin de satisfaire les
penchants sanguinaires et la mentalité sadique de
nombreux Sémites.
“Qui n’aime pas les animaux, n’aime pas les
hommes; et vice-versa”. Or en bon Indo-Européen
Hitler adorait les animaux, au point même d’en
devenir végétarien. A la guerre Hitler fut
t o u j o u r s a s s e z s o l i t a i r e , c o m m e c e r t a i n s
guerriers, qui, justement parce qu’ils se savent
très sentimentaux, préfèrent rester seul afin
d’éviter le déchirement et la peine, que cause
toujours la mort ou la perte d’un ami. Bien que
malgré tout Hitler resta très attaché à certains
de ses compagnons de combat, comme cet adjudant
juif nommé Max Amman, il eut très peu d’attaches
durant la boucherie de 14-18. Très courageux il
préféra la solitude des agents de liaison, ce qui
lui valut quelques actes d’éclat au point d’être
décoré de la CROIX DE FER DE 1ère CLASSE; une
distinction pratiquement jamais décernée à un
homme de troupe.
Cependant dans les tranchées Hitler s’attacha
totalement à un véritable ami fidèle, son chien
Foxl. Jamais il ne l’oublia et c’est pour cette
raison, que devenu chancelier il s’attacha à ses
chiens, dont le dernier fut sa chienne Blondie. Il
l’aimait tellement, qu’en avril 1945, avant de se
suicider, il eut le courage de l’empoisonner.
Lors d’un discours en 1927 Hitler déclara: “Im
neuen Reich darf es keine Tierquälerei mehr geben
(dans le nouveau Reich il ne devra plus y avoir de
place pour la cruauté envers les animaux)”;
ajoutant: “J’en fait une affaire personnelle.” Ces
propos inspirèrent l’imposante loi du 24 novembre
1 9 3 3 s u r l a p r o t e c t i o n d e s a n i m a u x
(Tierchutzgesetz) dans la naissante Allemagne
Nationale-Socialiste, car avant, durant la
Ripoublique enjuivée de Weimar ces considérations
n’étaient même pas envisagées. Dans cette nouvelle
législation dont l’ampleur n’existe pas encore en
2001 de par le monde, (et n’existera jamais en
démocratie enjuivée où les animaux ne sont
considérés que comme marchandises à profits) et
qui sera complétée le 3 juillet 1934 par une loi
limitant fortement la chasse (Reichsjagdgezetz),
puis par une autre le 1er juillet 1935 traitant de
l a p r o t e c t i o n g é n é r a l e d e l a N a t u r e
(Reichsnaturchutzgezetz) nous pouvons constater à
nouveau l’immense bonté de Hitler et son intérêt
constant pour la PROTECTION DE LA VIE en général.
L’ensemble de ces lois furent répertoriées dans un
ouvrage publié en 1939 sous le titre de “Le droit
allemand sur la protection des animaux”. (Das
Deutche Tierschutzrecht). Il s’agit de textes très
élaborés, tout à fait significatifs d’une
interprétation néo-conservatrice de la Nature;
interprétation que l’on nommera plus tard
“Ecologie Profonde”. Mais qu’y trouve-t-on?
Tout d’abord que la Nature doit au maximum
être conservée dans son “Authenticité Originelle”,
c-à-d qu’à côté des champs cultivés l’on doit
garder un maximum de Nature Sauvage, de forêts, de
montagnes, d’océan, etc… où l’équilibre naturel
entre les espèces est maintenu sans l’intervention
de l’homme. De ce fait la chasse doit y être
interdite surtout envers les espèces en voie de
disparition comme le loup et le bison sauvage.
C’est d’ailleurs grâce à la réintroduction de ce
dernier par Goering en Prusse Orientale qu’il
existe encore aujourd’hui en Pologne (mais pour
combien de temps?) A ce sujet le rapport encourage
la création de parcs naturels, car pour le
National-Socialisme la Nature vierge a une
i m p o r t a n t e t â c h e c u l t u r e l l e p o p u l a i r e e t
internationale. D’autre part le législateur y
insiste sur: “La cruauté n’est plus punie sous
l’idée qu’il faudrait protéger la sensibilité des
hommes du spectacle de la cruauté envers les
animaux, mais que l’animal doit être protégé pour
lui-même, en tant que tel, qu’être vivant. ET CELA
VAUT POUR TOUS LES ANIMAUX aussi bien sauvages que
domestiques. D’où la suppression des PIEGEAGES, et
la suppression dés ABATTAGES RITUELS, (comme ceux
de la viande Kasher, qui révoltèrent tant Hitler).
Au point de vue pénal il ne sera fait aucune
différence, ni entre les animaux domestiques ou
sauvages, ni entre les animaux utiles ou nuisibles
pour l’homme.” D’où aussi l’ORGANISATION DU
TRANSPORT des animaux préconisés par trains. Enfin
l’INTERDICTION DES EXPERIMENTATIONS ANIMALES dans
les laboratoires est instaurée sur tout le
territoire du Reich,… poussant ainsi tout le
monde savant vers les médecines naturelles et vers
la phytothérapie. Il fut aidé en ce sens par
Himmler, qui, lui, ingénieur agronome, était un
spécialiste des plantes médicinales. Conjointement
Goering interdit aussi tous les types de tortures
animales; celles aussi pratiquées dans les
abattoirs Kasher. Ce type d’abattage, où les
animaux sont d’abord égorgés et ensuite vidés
lentement et totalement de leur sang, entraîne des
souffrances inutiles dans une agonie de plus de
vingt minutes. Car les Sémites, Juifs et Arabes,
mettent l’animal tête en bas immédiatement après
l’ouverture de la gorge afin que le cerveau reste
irrigué jusqu’à la fin et que l’animal, restant
conscient, se vide ainsi mieux de son sang.
L’animal se sent ainsi mourir progressivement.
Cette coutume religieuse prouve le dédain des
Sémites pour la vie animale, et partant pour la
vie d’autrui.
Ces mesures de protection animale, associées à
des mesures de protection de l’environnement,
représentaient de l’écologie avant la lettre.
Septante ans plus tard les démocraties ne sont pas
encore parvenues à prendre d’aussi simples mesures
de protection envers la Nature et envers les animaux. Malgré les cris de Brigitte Bardot et de
nombreux citoyens. Mais tous les dirigeants
démocrates sont sous la coupe du cosmopolitisme
juif, qui a transformé le monde en un vaste
“marché de profit”, où l’animal ne représente plus
qu’un objet de rapport comme les autres. A cela
nous voyons que les paroles de Renan sont
prophétiques: “La démocratie est le plus énergique
dissolvant de toutes les vertus, que le monde ait
jamais inventée.” (Repris dans “La croisade des
démocraties” de Georges Champeaux).
* * *
Un autre événement témoigne encore du
caractère bon, généreux et humain de Hitler. Il
s’agit de l’histoire de la bombe atomique. En
effet, à la fin de l’année 1938 deux savants
allemands, Otto Hahn et Strassemann, découvraient
la fission de l’atome. La signification de cette
d é c o u v e r t e é t a i t c l a i r e , m a l g r é c e l a s o n
adaptation à la guerre ne s’imposa pas à l’esprit
de Hitler. D’une part parce qu’il croyait tout
pouvoir négocier en appliquant simplement le droit
des peuples à disposer d’eux-mêmes et à vivre
libres dans la communauté de leur choix. Or les
traités de Versailles, du Trianon et de Locarno,
qui avaient bâclé le découpage de l’Europe en 1919
devaient être rectifiés en respectant les droits
les plus élémentaires des minorités, d’autant que
depuis 1919 de nombreuses voix, dont celle de
Lloyd Georges, s’étaient élevées contre son
application. Il était dans la logique des choses,
que tous les territoires peuplés en grande
majorité d’Allemands retournent à l’Allemagne.
D’autre part Hitler était intimement persuadé,
qu’aucune puissance ne serait assez imprudente
pour créer une arme aussi dangereuse qu’une bombe
atomique, car cette arme pouvait menacer l’avenir
même de toute l’humanité.
Si Hitler avait réellement voulu préparer une
guerre d’agression, l’Allemagne aurait pu sans
difficulté, grâce à son avance dans le domaine
nucléaire, construire une pile à uranium et à eau
lourde dès fin 1940. Et obtenir ensuite au plus
tard début 1944 un engin basé sur la fission de
l’atome. Mais Hitler continuellement informé de
tous les progrès techniques (il lisait beaucoup)
refusa cette arme, qui devait nécessairement être
plus destructrice pour les civils que pour les
armées. A l’inverse, dès l’automne 1940 les AngloSaxons qu’aucun scrupule n’arrêtait, s’attelèrent,
eux, à la construction de cet engin de mort. En
octobre 1941, donc avant l’entrée en guerre des
E t a t s – U n i s , R o o s e v e l t e t s e s a c o l y t e s e t
conseillers juifs entreprirent la mise sur pied du
projet “Manhattan”, c-à-d de réunir savants et
techniciens en vue de la construction d’une bombe
atomique au départ de l’uranium. Tous furent
puissamment aidés dans leurs recherches par
certains “réfugiés juifs”, qui avaient longtemps
travaillé dans les laboratoires du Reich. Il y
avait là Einstein, Niel Bhor, James Frank,
Oppenheimer, etc… Ni les conventions de Genève,
ni aucune considération humanitaire ni morale
n’arrêtèrent cette bande d’assassins, encouragée
par l’ivrogne Churchill et par le taré Roosevelt.
Ce dernier voulait d’ailleurs absolument cette
bombe pour écraser Berlin (rappelez-vous,
l’Amérique n’était pas encore en guerre). Les
“réfugiés” qui étaient au courant des travaux
allemands connaissaient l’énorme avance de ceux-ci
en ce domaine. Aussi craignaient-ils par-dessus
tout, que l’Allemagne ne possède la bombe avant
eux. Mais Hitler avait tranché en 1940 et imposé
aux recherches de l’institut Kaiser Wilhelm de
Dahlen de conserver un caractère routinier et
t h é o r i q u e . L e s r e c h e r c h e s a t o m i q u e s s e
poursuivaient donc sans hâte sous la direction de
Werner Heisenberg et de son adjoint Weisaecker. Ce
dernier avait d’ailleurs été circonvenu par
l’amiral Canaris, ce traître à la solde de
l’Establishment mondialiste, afin de retarder le
p l u s p o s s i b l e l a r é a l i s a t i o n p r a t i q u e e t
éventuelle d’une arme atomique allemande. Jamais
le Reich ne posséda de pile expérimentale, et lorsque l’usine d’eau lourde fut sabotée et
bombardée en Norvège en 1943 les recherches
pratiques furent en fait abandonnées. Notons
cependant ici, que tant que les relations germanosoviétiques restèrent positives, les époux JoliotCurie, fervents communistes, travaillèrent en
accord avec le docteur allemand Hahn; et cela
jusqu’en juin 1941. C’était d’ailleurs JoliotCurie, qui en 1939 avait démontré que l’eau lourde
était le meilleur ralentisseur de neutrons, et
qu’elle permettait ainsi la construction pratique
de la bombe.
Il est évident, que si l’Allemagne nationalesocialiste avait voulu profiter de son avance
indiscutable dans le domaine atomique, elle aurait
possédé la bombe début 1944 au plus tard, et
l’issue de la guerre aurait sans doute été tout
autre. Mais Hitler, le Satan des médias aux
o r d r e s , n e v o u l a i t p a s d ‘ u n e a r m e a u s s i
destructrice pour les populations civiles. Par
contre les “bienfaiteurs de l’humanité”, Roosevelt
et Churchill, encore toujours louangés par les
médias, la voulaient à tout prix. Roosevelt dans
sa haine juive viscérale la voulait pour écraser
l’Allemagne, sans tenir compte des effets
secondaires possibles. Heureusement il mourut
avant et l’Allemagne exsangue dût accepter la paix
sans condition. Mais qu’à cela ne tienne les
“sorciers démocrates” possédèrent enfin en août
1945 trois bombes. L’une fut expérimentée dans le
désert du Névada. La seconde fut lancée sur
Hiroshima faisant en une seconde plus de 85.000
victimes. A la suite de cela les Japonais
demandèrent la paix. Mais elle ne leur fut
accordée qu’après le lancement de la troisième
bombe sur Nagasaki, car il fallait comparer les
effets destructeurs de cette nouvelle formule. En
effet si les deux premières bombes avaient été
construites à l’uranium enrichi, la troisième
l’était par un procédé nouveau au plutonium. Sans
aucune pitié pour des civils innocents les savants
Juifs et les gouvernants anglo-saxons sous les
ordres des Sages de Sion expérimentèrent leurs
nouvelles armes de mort. Et la guerre avec le
Japon ayant cessé, les Américains, au lieu d’aider
les innocentes victimes civiles de ces deux
crimes, se contentèrent d’ANALYSER leur calvaire
sans jamais leur prêter ni assistance ni
médicaments. Et les plus grands criminels de
l’Histoire organisèrent les parodies de justice de
Nuremberg, afin de condamner le régime, qui avait
mit en péril le Mondialisme juif.
Pour terminer, il est important de savoir, que
non contents des crimes d’Hiroshima et de
Nagasaki, les Américains firent encore beaucoup
mieux. En effet, jusque dans les années 80, ils
continuèrent à expérimenter les nuisances
radioactives sur leurs propres civils à l’insu des
populations. Soit qu’ils injectèrent par voie
intraveineuse des isotopes radioactifs dans les
hôpitaux civils, soit qu’ils irradièrent certains
civils sains et même certains de leurs miliciens
d u c o n t i n g e n t , s o i t m ê m e e n a s s o c i a n t
expérimentalement injections et irradiations dans
les prisons et dans des hopitaux sur des cancéreux
nullement au stade ultime. Les Soviétiques ne se
génèrent pas pour en faire autant sur certains de
leurs miliciens et sur une bonne partie de la
population civile du Kazakstan.
Ces faits sont tellement connus et patents,
que certaines télévisions en parlèrent dans les
années nonante, et que la presse, principalement
médicale, les publia. Cette “brusque découverte”
des médias, de faits certainement bien connus
depuis longtemps dans les hautes sphères du
pouvoir Mondialiste, vient certainement à point
pour démonétiser:
1) l’armée rouge, qui fut longtemps le bras
séculier de ce même mondialisme,
2) l’armée américaine ensuite qui est son bras
actuel. Depuis la chute du mur de Berlin et
l’influence grandissante et bien acquise de l’ONU
et de ses différents bras OTAN et OTASE, les Sages
de Sion ont maintenant jugé que les militaires et
leur esprit guerrier sont devenus en grande partie
inutiles, car nous sommes définitivement entrés
dans l’ère des marchands, c-à-d des banquiers
cosmopolites, du fric et des profits baladeurs.
Depuis l’âge du fer 800 ans avant Jésus Christ, la
l u t t e f u t t o u j o u r s s e r r é e , a u x v i c t o i r e s
changeantes entre les guerriers et les marchands,
mais ces derniers estiment avoir définitivement
gagné, pouvoir instaurer définitivement leur
pouvoir de peuple élu sur la terre. A quoi sert
alors encore une armée? Il suffit juste de
conserver une petite force internationale pour
mettre au pas quelques velléités d’indépendance de
ci de là. C’est le grand plan des Sages de Sion,
qui se met en place sous nos yeux. Reste à voir si
les peuples resteront toujours aveugles ? Pour
maintenir les peuples en sujétion et éviter tout
retour d’indépendance, il reste nécessaire de ne
plus enseigner l’Histoire que sous son jour
économique (c’est l’enseignement dégradé et
renové), d’enseigner aussi le “Political Correct”
en employant le terrorisme intellectuel ou même
physique, et d’insister par médias interposés sur
l’existence de Satan, de ses oeuvres, le NationalSocialisme, et sur le possible retour de ses
monstrueux diablotins, les nationalistes de tout
poil, plus dangereux encore lorsqu’ils professent
des idées sociales. Pour en terminer avec cet
aperçu atomique il est bon de noter encore ces
quelques détails. En effet depuis la fin de la
seconde guerre mondiale plus de cent guerres se
déroulèrent à travers ce monde, que l’ONU nous
promettait définitivement pacifié. Guerres de plus
en plus meurtrières pour les populations civiles ;
de bonnes guerres démocratiques quoi ! Que ces
démocraties soient capitalistes ou populaires .
Lors des plus récentes les cosmopolites US sous
prétextes de protéger des vies américaines
s’ingénièrent à utiliser des projectiles dits à
“Uranium appauvri”. Sans oublier que cet uranium
appauvri ne coûte pas cher, ils les utilisèrent à
foison lors des guerres du Golfe, de Bosnie et du
Kosovo. Et l’effet fut inverse de celui désiré,
car actuellement de nombreux soldats américains et
de l’OTAN tombent malades et meurent du fameux
“syndrome du Golfe”. Peu importe à ces “maîtres
mafieux en criminologie” que nombre de civils
iraquiens et yougoslaves en meurent aussi pourvu
que les intérêts cosmopolites soient protégés et
que leur politique des “Protocoles des Sages de
Sion” s’accomplisse. Ce “syndrome du Golfe” est la
conséquence de survaccinations intempestives des
troupes (les vaccins de par le monde rapportent
plus de 60 milliards de dollars aux firmes
pharmaceutiques qui les produisent, firmes toutes
dans les mains des banquiers cosmopolites)
associées a des intoxications par ce fameux
“uranium appauvri”. L’association des deux
provoquant une chute importante des défenses
immunitaires des troupes et des malheureux civils
locaux. (Lire a ce sujet le petit opuscule
analytique du docteur Wolf intitulé “Militaires
fanatiques et savants fous ; l’origine du Sida”)
* * *
Je vous ai déjà expliqué, que la guerre  1914-1918 fut entreprise et planifiée par le Mondialisme et
sa franc-maçonnerie (comme lors de la Révolution
française en 1789) dans le seul but de détruire
l’Autriche-Hongrie, dernier empire catholique du
centre de l’Europe capable de s’opposer au plan
des Sages de Sion. Mais en cours de guerre, le 14
février 1916 les Sages de Sion se réunissaient à
New-York sous l’appellation de “Congrès des
organisations révolutionnaires russes”. Là entre
Trotsky, sa bande de Juifs révolutionnaires et les
banquiers cosmopolites juifs d’Amérique il fut
décidé d’envoyer Lénine de Suisse en Russie avec
l’accord des francs-maçons et des juifs allemands,
de complètement détruire l’empire autro-hongrois,
mais aussi de transformer l’Allemagne en une
nation croupion, afin d’y installer le marxisme
dans la foulée. Car comme le proclamait Lénine:
“Lorsque nous aurons associé les masses slaves à
la technicité allemande, le marxisme pourra
s’installer partout.” En Allemagne il fallait
envisager le renversement en deux temps; d’abord y
installer le socialisme international, ce qui
était en voie de réalisation avec le gouvernement
social-démocrate, qui lui, comme Kérensky en
Russie, devait faciliter la prise de pouvoir par
les Spartakistes de Karl Liebknecht et de Rosa
Luxembourg. Pour ce faire et si la prise brutale
révolutionnaire ratait, il fallait priver le
peuple allemand, naturellement d’esprit guerrier,
de toute instruction militaire par l’abolition du
service militaire obligatoire; affaiblir le
prestige de l’armée en lui infligeant le caractère
d’une armée de mercenaires, aux effectifs limités
à 100.000 hommes, sans état-major supérieur; faire
des soldats allemands des soldats de second ordre
en leur interdisant toute connaissance des armes
modernes, et isoler totalement l’armée de la
nation en coupant tous ses liens avec la
population civile, surtout avec la jeunesse des
écoles et des universités. Détruire l’armée
allemande paraissait une nécessité élémentaire,
car fortement nationaliste, elle seule pouvait
s’opposer à l’instauration de l’internationale
marxiste. Ce que l’histoire démontra d’ailleurs.
Comme le dit très bien Fustel de Coulanges dans
“La cité Antique” (page 327): “L’état civil et
politique d’une nation est toujours en rapport
avec la nature et la composition de son armée. En
d’autres termes nous pouvons dire, que la
structure et la composition d’une armée sont
toujours le reflet exact de l’état social et
politique de la nation dont elle émane.”
Mais le désarmement d’une nation ne saurait
être qu’éphémère. On ne peut réduire une grande
nation à l’impuissance qu’en ruinant sa force
morale au point qu’elle s’abandonne. Avec le temps
le souvenir des souffrances endurées et des échecs
subis s’efface. LA CONFIANCE REVIENT ET LE SENS
NATIONAL RENAIT, ainsi que la volonté de reprendre
sa place parmi les nations. Admettre qu’un peuple
puisse se sentir vaincu autrement qu’à titre
temporaire, c’est supposer que la marche de
l’histoire ne s’arrête. C’est aussi pour cette
raison, que les MARCHANDS COSMOPOLITES avaient
sérieusement envisagé, que le désarmement allemand
en 1919 devait ouvrir la voie à un désarmement
général que devait réaliser la SDN; et cela afin
de détruire l’esprit guerrier dans tous les
peuples afin de faciliter la mise en place du
règne des marchands. Ce qui ne fut pas réalisé en
1919 est actuellement en 1995 en bonne voie de
réalisation grâce à la docilité, à la souplesse
d’échine et la vénalité de l’ensemble des
gouvernants démocratiques.
En outre, comme en 1945, l’idée des Sages de
Sion était déjà de culpabiliser le peuple guerrier
allemand par de retentissants procès aux “supposés
criminels de guerre”. Nuremberg ne fut en fait que
la répétition et la prolongation des concepts
établis dans les “Protocoles” afin d’instaurer le
règne des Sages de Sion. Mais l’un des leurs, le
député socialiste du Reichstag un nommé “David”
imposa en octobre 1919 l’idée d’instaurer une
commission d’enquête afin de discréditer le HautCommandement allemand, de reporter sur lui
uniquement la défaite et de supprimer ainsi dans
le peuple l’idée du “coup de poignard dans le dos”
par lequel les socialistes firent perdre la guerre
à l’Allemagne. Pour ce gouvernement “démocraticosocialiste”, discréditer l’armée et la caste des
officiers, des Seigneurs de la guerre, permettrait
a u p e u p l e d e m e s u r e r ” l a m a j e s t é d e l a
démocratie”. Le procès du Haut-Commandement devait
être ainsi celui de l’armée toute entière; procès
dont tous les gouvernements socialo-démocraticointernationalistes rêvent de pouvoir réaliser pour
se débarrasser définitivement de leur armée.
Le procès s’ouvrit le 21 octobre 1919 avec
Ludendorff et Hindenburg comme accusés. Les juges,
comme par hasard étaient tous Juifs. Il y avait le
président Gothein, les assesseurs Cohn, Zinzheimer
et David. Malheureusement pour eux cette enquête à
grand spectacle tourna à la démonstration d’une défaite engendrée par:
1) Les conseils de soldats, dont la plupart
sont dirigés par des Juifs, comme le remarque très
justement Hitler dans “Mein Kampf”. Et par:
2) les agitations fomentées par les députés
socialistes et communistes dans le pays et par
leurs sabotages systématiques des fournitures à
l’armée. De telle sorte que le coup était raté et
que l’armée en sortait grandie.
Ce “procès-enquête” précédait de trois mois
(le 3 février 1920) la demande par les Alliés
vainqueurs de se faire livrer 900 criminels de
guerre allemands, dont le Kaiser, les Kronprinzs,
Hindenburg, Ludendorff, von Mackensen, etc… Ce
p r o c è s l à d e v a i t ê t r e n e t t e m e n t p l u s
spectaculaire. Il avait été mis au point par les
fondateurs de la SDN, les Juifs et les francsmaçons de France, des USA, et d’Angleterre. En
accord avec les gouvernants de ces pays ils
voulaient rejeter toutes les fautes du conflit
fratricide sur les vaincus de l’époque, comme en
1945. Mais en 1920, surtout après le procès
allemand d’octobre 1919, cette demande créa un tel
tollé dans toute l’Allemagne, qu’elle fut sans
suite. Il fallut Nuremberg et des traîtres
allemands pour qu’en 1945 ces exigences judéomaçonnes puissent se concrétiser dans un véritable
déni de justice, car c’était juger des vaincus
uniquement par leurs vainqueurs, qui de ce fait
étaient juges et parties, et qui évitaient ainsi
de parler de leurs propres responsabilités et de
leurs propres crimes. Nuremberg ne fut qu’une
mascarade de justice, qui se prolonge actuellement
avec le “Tribunal international de La Haye”(et
accessoirement celui de Bruxelles), entièrement à
la solde de la juiverie cosmopolite, qui espère
par ce nouvel organe vassaliser un peu plus les
peuples européens en les enchaînant au trône
d’Israël. On le constate bien avec les guerres du
Golfe, du Kosovo et de Bosnie, où un seul camp est
chaque fois accusé.
Durant ces événements et pendant les années 20
qui suivirent, Hitler s’était attelé à la tâche
presque surhumaine de fonder et d’organiser un
parti. En fait son parti, un parti ultra
nationaliste et socialiste suivant les vœux de
Hitler progressa tout ce temps assez lentement. En
démocratie la droite comme la gauche représentent
la même chose sous des dehors apparemment
différents. Les trop polis bourgeois y laissent la
rue aux marxistes en échange d’une tranquillité
factice et d’une paix sociale, durant laquelle ils
peuvent se consacrer à leurs petites “affaires”
sous l’œil bienveillant de l’armée de métier.
Rassurés par leurs magouilles, droite et centregauche ne s’imaginent jamais, que la situation
pourrait changer et qu’en fait les marxistes de
gauche tissent tout doucement la corde pour les
étrangler.
Mais dans ce monde où tous s’étaient bien
partagés les terrains d’influence survint un
trublion, un homme de génie, HITLER. De génie car
il avait compris que pour redresser son pays il
fallait être nationaliste, mais surtout faire du
social, combattre la misère, les escroqueries et
les magouilles de la droite “saumon” comme de la
gauche “caviar”. En outre il prétendait aussi
lutter contre le marxisme, bras séculier de
l’international cosmopolite, et comble de
prétention il voulait occuper la rue, chasse
gardée des marxistes.
Avec un tel programme Hitler pouvait être
certain de liguer solidement contre lui toutes les
droites et les gauches classiques, mais aussi les
m a r x i s t e s r é v o l u t i o n n a i r e s . C o m m e L e P e n
actuellement, quoique le programme social de
celui-ci soit pratiquement nul. Le Pen c’est du
poujadisme amélioré, au mieux du corporatisme
mussolinien, sous l’égide d’un libéralisme
économique américain, c-à-d cosmopolite. Mais vous
p o u v e z c o n s t a t e r , q u e d é j à s i m p l e m e n t l e
nationalisme de Le Pen ralentit et gène la bonne
progression du cosmopolitisme. Ce que ce dernier,
pratiquement arrivé au pouvoir suprême, ne peut
plus se permettre de tolérer.
Donc, durant toutes ces années vingt, en fait
jusqu’au crash économique du 29 octobre 1929, le
parti hitlérien progresse lentement, ce qui permet
u n e b o n n e o r g a n i s a t i o n e t u n e x c e l l e n t
endoctrinement des “Militants”. Durant ces années
Hitler ne ménage pas sa peine, il discourt
partout, il lit beaucoup, se documente, analyse,
assimile les événements et les évalue. Il est
persuadé de la précision de son jugement, de sa
puissance de persuasion et de la justesse de sa
cause, et il ne doute jamais qu’un jour viendra où
il pourra prendre légalement le pouvoir. Si le
parti se développe de façon satisfaisante dans le
sud et l’ouest, c’est beaucoup plus difficile dans
le nord et surtout dans la capitale, Berlin. Mais
heureusement là il possède un adjoint de qualité
en la personne de Goebbels. Or tout parti qui se
veut crédible doit bien finir par s’imposer dans
la capitale. Là les ennemis les plus acharnés du
NSDAP sont le préfet de police, un franc-maçon
nommé Zoergiebel et son adjoint juif, un nommé
Bernard Weiss. (Lire à ce sujet “Kampf züm Berlin”
du docteur Goebbels.) Avec ces deux sbires du
mondialisme à la tête de la police, tous les
prétextes sont bons pour emprisonner les SA, pour
les priver de leur gagne-pain en faisant pression
sur leurs employeurs, en les précipitant au
chômage ou même en les expulsant des commissariats
de telle sorte qu’ils tombent ensuite dans des
guets-apens communistes, démontrant ainsi la
constante collusion entre francs-maçons et Juifs,
sociaux-démocrates et communistes. Ce n’est pas
pour rien qu’après 1945, même durant la guerre
froide les partis communistes d’Europe occidentale
furent toujours considérés officiels sur le même
pied que les autres sous prétexte de liberté
démocratique, alors que tous les dirigeants
occidentaux savaient très bien et leurs crimes et
leur désir de nous transformer en démocraties
populaires.
Mais survint la crise économique d’octobre
1929 et son nouveau lot de misères. Cette crise
PROVOQUEE et ENTRETENUE par les BANQUIERS
COSMOPOLITES de New-York afin d’entraîner
l’Occident et l’Amérique dans le marxisme, n’eut
pour résultat en Allemagne que de ramener un peu
plus de partisans au National-Socialisme.
N’oublions cependant pas qu’au début de 1932 en
Allemagne les militants communistes enrégimentés
représentaient un peu plus de 1 million d’hommes, et qu’ils avaient obtenu plus de 6 millions de
voix aux élections soit 13,5% de l’électorat. Le
front de fer, c-à-d les Socialiste possédaient
toutes les radios d’état et 171 journaux, 2
millions de membres et 2,5 millions de syndiqués.
En regard de cela le Stalhelm et les monarchistes
possédaient plus de 1 million de membres et le
NSDAP ne possédait encore que 100.000 SS plus
400.000 SA et plus des sections diverses de
transport, un dynamisme et une organisation
souple, en tout environ 800.000 hommes. Le rapport
des forces était donc encore très loin d’être en
leur faveur.
Il n’empêche, que, de crises en crises et de
grèves sanglantes en grèves sanglantes, la
situation de l’Allemagne devenait totalement
catastrophique. C’est alors que par peur d’une
insurrection communiste imminente von Papen, c-à-d
le représentant de l’industrie et Hugenberg celui
du Stalhelm proposèrent enfin à Hitler de former
un gouvernement de coalition contre le front
rouge. Et c’est ainsi, légalement, que Hitler
devint Chancelier de la République le 30 janvier
1933. Mais cela ne signifiait pas encore les
pleins pouvoirs pour lui. Cependant à ce moment
les événements vont se précipiter en Allemagne
favorisant sa prise en main.
Tout d’abord le 14 février l’on découvre un vaste
p r o j e t d e p u t s c h c o m m u n i s t e a s s o c i é s a u x
socialistes internationalistes. L’insurrection
était programmée pour la fin du mois. Sur ce
Goering est placé à la tête de la police et
devient ministre de l’Intérieur; il déclenche une
grande rafle, qui permet de découvrir des armes
nombreuses et de tous calibres dans la plupart des
centrales communistes. Quelques jours plus tard
survient l’incendie du Reichstag, où outre
l’incendiaire ,un Hollandais du nom de van der
Lubbe (que les médias occidentaux font passer pour
fou), y sont aussi impliqués le secrétaire du
Kommintern à Berlin le Juif Dimitrov et deux
communistes Bulgares nommés Popoff et Taneff.
Suite à cela Hitler décide de supprimer tous les
p a r t i s e t t o u s l e s s y n d i c a t s , c a r i l s
représentaient un facteur de troubles permanents,
des factions irresponsables et des petits états
dans l’Etat, rendant l’Allemagne incapable de se
redresser. Aussi l’abolition des différents partis
autres que le NSDAP fut consommée en juillet 1933.
Seul subsista encore un temps le Stalhelm, cette
association des anciens combattants, qui se fondit
ensuite tout naturellement dans le NSDAP. Ensuite,
avec l’accord de ses partenaires, Hitler put
entreprendre modestement ses réformes sociales.
Mais en avril 1934 la mort d’Hindenburg, devenu
complètement gâteux, permit à Hitler d’obtenir
enfin le pouvoir absolu en cumulant son mandat de
Chancelier avec celui de Président du Reich. A ce
moment il avait les mains vraiment libres pour
entreprendre toutes ses réformes sociales, qui lui
tenaient tant à cœur, et il envisagea de rendre
rapidement son honneur national à l’Allemagne, qui
était devenue depuis la République de Weimar une
nation de seconde zone. Pour être sûr que
l’ensemble du peuple allemand le suivra, il
provoqua des élections sous forme d’un référendum
le 19 août 1934. Il obtint 38.362.760 voix pour,
soit 88,9% et son titre de Reichsführer fut
définitif. Rappelons qu’au référendum précédent
(fait dans le but d’approuver sa politique
sociale) réalisé le 17 novembre 1933 il avait
obtenu 93,6% des voix. Cette différence fut due,
non pas comme on l’enseigne encore à une
augmentation de l’opposition de gauche à l’égard
du nouveau régime, qui commençait à plaire
énormément à tous, mais au fait que beaucoup
d’éléments de droite, qui escomptaient toujours un
retour de la monarchie, ne pouvaient ratifier une décision, qui détruisait à tout jamais leur
espoir.
Dès son arrivée au pouvoir Hitler avait
commencé à s’occuper de la politique extérieure.
Mais pour bien comprendre ,je vais encore faire
ici un petit retour en arrière. En effet en 1918
l’armée allemande avait cessé les hostilités sur
la base de la déclaration du président américain
W. Wilson, qui proposait une paix sans vainqueurs
ni vaincus, sans réclamations de dommages de
guerre et sans annexions de territoires, avec le
droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.
Naturellement les importants troubles fomentés en
A l l e m a g n e e t l e s a b o t a g e d e s f o u r n i t u r e s
militaires par les socialo-communistes d’Allemagne
sous l’influence de la juiverie internationale,
poussèrent eux aussi, le grand état-major à
arrêter les hostilités. Ensuite il fallut à l’aide
des troupes restées loyales calmer et combattre
les troubles intérieurs, et quand l’armée
allemande fut de ce fait totalement désorganisée,
les “Alliés” restés toujours sur pied de guerre,
lui imposèrent l’inique traité de Versailles. Ce
t r a i t é , q u i o u b l i a i t v o l o n t a i r e m e n t l e s
propositions de W. Wilson, fut un véritable déni
de justice imposé par une bande de “maffieux”, qui
voulaient transformer l’Allemagne en une puissance
de troisième zone principalement agricole.
Certains des “Alliés” inconscients n’y voyaient
qu’une revanche de la défaite de 1871, mais
d’autres, bien conscients, y œuvraient à une
progression et à l’installation du plan des Sages
de Sion. Un pareil “traité” ne pouvait être
accepté par des patriotes pour l’éternité.
Cependant les “Alliés”, principalement la France
judéo-maçonne, s’activèrent à démanteler toutes
les industries allemandes et à imposer à la
Reichswehr une petite armée de métier bien
insuffisante pour maintenir l’ordre intérieur et
pour garder les frontières. D’où les Polonais, les
Tchèques et les communistes juifs en profitèrent
pour imposer à des millions d’Allemands de vivre
(très mal) dans de nouvelles “patries”. Bref
l’Allemagne fut démantelée et victime de la haine
des vainqueurs. Cependant, suite au démantèlement
de l’armée allemande, le traité de Versailles
stipulait, qu’il devait précéder la suppression
égale de toutes les autres armées du monde, afin
d’instaurer une paix perpétuelle entre toutes les
nations enfin uniquement préoccupées d’économie et
de libre-échangisme. Les guerriers devaient
disparaître; seuls les marchands subsisteraient.
Aussi dès 1924 la SDN entreprit des études de
d é m i l i t a r i s a t i o n g é n é r a l e . C e s é t u d e s
n’aboutissaient naturellement à rien, chacun
voulant garder toutes ses armées, mais pas celles
des voisins.
Arrivé au pouvoir, même pas encore absolu,
Hitler ne commença à réclamer rien d’autre que
l’égalité totale de l’Allemagne vis-à-vis des
autres nations; il demandait une parité totale.
Cette exigence n’était que pure logique et pure
justice. Alors commencèrent toutes sortes de
discussions et d’entrevues oiseuses, mais devant
la mauvaise foi des autres, principalement de la
France, le 14 octobre 1933 Hitler décida d’abord
de se retirer de la “Conférence du désarmement”.
Si nécessaire plus tard de la SDN. Pour justifier
sa décision, il fit le discours suivant relayé par
TSF: “On a dit que le peuple allemand et le
gouvernement allemand ont demandé un surcroît
d’armement, ce qui est totalement inexact. Nous
demandons seulement l’égalité des droits. Si le
monde décide de détruire les armes jusqu’à la
dernière mitrailleuse, nous sommes prêts à
accepter une telle convention. Si le monde décide,
que certaines armes sont à détruire, nous sommes
prêts à y renoncer d’avance. Mais si le monde
accorde à chaque peuple certaines armes, nous ne
sommes pas disposés à nous laisser exclure de leur
emploi comme un peuple de second rang. Nous sommes
prêts à prendre part à toutes les conférences et à
souscrire à toutes les conventions, mais seulement
à condition de jouir de droits égaux. Etc… Un
plébiscite sera organisé pour que chaque citoyen
allemand puisse dire, si j’ai raison ou s’il me
désapprouve.” On ne pouvait être plus modéré et
plus juste. Et le 12 décembre l’Allemagne se
rangea à 95% derrière son Führer, lui fournissant
au référendum 40.601.000 voix.
A u v u d e l a m a u v a i s e f o i d e s a u t r e s
gouvernements et de l’absence de désarmement
général; considérant en outre que sa Reichswehr de
100.000 hommes était insuffisante rien que pour
garder ses frontières; considérant en outre que
l’armée est une école d’aptitudes physiques, de
sens moral et de patriotisme, Hitler envisagea dès
février 1934 de rétablir le service militaire
obligatoire et de recommencer lentement à
organiser une industrie capable de se transformer
en industrie de guerre à la moindre alerte. Au
fond les grands responsables du réarmement
allemand étaient les anciens “Alliés”, France
judéo-maçonne en tête; et la SDN ne tenait aucune
de ses promesses. Balayées les propositions de
désarmement intégral soutenues par Litvinov;
balayées les “limitations” inscrites dans le plan
Hoover et défendues par Norman Davis. Tout le
monde réarmait avec entrain bien avant Hitler, qui
jusqu’en juillet 1934 n’avait porté la Reichswehr
qu’à 300.000 hommes, à peine l’effectif de l’armée
tchèque. Le Japon réarmait dés le 26 mars 1933 et
avait envahi le Mandchoukouo, puis la Mongolie et
la Chine. Le 23 juillet 1934 l’hypocrite
Roosevelt, le roi des faux-culs, déclara à
l’équipage du croiseur Houston où il était en
visite, que la flotte américaine sera poussée à la
limite de sa puissance; et l’Amérique mit
immédiatement 360.000 tonnes nouvelles en
chantier. De même que l’on entreprit de doter les
USA d’une flotte aérienne de plus de 3.500 avions
de combat et de bombardiers à long rayon d’action.
L’armée rouge passait allègrement à plus de 1
million d’hommes; Mussolini à plus de 600.000
hommes, la France à plus de 1,5 million,
l’Angleterre avait décidé dès janvier 1934 de
développer sa flotte aérienne de plusieurs
centaines d’appareils, la Pologne se transformait
en “nation armée” où même les femmes devaient
faire leur service militaire, et elle se dotait en
outre d’une aviation de plus de 500 appareils. La
Tchécoslovaquie possédait une armée de paix de 300.000 hommes. La Suisse, la Belgique et la
Roumanie réarmaient aussi avec entrain et se
dotaient d’un matériel aérien neuf, etc… Tous
avaient commencé à se doter de chars de combat,
bien avant l’Allemagne. Devant cet état de fait,
que pouvait faire Hitler, si ce n’est réarmer
aussi et suivre le mouvement rapidement afin de ne
pas être débordé par une future coalition judéomaçonnique. Il décida donc devant une telle
ambiance de rétablir le service militaire
obligatoire le 16 mars 1935,17 date à laquelle il }}}}} 17

17 Après que le 6 mars 1935 la France rétablissait son service militaire à 2 ans démontrant ainsi son
renoncement à toute idée de désarmement.

vait déjà résorbé plus de 4,5 millions de chômeurs, car lui n’avait pas besoin d’un service
militaire obligatoire pour résorber son chômage,
comme le laissent encore sous-entendre les médias
aux ordres actuellement. La loi du service
militaire obligatoire fut promulguée le 21 mai
1935. Cela aida naturellement à faire reculer le
chômage des jeunes. Mais n’oublions pas que la
lutte contre le chômage fut entreprise dès le 1er
juin 1933, et qu’elle fut suivie immédiatement par
une série de décrets portant sur la création de
travaux d’urgence; et par des avances du Trésor
aux chantiers du travail, par l’exonération
d’impôts pour les travaux d’utilité publique, par
des prêts d’honneur consentis aux jeunes mariés,
par des avances aux paysans endettés et surtout
par la création d’une monnaie interne nouvelle, en
misant sur l’agressivité au travail de son peuple,
Hitler le premier se sortait de la crise. Mais
quel mauvais exemple pour tous et quelle crainte
ne faisait-il pas naître chez les usuriersbanquiers juifs!
En attendant le mandat, que la France avait
obtenu pour l’exploitation de la Sarre à la suite
du traité de Versailles était arrivé à échéance.
Et les 820.000 Sarrois à la suite d’un plébiscite
votèrent à 90,8% le rattachement à l’Allemagne
hitlérienne le 13 janvier 1935. Mais déjà au début
de 1934 au vu du redressement allemand la France judéo-maçonne s’inquiète et échafaude un plan pour
“entourer” l’Allemagne et tenter de l’isoler par
une foule de traités d’alliance. Alors que le
véritable ennemi de la France fut et restera
toujours l’Angleterre, les gouvernants français
enjuivés ne pensent qu’à aiguillonner le ridicule
esprit revanchard de “Gaulois” éthyliques et
p r é t e n t i e u x . I l s s ‘ a l l i e n t d ‘ a b o r d à l a
Tchécoslovaquie, ce qui était naturel vu la menace
qu’une Allemagne forte ferait peser sur ce pays
mais surtout vu la connivence des frères maçons
entre-eux. Rappelez-vous que Massaryk et Bénès
étaient frères maçons de haut grade et bien au
courant des plans du Mondialisme. Bénès était même
un fervent philo-communiste. Ensuite la France
tenta une alliance militaire avec la Pologne; mais
le général Pilsudski refusa, car il n’était pas
opposé à Hitler. Mais surtout depuis avril 1934 la
France s’ingénia à mettre sur pied un traité
d’alliance avec l’URSS. Laval, qui fut un des
signataires de ce traité dira ensuite désabusé:
“Les Soviets veulent un traité pour faire la
guerre et moi pour l’éviter.” Par ce traité la
France s’engageait à attaquer l’Allemagne, si
celle-ci attaquait l’URSS. C’était un véritable
défi à la politique constante de Hitler. Au
courant de ces manigances, en mai, juin, juillet
et août 1934 Hitler ne cesse d’éviter cette
signature et de proposer une paix définitive avec
la France. Il reçoit même le grand journaliste
français Bertrand de Jouvenel pour bien lui
expliquer son désir de paix avec la France. Mais
cet article de presse étonnant, qui pour finir fut
publié dans “Paris-Midi” huit jours après la
signature de l’accord France-URSS, et qui aurait
pu créer en France un mouvement d’opinion
favorable envers Hitler, fut scandaleusement
retenu plus d’une semaine par le ministère des
Affaires Etrangères, afin de mettre le monde
devant le fait accompli. Cela se passa le 28
février 1936. Ce n’est qu’ alors, que Hitler
furieux décida de réoccuper la Rhénanie, alors que
le traité de Versailles le lui interdisait. Les
troupes allemandes entrèrent en Rhénanie le 7 mars
1936 et cette action fut immédiatement suivie d’un
référendum le 29 mars 36. Ce nouveau plébiscite
fournit à Hitler 44.411.911 voix soit 99% de
l’ensemble des votants même en pays rhénan. Ce
plébiscite coupa l’herbe sous les pieds de la
France, qui avait entre-temps tout fait pour
rameuter ses anciens “Alliés” à s’engager dans une
guerre contre l’Allemagne.
Prié de venir s’expliquer devant le conseil de
sécurité de la SDN Ribbentrop déclara le 19 mars
1936: “Le Chancelier Hitler ne cesse de proposer
toute une série d’acte en faveur de la paix depuis
son accession au pouvoir. Il a proposé un
désarmement général; on l’a repoussé. Il a proposé
ensuite une armée paritaire limitée à 200.000
hommes; on l’a repoussé. Il a proposé d’élever ce
chiffre à 300.000 hommes, ce fut aussi repoussé.
Il proposa ensuite un pacte aérien; on l’a
repoussé. Dans son discours du 21 mai 1935 il a
proposé un ensemble de mesures destinées à assurer
la paix en Europe; on n’en a rien retenu en dehors
de l’accord naval germano-anglais où l’Allemagne
acceptait de limiter ses navires de guerre à 35%
du tonnage anglais. Ensuite il n’a jamais cessé de
réitérer ses offres de paix à la France et à toute
l’Europe. Et on lui a répondu par les pactes
Franco-Tchécoslovaque et Franco-URSS, c-à-d par
une menace précise contre le territoire allemand.
Par conséquent il en a tiré les conclusions, qui
s’imposaient afin de maintenir au mieux la
souveraineté allemande.” Après cette mise au
point, que les discours et les tractations des
trois années antérieures prouvent amplement,
Ribbentrop propose de nouvelles conditions de
paix, mais personne n’y fait attention. Le Juif
Litvinov (représentant de l’URSS) exulte, d’autant
que l’Allemagne avait signé avec le Japon un pacte
antikommintern en 1935. Quant aux Juifs et aux
bellicistes français ils exultent aussi. Malgré
que Hitler avait toujours clamé, que son but en
Europe était uniquement de récupérer de manière
pacifique toutes les populations allemandes
dispersées dans d’autres nations à la suite des
décisions scélérates des traités de Versailles, du
Trianon et de Locarno. Il ne désirait qu’appliquer
le droit des gens et des peuples à disposer d’euxmêmes et l’application des droits de l’homme. Etencore avait-il accepté de grands sacrifices. Il
avait déclaré solennellement ne plus jamais
revendiquer ces populations à l’Ouest, c-à-d les
Allemands coincés en Belgique dans les c a n t o n s
rédimés d’Eupen et de Malmédy, ceux d’Alsace et de
Lorraine, ni ceux du haut-Adige en Italie. En gros
cela représentait plus de 1,5 million d’Allemands
de pure souche. Il considérait cependant, que ces
Allemands éparpillés dans les pays de l’ouest
étaient en fait bien traités; la France admettant
m ê m e d e s d é r o g a t i o n s l i n g u i s t i q u e s
a d m i n i s t r a t i v e s . D ‘ a u t r e p a r t H i t l e r q u i
réussissait très bien à redresser son pays voulait
absolument la paix à l’Ouest. Dès mai 1933 il
proposa dans un discours à la France, c-à-d dans
son esprit AU PEUPLE FRANÇAIS, de cesser à tout
jamais les querelles entre les deux pays et
d’envisager un long traité de paix entre-eux. Le
21 mars 1936 il publia un plan de paix officiel
avec les pays de l’Ouest. En voici les grandes
lignes: “Egalité des droits de tous les états
européens; maintien provisoire du statu quo
militaire à l’Ouest; conclusion d’un pacte de non agression de 25 ans minimum entre l’Allemagne, la
France, la Belgique et les Pays-Bas sous la
garantie de l’Angleterre et de l’Italie; éducation
pacifique des jeunesses françaises et allemandes;
création à Genève d’une commission francoa l l e m a n d e d ‘ i n f o r m a t i o n s e t d ‘ e n q u ê t e s ;
ratifications des engagements précédents par un
plébiscite en France, en Allemagne, en Belgique et
en Hollande; institution d’une cour internationale
d’arbitrage européen; réduction des armements;
interdiction du bombardement des villes ouvertes;
prohibition des chars lourds et de l’artillerie de
gros calibres, etc…” Il y avait même un
paragraphe envisageant une série de pactes
bilatéraux de non-agression entre l’Allemagne et ses voisins orientaux. Il ne refusait même point
de collaborer avec la Russie, mais il ne pouvait
accepter de le faire avec le bolchevisme, qui lui,
prétendait à la domination mondiale. Et Hitler
ajouta: “Il est beaucoup plus difficile pour un
n a t i o n a l i s t e d e p r ê c h e r à s o n p e u p l e l a
réconciliation que de faire le contraire. Il est
naturellement plus facile pour moi d’exciter les
instincts de revanche, que d’éveiller et de
cultiver d’une manière durable le sentiment qu’une
entente européenne est nécessaire. Et c’est cela
que j’ai fait. J’ai nettoyé l’opinion publique
allemande de ce genre d’attaque contre nos
voisins.” Mais naturellement la presse enjuivée,
c-à-d la grande majorité, OMIT de répercuter ces
déclarations et ces propositions de bon sens. La
guerre d’Espagne allait bientôt commencer, et Blum
avait le pouvoir en France avec sa clique juive et
franc-maçonne. Et en Amérique Roosevelt tissait sa
toile d’araignée pour détruire l’Allemagne, qui
osait mettre en échec le mondialisme bancaire.
Mais revenons aux populations allemandes
éparpillées à l’Est. Là, parmi les Slaves, ces
populations étaient perpétuellement brimées,
souvent maltraitées, quand ce n’était pas parfois
purement et simplement assassinées. Et cela dès
1919, dès que tous ces peuples slaves vassalisés
depuis très longtemps pouvaient enfin extérioriser
leur haine et leur rancune envers leurs anciens
maîtres. En Pologne il y avait 1,5 million de
Volksdeutches; la ville libre de Dantzig,
anciennement capitale de la Poméranie comportait
97% d’Allemands en 1919. Par la suite les Polonais
tentèrent bien de la coloniser un peu pour y
développer leur économie maritime, mais en 1939 la
population germanique de cette ville représentait
encore 85% du total. De même d’ailleurs que les
populations de la région de la Warthe et de la
Silésie polonaise toutes deux aussi à grande
majorité allemande. Les Polonais le savaient si
bien, qu’ils s’empressèrent en 1945 de refouler à
l’Ouest, dans des conditions atroces par un hiver
très rigoureux avec des températures de -20°, plus
de 7 millions d’Allemands; population qu’ils
détroussèrent de tout leurs pauvres biens, qu’ils
violèrent, violentèrent, frappèrent souvent à
mort, fusillèrent et assassinèrent parfois avec
des raffinements dignes des hordes mongoles. Cette
grande quantité d’Allemands martyrisés avait été
précipitée sur les routes par les exigences de la
conférence de Yalta, où l’ivrogne Churchill et le
taré mental Roosevelt avaient vendu à Staline les
terres allemandes; et pour éviter de nouveaux
problèmes comme dans les années trente avec des
populations allemandes dispersées dans d’autres
nations, les ignobles de Yalta préconisèrent la
solution du “NETTOYAGE” de la Prusse Orientale et
le refoulement de TOUS LES ALLEMANDS derrière la
ligne Oder-Neisse.
E n T c h é c o s l o v a q u i e , é t a t t o u t à f a i t
artificiel, la situation était en 1919 encore plus
insensée qu’en Pologne et défiait encore plus la
JUSTICE ELEMENTAIRE et le droit des gens à
disposer d’eux-mêmes. Là à la suite du traité du
Trianon, qui consacrait la naissance de cet “état
tchécoslovaque” l’on put dénombrer au recensement
de populations de 1921: 6.727038 Tchèques,
3.122.390 Allemands, 2.010.295 Slovaques, 745.935
Hongrois, 459.356 Ruthènes 180.332 Juifs, 75.656
Polonais et 238.727 étrangers. Et les seuls
Allemands des Sudètes payaient jusqu’à leur
libération plus de 56% de tous les impôts de cet
état fantoche. Tous subissaient le joug, la morgue
et les tracasseries administratives continuelles
d e l a p a r t d e l a ” m i n o r i t é t c h è q u e ” . L a
tchéquisation du pays s’installa en moins de cinq
ans de cette façon:
1) Les fonctionnaires, la plupart allemands au
départ, sont remplacés partout par des Tchèques,
2 ) T o u t e s l e s v i l l e s a l l e m a n d e s s o n t
débaptisées et remplacées par des noms tchèques,
3) Toutes les grosses exploitations agricoles
allemandes et/ou hongroises sont démembrées et
distribuées à des Tchèques, de même que toutes les
forêts gérées à 98% par des Allemands, 4) A l’apparition d’un seul Tchèque dans un
village allemand, l’on crée une école tchèque
alors qu’on laisse à l’abandon toutes les écoles
allemandes et hongroises, etc… Le joug tchèque
était tel, que l’ensemble des Slovaques, qui
avaient été d’accord en 1919 pour former une
f é d é r a t i o n , v o u l a i e n t q u i t t e r e t d e v e n i r
indépendants. Ils le prouvèrent en mars 1939 avec
leur leader Monseigneur Tiszo, qui réclama la
protection hitlérienne. Ils le prouvèrent aussi en
1941 en fournissant à l’Allemagne un important
corps de volontaires slovaques antibolcheviques,
qui alla combattre en Russie au côté de leurs
frères allemands; ils combattirent sous le drapeau
slovaque, comme les volontaires français de la LVF
sous le drapeau français, comme les volontaires
Wallons, Croates, etc… Chacun pour défendre LEUR
drapeau.
Il y avait aussi plus de 1,5 million de
Volksdeutches en Yougoslavie, cet autre état créé
de toute pièce en 1919 par les Juifs et par les
frères maçons de la SDN. Rappelons à nouveau, que
tous ces états, où l’on obligeait des peuples qui
se détestaient à cohabiter ensemble avaient pour
but:
1) Détruire et démanteler définitivement
l’empire catholique austro-hongrois afin de
faciliter dans toutes ces régions l’implantation
d e l a m a ç o n n e r i e e t d u m a r x i s m e ; c a r l e
catholicisme est en fait du christianisme
paganisé, c-à-d indo-européanisé, c-à-d qu’il
s’opposera toujours au judéo-christianisme, qui
lui n’est qu’un avatar du judaïsme. Pour cette
raison nous voyons maintenant de nombreux
“chrétiens” fréquenter les loges maçonniques, cet
autre bras du judaïsme. Et
2) Ces états artificiels devaient aussi servir
à débiliter le peuple allemand dans son ensemble
et faciliter ainsi l’introduction du bolchevisme
en Allemagne. Rappelez-vous les paroles de Lénine:
“Nous l’emporterons le jour où les masses incultes
slaves seront réunies à la technicité allemande.”
Hitler en homme juste et honnête ne pouvait
concevoir, que les “Droits de l’homme” et celui
des populations puissent être aussi totalement et
aussi continuellement bafoués par des traités
aussi peu sérieux. Traités que mêmes certains
vainqueurs, comme Lloyd George, considéraient déjà
en 1919 comme totalement ineptes. Les pires tyrans
de l’antiquité n’auraient jamais osé longtemps
après les fureurs de la bataille, bafouer les
droits des vaincus de la sorte. D’autres part les
Allemands citoyens de ces nouvelles “nations”
construites de bric et de broc, écrasés d’impôts
injustes, de spoliations et de tracasseries
diverses, n’aspiraient qu’au retour à la mère
patrie, surtout après 1933 au vu de la réussite
économique de l’Allemagne hitlérienne. C’est
d’ailleurs au vu de cette réussite immédiatement
prévisible après les diverses décisions prises par
Hitler dès 1933 dans le domaine social, que, déjà
en mars 1934 au congrès mondial juif tenu à NewYork, les Sages de Sion déclarèrent la guerre à
l’Allemagne. C’est aussi au vu de cette réussite,
qu’en octobre 1938 au sortir de Munich, ils
décidèrent la guerre militaire sans plus attendre.
Les démocraties n’étant pas encore “prêtes” et
“suffisamment endoctrinées” pour entreprendre un
nouveau conflit mondial, l’on décida Munich, ce
vaste “trompe l’œil” qui roula Hitler dans la
farine et qui fut une réelle victoire des
démocraties. Dès son retour en Angleterre le
“pacifiste” Chamberlain décida la création
immédiate du “Bombing command” c-à-d d’une
aviation stratégique, et le pacifique Daladier
entreprit immédiatement un programme serré de
réarmement en France.
Hitler n’a jamais cru à la possibilité d’une
g u e r r e g é n é r a l i s é e t a n t i l s a v a i t s e s
revendications légitimes et justes, en accord avec
les droits de l’homme et des peuples, droits tant
revendiqués par les maçons enjuivés de la SDN, et
tant il comptait sur l’intelligence des peuples,
qui avaient pris part à la boucherie de la
première guerre mondiale. Cependant, par prudence
il activa son réarmement, car durant l’année 1938
les usines du Reich sortiront difficilement 500
avions par mois, alors que déjà à cette époque les
usines françaises en produisent 700 et les usines
tchèques 600. Fin de l’année 1937 le nombre des
corps d’armée allemands sera de 14, alors que la
France plus la Tchécoslovaquie peuvent en aligner
35, et pensaient même déclarer une guerre
préventive grâce à ces conditions très favorables.
Cependant après Munich, Hitler n’envisagea jamais
une guerre mondiale généralisée; aussi limita-t’il
son réarmement à des engins TACTIQUES. Son
aviation était tactique afin d’agir uniquement sur
les arrières immédiats du front et d’épargner le
maximum de populations civiles, c-à-d qu’il
concevait la guerre comme une affaire limitée à
des soldats sans prise en otage des populations.
Ne concevant même pas une guerre avec l’ouest, sa
flotte de guerre était restée très réduite,
respectant les accords avec la perfide Albion;
elle était juste suffisante pour protéger ses
voies de communications. En septembre 1939
l’Allemagne débuta la guerre avec seulement 18
sous-marins opérationnels, soit six effectifs sur
le théâtre des opérations. Si vraiment il avait
préparé une guerre d’agression il aurait au
minimum développé bien plus sa flotte sous-marine.
Quant à son armée de terre, si elle possédait
plusieurs divisions blindées, celles-ci étaient
inférieures en nombre à celles de la France; mais
elles étaient nettement plus efficaces car mieux
utilisées et mieux coordonnées avec l’aviation. Et
l’armée de terre allemande ne possédait en
effectifs que les 2/3 de ceux de l’armée
française, anglaise et polonaise réunies.
A l’inverse de Hitler, les Anglo-Saxons
pensèrent immédiatement à créer une aviation
puissante et portant très loin, c-à-d STRATEGIQUE.
Elle permettait la destruction de villes très
éloignées des zones de combats, c-à-d qu’elle
était créée en vue de destruction des populations
civiles et des usines de l’arrière. Rappelez-vous
aussi les encouragements que Churchill dispensait
continuellement à ses aviateurs: “Il faut de
préférence bombarder les vieux quartiers des
villes, car ils sont plus peuplés, surtout occupés
par les masses ouvrières, et car ils brûlent mieux
vu leur âge.” Churchill avait même décidé, que
pour obtenir le meilleur résultat il fallait
surtout des bombes incendiaires et seulement
1/10ème de bombes explosives. Cette conception de
la guerre digne d’un Attila moderne prouve la
volonté délibérée d’anéantir tout un peuple.
D’ailleurs ce n’est qu’en juillet 1944, après
avoir bien durant quatre ans massacrés des civils
par les bombes, que les Anglo-Saxons enfin décidés
d’en finir, s’en prirent aux objectifs réellement
militaires d’Allemagne, c-à-d que seulement à
c e t t e d a t e i l s c o m m e n c è r e n t à b o m b a r d e r
systématiquement les nœuds de communications
ferroviaires, les usines d’essence synthétique et
les usines de roulements à billes; et en moins de
dix mois l’Allemagne fut à genoux. Tous les autres
bombardements, ceux des villes relèvent uniquement
du TERRORISME pur. Il faut lire à ce sujet
l ‘ e n s e m b l e d e s l i v r e s d u g r a n d h i s t o r i e n
britannique David Irving.
D’une part donc nous avons un Hitler SATANISE
encore maintenant, qui n’a jamais voulu faire la
guerre, et qui, si malgré tout elle devait
éclater, ne pensait qu’à la limiter et à la
localiser en appliquant une tactique épargnant le
plus possible les civils. D’autre part nous avons
u n e n s e m b l e d e c h e f s d ‘ é t a t s d é m o c r a t e s ,
perpétuellement LOUANGES comme des “bienfaiteurs
de l’humanité”, alors que dès 1934 pour les Sages
de Sion (ces pauvres victimes juives) et dès 1938
pour les autres, ces chefs pacifistes, ils ne
pensèrent qu’à enclencher une guerre fratricide et
meurtrière pour les populations civiles. Je ne nie
pas, que lors de l’exode en 1940 des avions
allemands ne bombardèrent pas des civils, mais toujours uniquement dans les zones de combats et
sur les arrières directs du front; ce n’était pas
les civils qui étaient visés, mais les ouvrages
d’art par ou devaient passer les troupes en
retraite, troupes débandées et malheureusement
mélangées intimement et même parfois exprès aux
civils, qu’une propagande mensongère avait
précipité sur les routes. Une autre raison aux
rares bombardements perpétrés par les Allemands
sur des civils fut le faible progrès dans les
transmissions de l’époque. Ce fut le cas de la
ville de Rotterdam avec ses 990 morts civils. Là
l’explication est simple: En effet cette ville ne
fut déclarée “ouverte” qu’en dernière minute,
alors que les avions allemands étaient déjà en
route, pratiquement sur leurs objectifs; et l’on
ne put transmettre le contre-ordre à temps faute
de moyens de communication. Des troupes allemandes
se trouvaient déjà aussi dans la ville avec le
général Student, et elles furent aussi bombardées
par ses propres avions.
Certains me rétorquerons: “Oui, d’accord pour
Rotterdam, car ce fait est reconnu, même par les
historiens anglo-saxons, mais il y eut aussi
Guernica durant la guerre d’Espagne, ensuite
Varsovie et Coventry.” Expliquons ici ces trois
cas, en commençant par le plus ancien, Guernica.
Cette petite cité basque de 6.400 habitants était
un lieu sacré, car c’était là, que les rois
d’Espagne après chaque couronnement venaient
prêter serment de respecter les privilèges du
peuple basque sous les ramures d’un chêne
séculaire. Mais cette ville, située près de
Bilbao, sur la route principale y conduisant,
possédait aussi d’autres caractéristiques; entre
autre une fonderie où l’on fabriquait de
l’armement et un marché très fréquenté tous les
dimanches. En outre comme cette cité se trouvait à
moins de 30 kilomètres des premières lignes du
front, les miliciens rouges y avaient entreposés
de nombreuses munitions. Pour toutes ces raisons
militaires les franquistes, qui avançaient vers
Bilbao, décidèrent de bombarder ce nœud de
communication. L’action échut à la légion Condor
des volontaires allemands. Pour la réaliser, ils
employèrent trois vagues successives, chacune
d’une douzaine d’avions et espacées sur quatre
heures de temps. Les deux premières vagues
composées de Heinkels 111 furent peu efficaces; la
dernière composée de Stukas fut décisive. En fait
ce fut un bombardement tactique, malheureusement
réalisé un jour de marché hebdomadaire, ce qui
entraîna exactement 1.654 morts, civils et
miliciens confondus. L’action était tellement
valable au point de vue militaire, qu’au tribunal
de Nuremberg les “Alliés” refusèrent de la prendre
en compte, malgré la demande des communistes
soviétiques et français. Quant à Varsovie elle ne
fut jamais détruite en septembre 1939. Cette ville
reçut bien quelques bombes de Stukas dans sa
périphérie, mais sur quelques endroits bien
localisés, là où quelques fanatiques polonais
résistaient encore en outrepassant les ordres de
leur état-major. Cette ville fut déclarée, elle
aussi “ouverte” au dernier moment. Mais en réalité
Varsovie fut détruite bien plus tard, en avril
1943 lors du soulèvement du ghetto, qui fut rasé
ensuite; et en août-septembre 44 lors du
soulèvement des résistants polonais. La séquence
filmée, perpétuellement repassée à la télévision
par les médias aux ordres, où l’on voit Hitler
admirant l’écrasement de la cité par les Stukas
est un vulgaire montage, un truquage coutumier des
“menteurs aux ordres de l’Establishment”.
Pour Coventry (en tout 3.000 morts civils, à
comparer aux 40.000 civils écrasés lors d’un seul
bombardement de Hambourg, ou aux 235.000 morts
minimum du bombardement de Dresde en février 1945,
ou même aux 85.000 morts d’Hiroshima), pour
Coventry donc, cette cité industrielle des
faubourgs de Londres, cette fois l’action de
terreur fut délibérée et commandée par Hitler, qui
voulait par cet exemple faire cesser les
bombardements de terreur commencés par les Anglais
sur les villes allemandes la nuit du 10 mai 1940.
Cette nuit là furent bombardées les villes de
Duisburg et de Frieburg. Pour en finir et après de
nombreux avertissements Hitler voulut démontrer,
que lui aussi pouvait épouvanter; et ce fut
Coventry; mais ensuite l’affaire en resta là
jusqu’à la création des V1 et des V2.
* * *
Analysons maintenant les prémices de la seconde guerre mondiale; l’entrée en guerre de
l’Allemagne le 1er septembre 1939 ainsi que les
divers offres de paix de Hitler avant et au court
du conflit. Pour bien connaître les dessous de
l’Histoire et la genèse de cette nouvelle guerre
mondiale absurde, fratricide et TOTALEMENT
EVITABLE, je conseillerai aux lecteurs de se
reporter aux livres suivants, qui détaillent jours
après jours, quand ce n’est parfois pas heures
a p r è s h e u r e s l e s d i v e r s e s t r a c t a t i o n s
diplomatiques au sujet de Munich, de Dantzig,
etc… Ce sont:
1) “L’Histoire de l’armée allemande” (tome I à
VI) par Benoist-Méchin chez Albin-Michel.
2) “Les responsables de la seconde guerre
mondiale” par Paul Rassinier publié aux Nouvelles
éditions latines.
3) “Les crimes libérateurs contre la paix” par
Vincent Reynouard, édité par l’auteur.
4) “Los crimenes de los Buenos” par J. Bochaca
aux éditions Cedade.
5) “Derrota Mundial” par Salvador Borrego aux
éditions Mexico.
Tous ces livres feront comprendre bien mieux
que moi l’absence de responsabilité et l’innocence
de Hitler dans l’engrenage, qui enclencha cette
seconde tuerie mondiale. Ils démontrent aussi
parfaitement la perfidie et la duplicité des
Anglo-Saxons et de leurs âmes damnées Churchill et
Roosevelt; ils prouvent enfin l’imbécillité des
peuples, principalement des Français, ce peuple de
veaux comme les qualifiait De Gaulle, de tous ces
p e u p l e s d é m o c r a t i q u e s c r é t i n i s é s p a r
l’endoctrinement juif et franc-maçon. Je ne
rappellerai donc ici que quelques faits en rapport
direct avec notre étude, c-à-d en rapport avec la
lutte TITANESQUE entreprise par Hitler contre les
forces du mal et de l’antéchrist.
Commençons donc ici par le cas de l’Autriche,
ce pays complètement démantelé en 1919, qui ne
possédait plus aucun débouché sur la mer, réduit
au 1/4 de son ancien territoire; pays qui avait
perdu pratiquement toute son industrie, car ses
zones industrielles étaient situées après la
guerre en territoire tchécoslovaque. Ce n’était
plus qu’un pays agricole dont une grande partie
était couverte de montagnes et de forêts.
L’Autriche était donc destinée à rester un pays
pauvre dans un monde moderne de plus en plus
industrialisé.
Le traité de Versailles avait imposé à
l’Allemagne de céder Dantzig, ville peuplée à 97%
d’Allemands, à la Pologne, afin que cette dernière
puisse posséder une grande base portuaire pour
faciliter le développement de cette nouvelle
entité étatique. Cette décision patronnée par la
SDN était imposée au mépris de la volonté de ses
habitants. On imposa à Dantzig de devenir une
ville franche, c-à-d internationale. Si le nouvel
état polonais ne possédait pas de débouché sur la
mer, l’ancien empire autrichien, lui en possédait
à suffisance. Avant guerre il possédait un énorme
port, Trieste, et de nombreuses localités le long
de ses côtes du haut-Adige et de Dalmatie. Mais
les “Alliés” vainqueurs s’étaient partagés ces
zones côtières, le Haut-Adige alla à l’Italie et
Trieste à la Slovénie province de Yougoslavie. Or
ces zones étaient peuplées à 60% de populations
germaniques. Mais là pas question de création de
zone franche en faveur de l’Autriche. Pour
l’ancienne SDN comme pour la nouvelle ONU les
droits de l’homme, comme les droits des peuples ne
sont pris en compte, que lorsqu’ils sont utiles
pour le Mondialisme. Ces “machins,comme disait De
G a u l l e , s o n t r é g i s p a r l a p l u s s i n i s t r e
hypocrisie.
L’Autriche de 1919, celle du traité de SaintGermain, appauvrie et réduite à n’être plus qu’un
é t a t c r o u p i o n a g r i c o l e é t a i t v i s i b l e m e n t
invivable. Mais la haine des francs-maçons et des
Cosmopolites adeptes des “Protocoles” voulaient
absolument éliminer d’Europe et réduire à néant un
état aussi ouvertement catholique. En fait
l’Autriche ne retira qu’un seul avantage de sa
défaite de 1918, mais il était de taille; elle
n’était plus peuplée que par deux races, des Juifs
et des Germains. Les importantes minorités slaves
avaient disparues, et quant aux Juifs ils
n’étaient présents que dans les grandes villes
comme Vienne et Salzbourg. Les Mondialistes juifs
commirent là une erreur, car ils ne pouvaient plus
se réfugier et se cacher derrière les peuples
slaves pour leurs diverses manigances. Cette
erreur, que l’expérience prouvera, ils ne la
commettront plus jamais, et c’est pour cette
raison, que partout maintenant ils imposent un
mélange “significatif” de populations d’origines
ethniques et raciales différentes. Le Juif a
besoin de ce mélange pour passer inaperçu. Aux USA
par exemple ils ne magouillent à l’aise que dans
l’insécurité créée et entretenue par les Nègres et
par les Latinos. Un peuple racialement homogène
peut leur tenir tête; un peuple mélangé n’a plus
ni racines, ni réflexes culturels. En Amérique les
Nègres se sont rendus compte, qu’ils étaient eux
aussi exploités et manipulés par les Juifs, mais
ils les tolèrent cependant dans la mesure où les
Mondialistes les favorisent par le “Political
correctness”. Comme les Latinos, ils se savent
ferments d’insécurité et de pillage, mais leur
fainéantise native et leur mentalité primitive
s’en accommodent. Il en va de même en Europe, où
les nombreuses populations musulmanes servent à y
instaurer le Mondialisme en créant l’insécurité,
la pagaille et l’appauvrissement (par le biais de
la surcharge de la sécurité sociale) des pays
parasités. Naturellement, comme les Nègres en
Amérique, les Musulmans d’Europe très prolifiques
espèrent bien retirer les marrons du feu pour la
plus grande gloire d’Allah. Les Juifs le savent,
aussi entretiennent-ils un savant dosage de
populations et dressent-ils les peuples blancs
parasités contre l’extrêmisme des intégristes. Diviser pour mieux régner fut toujours leur
méthode. Aux divers dominés de s’unir contre le
fléau mondialiste. Hitler l’avait bien compris et
c’est pour cette raison, qu’il devint l’ami des
Arabes et du grand mufti de Jérusalem. En
conséquence des SS musulmans bosniaques et
albanais combattirent bravement pour la croix
gammée. Des Algériens, des Tunisiens et des
Caucasiens musulmans aussi, quoique beaucoup plus
mollement. Il n’empêche que durant la guerre
d’Algérie certains chefs de Willayah avaient
servis sous la croix gammée; aussi devons-nous
comprendre, que l’alliance de nos peuples blancs
indo-européens avec certains Arabes, comme Saddam
Hussein n’est pas “contre nature”. Naturellement
le président Irakien est une exception, car c’est
un vrai national-socialiste arabe; mais il n’est
pas interdit, comme le reconnut Hitler dans son
“Testament Politique”, de nous associer à un
intégrisme musulman dur, car notre ennemi est
commun. Mais nous devons au préalable refuser tout
mélange de populations, qui nous affaiblirait tous
deux automatiquement. Lutter ensemble, mais chacun
chez soi. Le Juif cosmopolite tremblera le jour où
nationalistes musulmans et nationalistes IndoEuropéens s’uniront contre lui. Par contre tout
chef arabe, qui, comme le palestinien Arafat ou le
bosniaque Hizetbégovic, s’allie au Mondialisme
juif devient automatiquement notre ennemi à tous.
Mais revenons à l’Autriche invivable de 1919.
Ses délégués venus au traité de Saint-Germain
réclamèrent l’Anschluss, c-à-d le rattachement à
l’Allemagne, au vu de l’inviabilité de leur patrie
mutilée. Mais cette union n’était certes pas du
goût des Juifs et des francs-maçons défenseurs des
“droits de l’homme” qui siégeaient à la SDN. Ils
n’avaient pas déclenché la tuerie générale de
14-18 pour retrouver un état allemand fort et
u n i f i é , q u i p o u v a i t d e c e f a i t r é s i s t e r
efficacement à l’instauration du bolchevisme et de
l’internationalisme mondialiste. Par conséquent le
désir et le droit du peuple autrichien fut bafoué
et sa demande rejetée.
Mais les Autrichiens revinrent à la charge en
février 1921 à la suite d’un référendum écrasant
en faveur de l’Anschluss; suivant les provinces,
de 97 à 99% votèrent pour le rattachement.
N a t u r e l l e m e n t n o u v e a u r e f u s e t n o u v e l l e
interdiction de la part des “Alliés” et de la SDN.
Mais ce thème de la réunification va servir de
cheval de bataille pour le jeune parti nationalsocialiste autrichien. Pour cette raison les Juifs
poussèrent à la présidence de l’Autriche un
catholique nationaliste réactionnaire nommé
Engelbert Dolfuss. Celui-ci, bon paysan mais
borné, voulait redresser son pays tout en restant
dans le giron chrétien et de la SDN. Il n’avait
r i e n c o m p r i s d e l a G R A N D E C O N S P I R A T I O N
MONDIALISTE, obnubilé qu’il était par le “manque
de christianisme” du National-Socialisme. Les
Juifs mondialistes retors lui avait fait accroire,
que Hitler personnifiait l’Antéchrist. Et en
juillet 1934 son obstination absurde le poussa à
interdire le NSDAP autrichien; ce qui lui coûta la
vie lors d’une tentative de prise de pouvoir par
les Nationaux-Socialistes de son pays. Cependant
jamais ceux-ci ne programmèrent son assassinat,
qui en réalité fut un accident, comme l’a
magistralement démontré l’historien BenoistMéchin. Ensuite Schusschnigg succéda à Dollfuss
comme Chancelier d’Autriche. En juillet 1936
celui-ci signa avec Hitler un accord où, bien que
l’Allemagne y reconnaisse la souveraineté de
l’Autriche, cette dernière se reconnaissait comme
ETAT ALLEMAND. Ce traité d’échange et d’assistance
ouvrait naturellement la voie à l’Anschluss, car
l’Autriche de Schusschnigg en se déclarant
“allemande” faisait clairement référence à
l’Autriche des années vingt, celle qui avait
réclamé à cor et à cri son rattachement. En outre
début 1938 Schusschnigg fut reçu à Berchtesgaden,
et trois jours plus tard, soucieux de prouver sa
bonne volonté, il nomma Seyss-Inquart nouveau
ministre de l’Intérieur et de la Sûreté. Ce
dernier, homme de confiance des NationauxSocialistes et grand catholique, représentait
l’opinion nationale, comme le démontrèrent les
historiens Benoist-Méchin, G. Champeaux et von
Freytag-Loringhoven. Fort de ces décisions le 17
février 1938 Hitler déclara dans un discours au
Reichstag: “Aux frontières du Reich vivent 10
millions d’Allemands séparés de nous; mais nous
saurons défendre les intérêts de tous les
Allemands, où qu’ils se trouvent.” A la suite de
c e t t e d é c l a r a t i o n , a u l i e u d ‘ a p p l a u d i r
Schusschnigg commence brusquement à louvoyer et à
faire une série de déclarations équivoques. L’on
ne sait pas pour quelle raison lui aussi commença
à écouter les “sirènes mondialistes” et à
s’opposer au National-Socialisme? Mais de ce fait
il violait la constitution autrichienne et ses
engagements avec Hitler, afin, semble-t’il,
d’étouffer l’influence grandissante des NationauxSocialistes autrichiens. Il organisa un plébiscite
tout en mobilisant l’armée, soi-disant afin de
maintenir l’ordre, en fait afin de neutraliser les
Nationaux-Socialistes. Hitler protesta par une
note et non par un ultimatum comme l’écrivent
encore de nombreux “historiens officiels et
labelisés démocrates”. Mais le peuple autrichien
en avait assez et ne soutint pas Schusschnigg. Et
le 12 mars les troupes allemandes entrèrent en
Autriche sans tirer un seul coup de fusil, ni
v e r s e r u n e g o u t t e d e s a n g ; a u c o n t r a i r e
a c c u e i l l i e s t r i o m p h a l e m e n t p a r t o u t e l a
population. Un mois plus tard, le 10 avril 1938 au
court d’un plébiscite les Autrichiens approuvèrent
l’Anschluss à 99,08% en Allemagne, soit 48.789.269
voix pour et 452.180 voix contre, et en Autriche
l’approbation fut de 99,75%, soit sur 4.284.795
inscrits le taux de 4.273.884 oui, et 9.852 non et
559 bulletins nuls.
On peut se demander, ce qui pousse tout à coup
c e r t a i n s h o m m e s p o l i t i q u e s , n e t t e m e n t
nationalistes au départ, comme Dollfuss ou
Schusschnigg, à faire brusquement marche arrière
et à favoriser le Mondialisme au détriment de leur
peuple? Les raisons en sont certainement fort
nombreuses et diverses, mais toutes relèvent soit
d’un manque de discernement politique, soit d’un
désir de s’accrocher au pouvoir, ce qui est de
plus en plus difficile sans l’assentiment de ce
pouvoir caché qu’est le Mondialisme. Ainsi,
voyons-nous actuellement un Helmuth Köhl déclarer,
le 27 février, jour férié obligatoire en Allemagne
en souvenir de “L’Holocauste”,et un Ghérard
Schroeder multiplier les prises de position en
faveur d’Israël, des immigrés et contre les
révisionnistes et tous ceux que l’on peut taxer de
« délit d’opinion ». Agissant ainsi ils acceptent
i m p l i c i t e m e n t l ‘ a c c u s a t i o n d e g é n o c i d e à
l’encontre de leur peuple. Alors qu’ils savent
pertinemment bien, que Auschwitz ne fut qu’un camp
de transit et de concentration, jamais un camp
d’extermination. Pour rester au pouvoir par
gloriole et par appat du gain, H. Köhl et G
Schroeder sont traîtres à leur peuple et plus
grave à leur race, c-à-d qu’ils sont devenus des
êtres sans âme. L’âme étant la race vue du dedans.
De même avons-nous vu récemment un Chirac déclarer
son peuple, la France, coupable en bloc de crimes
contre l’humanité, car le régime de Vichy pratiqua
une politique, bien timide d’ailleurs, de
ségrégation raciale envers les Juifs en 1943-44.
Ce que le franc-maçon Mitterand, pourtant vendu au
mondialisme, refusa obstinément d’avaliser,
Chirac, dès sa nomination à la tête de l’état en
1995, s’empressa de le cautionner. Naturellement
il se devait de remercier les Juifs de France de
leur soutien lors de sa campagne présidentielle.
Mais tout de même, vendre son peuple pour trente
deniers relève du crime de Haute Trahison. Quant
aux autres, aux humbles, aux petits et aux
médiocres, qui eux aussi emboîtent le pas au
Mondialisme juif, tous ceux des diverses ligues
contre le racisme et l’antisémitisme, ils
trahissent ainsi leur peuple et sacrifient leur
âme à la société de consommation, soit par
imbécilité, soit par manque de discernement
politique et de connaissances historiques, soit
par intérêts bassement alimentaires (ce qui est la
raison la plus fréquente), soit même par véritable
mutation génétique et réorientation agressive
contre leur propre communauté (comme le chien qui
mord son maître). Ce comportement est très bien
connu en éthologie. Une dernière raison à ce comportement réside sans doute dans un sang
fortement mélangé; en effet beaucoup d’IndoEuropéens, principalement dans le sud, portent en
eux plus de gènes sémites qu’aryens, ce qui est le
cas de beaucoup de chrétiens plus proches du
judaïsme que du catholicisme.Dernière remarque
importante : Tous peuvent constater que lorsque
l’on nous parle de « crime contre l’humanité » il
s’agit UNIQUEMENT de sévices, vrais ou supposés, a
lencontre du peuple juif ; jamais a l’encontre
d’un autre peuple. Ainsi dernèrement, lors de la
mascarade de procès de Bruxelles contre quatre
génocidaires rwandais, ils ne furent en definitive
accusés que de « crimes de guerre ». Ce qui est
totalement erroné, puisqu’il s’agissait du
massacre systèmatique de l’ensemble d’une autre
ethnie, les Tutsis, et cela non au cours d’une
guerre, mais d’un règlement de compte ethnique au
sein d’un même pays. Ce qui démontre bien, que
pour les médias actuelles, toutes aux ordres du
Mondialisme, tout comme dans les fameux Protocoles
des Sages de Sion, l’humanité ne représente que le
seul peuple juif,le peuple ELU.
A n a l y s o n s m a i n t e n a n t l e c a s d e l a
Tchécoslovaquie et de la pseudo-agression
hitlérienne contre ce pays. Rappelons tout d’abord
à nouveau ici, que ce pays fut constitué de façon
irréaliste en englobant plusieurs ethnies et
plusieurs races, qui se détestaient, sous un même
drapeau. (voir sa composition plus haut). Tous
furent placés sous la coupe EXCLUSIVE des
Tchèques, par ruse de la part de ceux-ci, par
ignorance et par imbécillité de la part des
négociateurs de paix, et par manipulations de la
part des suppôts du Mondialisme qui œuvraient en
coulisses.18 }}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}}} 18

18 Lors de l’implosion de l’URSS en 1989 et de la chute du mur de Berlin, le frère maçon Vaclav Havel fut
nommé président de la République tchécoslovaque “démocratique”. Il s’empressa alors de fournir aux
Américains et à ses frères de loges les archives de la SS encore en sa possession. Ainsi ces derniers purent
recommencer à tracasser et à pourchasser d’anciens SS et Waffen SS et surtout ils purent trier, faire
disparaître ou au minimum mettre sous scellés bons nombres de documents historiques favorables à
Hitler et à l’organisation de la SS.

C’était tellement aberrant, que si l’on
prenait la peine d’additionner l’ensemble des
minorités en regard du seul peuple tchèque, celuici devenait une minorité.
Mais un dicton, toujours vérifié jusqu’à ce
jour a cours en Europe de l’Est. Il dit que: “Qui
tient Prague tient toute l’Europe de l’Est.” C’est
pour cette raison, que durant tout le Moyen-Âge de
nombreux princes allemands s’intéressèrent
tellement à cette ville et à la Tchèquie. Pour
cette raison aussi, que la révolte hussite fut
écrasée dans le sang par les catholiques et que
les Suédois de Gustave-Adolphe tentèrent de s’y
maintenir et que le prince allemand Wallenstein
fit tout pour les en déloger. Pour cette raison
aussi, que les communistes considéraient la
Tchécoslovaquie comme le bastion avancé du
communisme au cœur de l’Europe et le parti
communiste (1e PC) tchécoslovaque comme le “Fer de
lance de la Révolution mondiale”. A cette époque
leur action s’appuyait sur un grand nombre
d’organisations marxistes soit: La ligue des
libres-penseurs socialistes, la ligue contre
l’impérialisme, la ligue pour le développement et
la culture prolétarienne, l’aide internationale
aux prisonniers de la lutte des classes, la ligue
pour le progrès, la ligue mondiale pour la réforme
s e x u e l l e , l a f é d é r a t i o n d e s é t u d i a n t s
progressistes, la guilde des coopératives de
combat, la ligue internationale des femmes contre
la guerre et le fascisme, la nouvelle fraternité
mondiale, etc… En outre tous les chefs de la
sociale-démocratie autrichienne notamment les
Juifs Otto Bauer et Julius Deutch, se sont
réfugiés en Tchécoslovaquie depuis février 1934,
et il s’y livrent à une intense propagande politique. En outre Bénès appartenait à la loge
“Pravda Vitezi” fondée le 26 octobre 1918 et
rattachée au Grand Orient de France. En font aussi
partie les frères Gottwald, Dragow et Ackermann,
qui tous trois ont des attaches étroites avec le
Grand Orient de France et avec le “comité exécutif
de l’Internationale Communiste” de Moscou. Pour
eux, comme pour Moravec, le grand Maître de la
maçonnerie tchèque, “Prague est le chaînon, qui
relie la France à la Russie des Soviets”.
Massaryk, un autre frère maçon, n’est pas
“officiellement” communiste, mais il a appuyé les
“Légionnaires tchèques”, qui, en liquidant
l’amiral Koltchak, ruinait la résistance des
Russes Blancs. Ensuite il ne cessait de préconiser
un rapprochement avec Moscou, et sur ses instances
le président des USA envoya Bullitt à Prague pour
se lier avec Litvinov. Prague a toujours été et
est encore le centre de la maçonnerie de l’Europe
de l’Est. Prague outre ces considérations
philosophiques est aussi un centre important de
communication et un centre stratégique militaire.
A peine à une heure de vol de Berlin du temps de
Hitler. Pour toutes ces raisons aussi la SS de
Himmler en fit immédiatement son centre d’action
et d’administration.Elle y laissa une foule de
documents, que les Soviétiques refusèrent toujours
de livrer aux Américains, mais que le président
maçon Vaclav Havel s’empressa de leur fournir lors
de sa nomination a la présidence. La CIA (cette
agence aux ordres de Rockefeller, du CFR et du
Mondialisme) s’empressa de détruire et de cacher
certains de ces documents sans aucun doute trop
explicites et trop favorables à Hitler ; trop
gènants sur les dessous de la seconde guerre
mondiale.
Peu de gens savent d’ailleurs que durant la
guerre 39-45 la Tchécoslovaquie fut une terre
p r i v i l é g i é e d e p a r l ‘ o c c u p a t i o n e t
l’administration SS implantée là, mais aussi parce
que la coopération entre la population et la SS
fut encore meilleure que partout ailleurs en
Europe. C’est certainement pour cette raison de
coopération et pour la faire oublier au plus vite
aux vainqueurs, que la répression anti-allemande
fut si vive en mai 1945. Les Tchèques massacrèrent
et torturèrent allègrement vieillards, femmes et
enfants allemands; des tortures ignobles où l’on
découpa aux ciseaux un jeune soldat SS, ou l’on
viola et même dansa sur le ventre de femmes
enceintes et ou l’on obligea de jeune enfants
allemands à courir pieds nus sur des tessons de
bouteilles jusqu’à ce que mort s’ensuive. (Lire à
ce sujet un livre intitulé: “Tuez-les tous”).
Cette collaboration avec la SS permit aux Tchèques
et aux Slovaques de ne subir AUCUN RATIONNEMENT
ALIMENTAIRE DURANT TOUTE LA GUERRE, alors que le
reste de l’Europe, même l’Allemagne était partout
rationnée plus ou moins suivant les régions. Cette
absence de rationnement étonna de nombreux SS, qui
venaient faire leur instruction militaire en
Tchécoslovaquie. Mais cette collaboration entre
Tchèques et SS fut encore plus absolue lors de
l’assassinat de Heydrich le “protecteur de BohêmeMoravie”. Et cela mérite une nouvelle petite
digression.
Reinhard Heydrich, le second de Himmler, était
en 1942 sur le point de démasquer le double jeu de
l’amiral Canaris, ce juif entièrement à la solde
de l’Establishment. Sentant l’étau se resserrer le
traître Canaris, le chef des services de
renseignements de la Wehrmacht, demanda en
catastrophe à Churchill de le sauver, ne pouvant
lui-même trouver des “résistants-assassins” en
Tchécoslovaquie, car l’ensemble de la population y
adorait Heydrich. La preuve en est, que ce dernier
se rendait tous les jours de sa résidence hors
ville à son bureau de travail du Ratchin (le
palais de Prague) au centre-ville, parfois même
seul sans chauffeur, en voiture découverte,
TOUJOURS SANS ESCORTE et par le même chemin.
Churchill envoya donc d’urgence un commando
composé de tchèques francs-maçons et juifs
réfugiés en Angleterre et il les fit parachuter
près de Prague à Lidice. Lors de l’assassinat de
H e y d r i c h , c e r t a i n s f u r e n t a t t r a p é s e t l a
population praguoise fut sur le point de les
lyncher, non pas parce qu’elle craignait des
représailles comme le commentent encore certains
“historiens labelisés” aux ordres, mais bien parce
que les Praguois aimaient sincèrement leur
“Protecteur” Heydrich et parce qu’ils savaient,
q u ‘ i l f a i s a i t t o u t p o u r l e u r é v i t e r l e s
inconvénients de la guerre. Après cet attentat il
y eut effectivement des représailles mais
uniquement à Lidice, car c’était le village où les
assassins avaient été parachutés et où les
survivants avaient trouvé refuge. Le village de
Lidice fut détruit et ses occupants dispersés ou
emprisonnés, ce qui n’était que justice.
Prague comme je l’ai dit est une ville
stratégique, commerçante et de grand passage, un
nœud routier important et de ce fait elle fut
dirigée pendant 10 siècles jusqu’en 1945 par une
élite allemande. Mais si le dicton dit vrai, elle
possède aussi une étrange valeur symbolique, que
semble confirmer l’acharnement des “initiés” de
l’histoire à l’occuper. Cette valeur symbolique
surpasse de loin sa valeur stratégique et
commerciale. Un peu comme la Haute-Lotharingie à
l’Ouest, là ou Himmler et Degrelle, tous deux
férus d’histoire, voulaient aussi créer un état SS
d’entre-deux. Là aussi, depuis l’occupation
Burgondes un dicton semblable reconnaît, que “qui
tient cette région tient toute l’Europe de
l’Ouest.”
Pour cette raison symbolique les Juifs et
leurs émules francs-maçons s’intéressèrent
surtout, à Prague, tout comme à l’Alsace. De
toutes les villes slaves de l’Est, c’est à Prague,
que la franc-maçonnerie fut la plus développée et
l a p l u s a c t i v e ; e n c o r e m a i n t e n a n t . D ’ o u
l’insistance de faire entrer la Tchécoslovaquie
dans la communauté européenne ; l’entrée de la
Pologne et de la Hongrie servant en partie a
masquer ce besoin du Mondialisme juif.C’est pour
cette raison que les frères maçons Massaryk et
Bénés obtinrent si facilement de la SDN la
formation d’une grande Tchéquie aux dépens de tous
les peuples de la région. Outre le soutien de tous
les commanditaires Juifs de la SDN, ils obtinrent
le soutien inconditionnel des frères maçons
d’Angleterre et surtout celui de Woodrow Wilson et
de son âme damnée ce Juif au parfum surnommé
“colonel House” (de son vrai nom Edouard Mandell).
Si W. Wilson ignorait tout de la géographie de
l’Europe, House-Mandell savait lui très bien ce
qu’il faisait en mettant en selle les frères
maçons tchèques. Comme plus tard William Bullitt,
cet autre juif frère maçon, qui fut ambassadeur et
journaliste en URSS, aux USA et en France. Lui
aussi s’ingéniera à aider Bénès, à présenter
Lénine comme un bienfaiteur de l’humanité, et les
purges staliniennes, qui firent plus de 30
millions de morts parmi les enfants orphelins
d ‘ U R S S e t p a r m i l e s K o u l a k s ( d e s p e t i t s
propriétaires terriens), comme une purification
nécessaire du monde paysan soviétique. Plus tard
Bullitt s’ingéniera à répandre des mensonges
grossiers contre Hitler, qu’il haïssait, et à
exciter les démocraties occidentales, afin qu’elles acceptent enfin d’entrer en guerre contre
l’Allemagne. Mais le plus fort soutien de Massaryk
et de Bénès vint des frères maçons français comme
Poincarré, Clémenceau, etc… Car pour les
politiciens français cette grande Tchécoslovaquie
représentait un véritable “porte-avions” enfoncé
au cœur des populations allemandes. Outre le
soutien des Juifs et des frères maçons du monde
entier Massaryk et Bénès eurent aussi celui des
anciens “prisonniers-légionnaires tchèques”
revenus de Russie où ils avaient trahi et
a s s a s s i n é l ‘ a m i r a l R u s s e – B l a n c K o l t c h a k ,
favorisant ainsi la mise en place du communisme
russe.
Francs-maçons, Juifs et Bolcheviks dominaient
donc la Tchécoslovaquie et ils utilisaient les
petits bourgeois, la populace slave et l’ensemble
des nouveaux fonctionnaires tchèques pour
“tracasser” et exploiter de toutes sortes de
manières toutes les autres ethnies. Les Allemands
des Sudètes continuellement brimés finirent par s’organiser en un mouvement frère du NSDAP sous la
conduite de Heinlein, un catholique fervent, qui
n’était pas national-socialiste. Les réussites
économiques de Hitler et celle de l’Anschluss les
confortèrent dans l’espoir d’être rattaché bientôt
à leur vraie patrie, l’Allemagne. Après de
nombreuses échauffourées et quelques assassinats
de civils allemands, Heinlein sollicita la
protection de Hitler. D’autant que Bénès, sûr de
sa protection internationale et maçonnique, ne
cessa jamais de provoquer, de créer des troubles
et d’exciter la populace tchèque. Comme le pays
sombrait tout doucement dans la guerre civile,
Chamberlain envoya le 8 avril 1938 lord Runcinam
comme médiateur à Prague. Celui-ci, honnête homme,
prend rapidement parti pour les Allemands des
Sudètes opprimés contre Bénès et ses manigances. A
ce sujet par l’intermédiaire de Wiedemann, l’aide
de camp du Führer en visite à Londres à cette
époque, les Anglais signalent que: “Des bombes sur
Prague signifieraient la guerre, par conséquent la
tactique à adopter et à expliquer au Führer serait
de ne pas tirer un coup de feu, mais d’étrangler.”
Ce conseil venant de la coterie des pacifistes
anglais vaut son pesant d’or. Comme l’écrivit à
l’époque l’historien G. Champeaux: “Par la faute
de Bénès, roublard sans envergure, la question des
Sudètes cessait d’être une question d’ordre
intérieur agitée entre le gouvernement et le chef
d’une minorité ethnique. La parole passait en fait
à Hitler.” Deux jours après l’entretien HitlerHeinlein le 2 septembre 1938, la France mobilisa
ses réservistes, tentant ainsi d’impressionner le
Führer. Mais l’Angleterre n’était pas encore
prête. La propagande mondialiste n’était pas
encore parvenue à modifier suffisamment l’opinion
des foules anglaises. Aussi l’Angleterre freina-telle des quatre fers la future coalition
démocratique; et il y eut Munich. Et le 4 décembre
1938 un référendum fut organisé dans le pays des
Sudètes libéré, et il donna 98,90% de voix pour le
rattachement à l’Allemagne, soit 2.464.681 votes
positifs sur 2.497.604 votants.
Malgré les sévères reproches des Juifs du
monde entier et des bellicistes de France et
d’Angleterre, qui ne cessaient d’exciter les
peuples des démocraties contre Hitler, les accords
de Munich eurent lieu. A ce sujet notons que le
C o n g r è s M o n d i a l J u i f t e n t a d ‘ i n f l u e n c e r
Chamberlain par une note du 18 septembre 1938. Un
message identique fut adressé à Daladier; et
Chamberlain confiera à Oswald Pirow, son ami
ministre de la défense d’Afrique du sud: “Les
Juifs ne cessèrent d’exercer une forte pression
sur moi pour me dissuader de conclure un
arrangement avec Hitler.” (Paru dans le “News
Chronicle” du 15 janvier 1952). Munich fut en
fait une victoire des Démocraties anglaise et
française, qui gagnaient ainsi le temps nécessaire
pour réarmer à outrance. Hitler s’en rendit compte
dès le lendemain et le signala à son entourage.
Mais il ne put faire autrement car Chamberlain
cédait à toutes ses demandes. Dès son retour à
Londres le 2 octobre 1938 ce dernier convoqua un
cabinet secret, qui entreprit immédiatement la
construction d’une flotte aérienne Stratégique, cà-d que l’Angleterre se préparait à une guerre
LONGUE ET D’EXTERMINATION. Et comme je l’ai déjà
expliqué Daladier fit de même en développant son
industrie de guerre. Malgré cela les Français
n’étaient pas aussi déterminés à la guerre. La
preuve en est que, en décembre 1938 von Ribbentrop
et Bonnet signèrent un pacte de non-agression où
la France acceptait de ne plus s’ingérer ni signer
de traité d’alliance avec aucun pays de l’Est
européen. Mais le Juif Bullitt, âme damnée de
Roosevelt fit des pieds et des mains auprès du
quai d’Orsay, pour que le gouvernement français
renonce à son attitude de neutralité vis-à-vis des
pays de l’Est européen. Mais le plus grave c’est
que Munich servit de prétexte pour, jour après
jour, exciter les populations démocratiques contre
l’Allemagne. Et les médias aux ordres ne s’en
privèrent pas.
Au contraire des excités bellicistes des
démocraties, les dirigeants des autres ethnies
encore sous la coupe des Tchèques voyaient dans
l’indépendance toute récente des Allemands des
Sudètes l’occasion de réclamer eux aussi leur
libération. Les Hongrois et les Polonais de Techen
avaient eux aussi obtenu leur indépendance grâce
aux accords de Munich. Restaient les Slovaques et
les Ruthènes. Et le 10 mars 1939, n’y tenant plus
le leader des Slovaques, Monseigneur Tiszo se
rendit à Berlin pour réclamer la protection de
Hitler pour son peuple. Le 14 mars 39 Monseigneur
Volozin, leader des Ruthènes proclama, quant à
lui, unilatéralement son indépendance. Et
constatant que tout leur échappait, le nouveau
président de Tchécoslovaquie, le docteur Hacha,
franc-maçon de la même loge que Schacht, se décida
lui aussi à demander à Hitler la protection pour
son peuple. Après son voyage, ce fut chose faite
et l’armée allemande entra à Prague. Il est utile
de rappeler ici, que le 26 septembre 1938 Hitler
avait déclaré à Chamberlain que: “Du moment où la
Tchécoslovaquie aura résolu ses problèmes, c-à-d
où les Tchèques se seront entendus et expliqués
avec les autres minorités, l’état tchèque ne
m’intéresse plus.” Mais après Munich, jusqu’en
mars 1939 les Tchèques ne cessèrent d’opprimer les
minorités qui vivaient encore avec eux. Par
conséquent le Chancelier du Reich ne renia
nullement sa parole donnée à Munich lorsqu’il
accepta de prendre sous sa protection la Slovaquie
et la Bohême-Moravie. Pour enfin pacifier l’Europe
centrale il fut pratiquement OBLIGE d’occuper la
Tchécoslovaquie.
Dès avant Munich l’Amérique qui était encore
en crise fut SUBITEMENT submergée par une manne de
dollars (preuve que l’argent se fabrique lorsque
le Mondialisme le veut) et Franklin-Delano
Roosevelt le plus grand hypocrite de l’histoire,
put résorber son chômage dans les industries de
guerre. Immédiatement l’Amérique rationalisa sa
production et la poussa à plein régime visant le
court et le long termes. Le court afin de fournir
un maximum aux futurs belligérants démocrates de
France et d’Angleterre; le long terme, car
Roosevelt ne désespérait pas d’entraîner un jour
prochain les USA dans la guerre. Il devait encore
préparer son opinion publique très isolationniste,
et ensuite trouver un “gros” prétexte. Celui-ci
fut trouvé enfin le 7 décembre 1941 à PearlHarbor. L’on sait maintenant, que le code secret
Japonais était connu depuis juillet 1941 par les
services de renseignements de l’armée américaine,
mais Roosevelt obligea de laisser faire afin
d’entrer en guerre contre l’Allemagne. Le Japon ne
fut que le détonateur, que l’on avait d’ailleurs
soigneusement préparé par des vexations diverses
et nombreuses. L’ancien ministre de la guerre des
USA, Henri L. Stimson, notait à ce sujet le 15
novembre 1941: “Le problème essentiel est de
savoir comment nous pouvons amener les Japonais à
tirer les premiers sans que nous-mêmes courions un
trop grand danger”.
L a r a t i o n a l i s a t i o n i n d u s t r i e l l e p o u r
l’armement américain fut tellement poussée, que
q u e l q u e s d i z a i n e s d e p i è c e s d e r e c h a n g e s
suffisaient à la maintenance de toute l’armée
américaine. A l’inverse l’armée allemande posséda
toujours tellement de véhicules différents, que
ses problèmes de maintenance se révélèrent souvent
insolubles lors de la guerre de Russie. Rien que
ce fait prouve à suffisance, que Hitler ne
voulait, ni n’envisageait une guerre de longue
haleine. En effet, qui prépare la guerre commence
toujours par RATIONALISER son industrie des années
à l’avance. Il faut lire à ce sujet les mémoires
de Heinz Gudérian le général des blindés, ainsi
que le livre de Saint-Loup intitulé: “Dix millions
d e c o c c i n e l l e s . ” H i t l e r a t o u j o u r s t e n t é
d ‘ o b t e n i r , c e q u i r e v e n a i t l o g i q u e m e n t à
l ‘ A l l e m a g n e e t à s o n p e u p l e p a r l a v o i e
diplomatique; le développement de son armée devant
servir à le protéger en cas de nécessité et à
intimider les démocrates bellicistes. Elle devait
servir ensuite plus tard, à préparer son grand
projet de destruction du bolchevisme. D’ailleurs
rappelez-vous, que dès sa prise de pouvoir en 1933
il tendit la main à la France afin de créer une
entente définitive entre les deux pays. Il déclara
devant le Reichstag le 17 mai 1933: “Puisse-t-on
comprendre l’inébranlable volonté qu’a l’Allemagne de clore enfin une période d’erreurs humaines pour
trouver la voie, qui conduit à une entente
effective de tous sur la base de droits égaux.”
Mais la SDN, tout comme l’ONU actuelle, toutes
deux créations juives par excellence, et toutes
deux nids de francs-maçons, n’ont toujours à la
bouche que “l’égalité et les droits de l’homme”,
mais chez elles ces belles paroles se limitent à
des professions de foi, jamais à des actes. C’est
ainsi que l’Allemagne fut déclarée égale aux
autres nations en 1926, mais elle devait cependant
t o u j o u r s s u b i r l e s c l a u s e s d u t r a i t é d e
Versailles, les Hongrois les clauses du traité du
Trianon et les Autrichiens celles du traité de
Saint-Germain.
Depuis 1937 tout le monde réarmait avec
entrain. A partir de 1939, il n’y avait plus qu’à
trouver le prétexte pour déclarer la guerre à
H i t l e r , l e s d é m o c r a t i e s s e s e n t a n t e n f i n
suffisamment prêtes. Or, le dernier pays où des
populations allemandes de souche subissaient
encore le joug étranger, était la Pologne. Les
regards et les attentions des démocraties se
tournèrent donc vers elle. Du temps du maréchal
Pilsudski, en janvier 1934 Hitler s’était plus ou
moins arrangé avec la Pologne; les deux pays
envisageaient d’établir un traité d’entre aide et
de non-agression, mais ils avaient déjà décidé de
toujours régler les questions litigieuses entre
eux uniquement par la voie diplomatique. De toute
façon, à l’époque le Führer ferma les yeux sur les
petites entorses polonaises au sujet des droits de
l’homme, car il ne voulait pas aggraver la tension
internationale, d’autant qu’en mars 1936 il avait
d é c i d é e t e n t r e p r i s ” o f f i c i e l l e m e n t ” s o n
réarmement. Car la France refusait dédaigneusement
de désarmer tout comme l’Angleterre de réduire sa
flotte de guerre. D’autre part Hitler avait
intérêt à ce que la Pologne fut forte, car elle
constituait ainsi une bonne barrière entre
l’Allemagne et la Russie bolchevique. Malgré cet
arrangement de janvier 1934 les Polonais ne
cessèrent jamais leurs tracasseries envers les
minorités allemandes et ukrainiennes, au moyen de
réformes agraires en faveur des Polonais, en
congédiant les ouvriers des minorités, en limitant
leurs activités culturelles, par des mesures de
boycott et même parfois par des actes de
terrorisme. En 1935 à la suite de la mort de
Pilsudski la situation des Allemands de Pologne
dégénéra fortement. Le nouveau président RydzMigly et son premier ministre le colonel Beck,
deux vaniteux aussi imbus l’un que l’autre de leur
supériorité, aggravèrent d’autant l’état de chose,
qu’à partir de Munich ils furent encouragés par
tous les bellicistes français et anglais, et
surtout par les deux Juifs francs-maçons des USA,
c-à-d Franklin Roosevelt et son âme damnée
Bullitt. L’intransigeance commença à faire loi,
d’autant que la Pologne, pays de 33 millions
d’habitants, comptait comme minorités 2.100.000
Allemands, 1.400.000 Ruthènes ukrainiens et 3,5
millions de Juifs. Ces derniers, outre les
nombreux ghettos surpeuplés possédaient tous les
moyens médiatiques de Pologne. De cette façon il
ne leur était pas difficile d’exciter la
population polonaise, fruste, paresseuse et
souvent ivrogne contre les ressortissants
allemands; d’autant que ceux-ci plus travailleurs
et plus intelligents furent longtemps les
dominants du pays.
Après Munich, que l’ensemble des médias aux
ordres présentèrent comme une formidable défaite
alliée, il fut facile de brandir le slogan: “Plus
aucune concession à Hitler”. Le martèlement
médiatique était d’autant plus obsédant, qu’il
fallait agir plus rapidement. En effet le
franquisme était sur le point de l’emporter en
Espagne, et de ce fait les dictatures fascistes
devenaient très encombrantes pour les lobbies
cosmopolites. Partout les peuples réclamaient une
plus grande justice sociale que les démocraties
socialo-démocrates étaient bien en peine de leur
fournir. Quant aux démocraties populaires les
Bolcheviks y promettaient bien de “raser gratis”,
mais c’était toujours pour demain. Hitler et
Mussolini, eux plus pragmatiques, avaient déjà mis
sur pied de nombreuses réalisations sociales grâce
à leur nationalisme communautaire. En outre des
besoins matériels de plus en plus satisfaits,
Hitler avait aussi été capable d’instaurer un
“Nouvel Ordre Social” et de susciter une grande
vague d’enthousiasme, le plus sûr garant de la
réussite de sa révolution. Il devenait chaque jour
plus difficile de cacher aux peuples des
démocraties libérales les incontestables réussites
sociales du National-Socialisme. D’autant que de
nombreux jeunes avaient pris l’habitude de
sillonner leur Europe durant leurs vacances grâce
à l’invention des Auberges de Jeunesses. Tous
pouvaient admirer une Allemagne florissante
pourvue d’une jeunesse saine et laborieuse, pleine
d’idéal et respirant la joie de vivre. De nombreux
écrivains de l’époque glorifiaient ces temps
nouveaux. Seuls les communistes indécrottables
croyaient encore au “Paradis soviétique”. Et
encore de nombreuses défections commençaient à
éclaircir les rangs de ces inconditionnels.
Certains, comme Doriot ou Marc Augier iront
g r o s s i r l e s b a t a i l l o n s d e s v o l o n t a i r e s
antibolcheviques en 1941.
Mais le Juif franc-maçon Roosevelt et une de
ses âmes damnées le juif franc-maçon Bullitt
veillaient. Le premier envoya à nouveau le second
en Europe comme ambassadeur en France. Ce dernier
ne cessait d’attiser la haine contre Hitler par
médias interposés. Il suffit de lire les mémoires
de l’ambassadeur de Pologne à Washington, le comte Potocki, pour se rendre compte de la nuisance de
Bullitt passé maître dans l’art du mensonge et
toujours prêt à verser de l’huile sur le feu.19 Le
comte Jerzy Potoki ambassadeur polonais à
Washington écrit dans son rapport du printemps
1939, que: “Les préparatifs des USA visant à
intervenir dans une guerre généralisée éventuelle
sont déjà bien avancés; mais Roosevelt lui avait
dit, qu’il ne désirait pas prendre part au début
des hostilités, mais y mettrait fin.” Et en
février 1939 l’ambassadeur polonais à Paris
précise, que les USA disposent de moyens de
pression variés et puissants envers l’Angleterre
pour l’empêcher de rechercher des solutions de
compromis. Enfin Bullitt déclara à ce même
Lucasiewicz que: “La conduite de Washington est
uniquement dictée par les intérêts des USA.” Tous
ces rapports et bien d’autres documents furent
retrouvés à Varsovie après la chute de la ville et
démontrent sans ambage, que USA et Angleterre
furent les véritables fauteurs de guerre; ce sont
les dirigeants de ces deux pays qui eurent dûs
être pendus à Nuremberg. D’autant que Austin
B u t t l e r , s o u s – s e c r é t a i r e d ‘ é t a t a n g l a i s
s p é c i f i a i t , q u e l ‘ a c c o r d a n g l o – p o l o n a i s
d’assistance ne jouerait pas si un autre pays que
l’Allemagne attaquait la Pologne. C’était l’aveu,
que la Pologne ne devait servir que de prétexte.
Pour mieux circonvenir les Polonais, le 6 avril 39
Beck signa à Londres un accord d’assistance
mutuelle entre Pologne, Angleterre et France. Cet
accord violait l’additif à l’accord de Munich
( a d d i t i f d e m a n d é e n t o u t e f o u r b e r i e p a r
Chamberlain à Hitler et que ce dernier signa avec
joie). Cet accord prévoyait que ni l’Allemagne, ni
l’Angleterre ne signerait d’accord avec un
q u e l c o n q u e a u t r e p a y s s a n s c o n s u l t e r s o n

19 Bullit ce juif qui fit tant pour le communisme et en fin de compte pour le Mondialisme des Sages de
Sion était comme tous ceux de sa race un menteur d’un cynisme peu commun. Afin de jeter un voile de
Nessus sur ses agissements il eut le culot de déclarer en 1949 après la guerre : “Nous avons combattu,
nous les “Américains” dans la seconde guerre mondiale pour empêcher la domination de la Chine par le
Japon et celle de l’Europe par l’Allemagne et nous affrontons actuellement la possibilité que l’URSS
domine et la Chine et l’Europe”. Par ces paroles il voulait se justifier, car trop de démocrates ayant enfin
recouvré la vue se demandaient pourquoi on les obligea a faire la guerre a Hitler pour sauver la Pologne
et que dans le même temps on laissa tranquillement Staline envahir et occuper l’autre moitié de la Pologne
sans aussi lui déclarer la guerre. On laissa ensuite les Soviets envahir la Finlande, les pays Baltes, la
Bukovine et la Roumanie sans que les “démocraties ne lève le plus petit doigt pour défendre ces pays
envahis et martyrisés par une dictature autrement plus dangereuse.

 

partenaire. A la suite de cette signature avec la
Pologne Roosevelt envenima encore les choses en
imposant à Mussolini et à Hitler de jurer de ne
jamais attaquer une liste de 30 pays nommément
désignés. Et ensuite Bullitt alla même jusqu’à
prédire la chute imminente de Hitler grâce à une
révolution de palais; révolution qui serait
g r a n d e m e n t f a c i l i t é e p a r u n e s t r i c t e
intransigeance du gouvernement polonais. Il est
vrai que Bullitt était renseigné par Canaris et
ainsi au courant de l’opposition d’une clique de
hauts-gradés de la Wehrmacht. Ces comploteurs
militaires, en fait peu nombreux, pour la plupart
p é d é r a s t e s e t d é p r a v é s , é t a i e n t t r è s p e u
efficaces, car ils ne représentaient qu’eux-mêmes.
D’autre part la mafia juive de Pologne, qui
détenait tous les médias du pays poussaient jour
après jour les Polonais à passer aux voies de fait
contre les Allemands. Ils firent même accroire à
ce peuple fruste, que les chars allemands étaient
en carton. Ce qui amena certains régiments de
cavalerie polonaise à charger les tanks en gants
blancs et sabre au clair comme à la parade. Plus
tard l’on présenta ces charges comme le summum du
courage, alors qu’il ne s’agissait que de la
bêtise d’un peuple crédule et trompé. Bref, à la
suite de toute cette propagande mensongère les
Polonais croyaient réellement entreprendre une
guerre fraîche et joyeuse et se voyaient déjà
parader à Berlin après huit jours de campagne. En
outre les Anglais déjà bien avancés dans leur
r é a r m e m e n t , e t s a c h a n t q u e l e s d i v i s i o n s
françaises étaient à nouveau prêtes à servir de
chair à canon indigène sous les ordres de leur
gouvernement de juifs et de francs-maçons,
poussèrent, eux aussi, le gouvernement polonais à
l’intransigeance totale, ce qui n’était guère
difficile avec les deux présomptueux mégalomanes,
qui gouvernaient la Pologne.
L’hypocrisie et la duplicité de la “perfide
Albion” furent totales et bien mises en évidence
dans les livres, que j’ai conseillés plus haut.
Aux ordres de Roosevelt et des banquiers juifs de
la City et d’Amérique le gouvernement anglais
voulait la guerre à tout prix, car Hitler avait
démontré la possibilité de vivre et de se
développer hors des contraintes monétaires
internationales. Or l’argent est l’arme suprême
des cosmopolites juifs. Des millions d’êtres
humains devront donc mourir et souffrir pour
permettre la mise en place du Mondialisme juif. Et
cela continue encore actuellement, lors de
l’indépendance du Congo, de l’Afrique du sud, du
Maghreb, etc… lors des guerre du Golfe, de
Bosnie, du Rwanda, etc… et partout encore, bien
que la mise en place du Mondialisme soit presque
terminée. Heureusement que plus leur pouvoir
devient énorme et total, plus il démontre son
incapacité à gérer convenablement le monde, et
plus les nationalismes commencent à renaître. En
outre depuis 1935-36 les journaux anglais
commençaient à vitupérer contre le nationalsocialisme. Ces journaux étaient pour la plupart
dans les mains des Juifs, des francs-maçons ou des
syndicats eux aussi hostile à Hitler. Quant au
gouvernement anglais il pratiquait encore la
“Balance of Power” sur le continent, c-à-d
d’empêcher tout état européen d’être plus puissant
que l’Angleterre ; politique tout à fait dépassée,
qui emmena le pays à sa ruine, qui favorisa la
puissance des USA et du bolchevisme. Le véritable
fossoyeur de l’Empire britannique fut sans
conteste Churchill, le laquais des Juifs, qui lors
d’une entrevue avec von Ribbentrop en 1936 se
montra intraitable proclamant: “Si l’Allemagne
devient trop forte il faudra de nouveau la
détruire.” (fait relaté dans les mémoires de von
Ribbentrop intitulée: “De Londres à Moscou”).
Se sentant épaulés, les Polonais, peuple trop
fruste pour comprendre les enjeux mondiaux,
redoublèrent d’intransigeance pour la question de
Dantzig; ils refusèrent toute discussion avec
Hitler, dont les propositions étaient cependant
des plus conciliantes et étaient facilement
applicables sans honte et sans guerre pour chacun.
L’ambassadeur de Pologne en Allemagne, le comte
Lipski, reconnut plus tard, que les propositions
allemandes ne furent même pas lues par son
gouvernement, tellement l’idée et l’espoir d’en
découdre étaient ancrés dans le mental abruti des
polonais.
Dantzig était une chose, mais il y avait bien
plus grave. C’était la vague d’assassinats et de
tortures ignobles perpétrées contre les civils
allemands vivant en Pologne, principalement dans
la région de la Warthe. Ces crimes furent tels et
si nombreux, que le fameux “incident de la station
de radio de Gleiwitz” est un faux résultant de la
propagande de guerre des démocraties, et encore
toujours colporté par les historiens “labellisés
démocrates”. En deux mots, de quoi s’agissait-il?
L’on a prétendu que pour trouver un “cassus
belli”, Hitler aurait ordonné à quelques SS de se
déguiser en soldats polonais et de venir détruire
en Allemagne une station de radio sise près de la
frontière polonaise. Hitler n’avait vraiment pas
besoin de cette excuse pour entrer en guerre
contre la Pologne. Les crimes odieux contre les
civils allemands suffisaient amplement. Crimes
d’ailleurs recensés dans un “Livre Blanc”,
naturellement introuvable actuellement, mais que
j’ai pu consulter.
En outre, le 24 août 1939 revenant de Russie
avec von Ribbentrop, qui y signa l’accord germanorusse Paul Schmidt signale, que déjà à plusieurs
reprises des avions réguliers de la Lufthansa se
sont fait canonner par les Polonais. La tension
polono-allemande était tellement devenue vive déjà
à cette date, que même les liaisons ferroviaires
entre les deux Prusses durent être supprimées.
Dans toute cette “affaire polonaise” Hitler
fit vraiment preuve d’une patience au-delà des
limites du raisonnable et de l’acceptable pour un
chef d’état, qui malgré tout devait se justifier
et rendre des comptes à son opinion publique. Mais
il se devait de boire le calice jusqu’à la lie,
car, comme il le reconnut quelques mois avant sa
mort en présence de Paul Schmidt son interprète:
“C’est à la veille de Munich, que je me suis
vraiment rendu compte que les adversaires du
IIIème Reich voulaient à tout prix avoir notre
peau, et qu’il n’y avait pas de transaction
possible. Malgré tout j’espérais encore.”
Mais finalement poussé à bout, Hitler ordonna
à ses troupes d’entrer en Pologne le 1er septembre
1939. Cette guerre, qui visait principalement à
sauver des civils martyrisés, eut très bien pu
rester limitée et localisée. Mais les Anglais et
les Français s’empressèrent de déclarer la guerre
à l’Allemagne le 3 septembre 39 sachant très bien
que cela ne servirait à rien pour sauver la
Pologne. Et la tuerie imbécile recommença pour la
plus grande gloire du peuple élu. Dans ses
mémoires intitulées “Failing”, Chamberlain écrit
page 418 le 10 aôut 1939: “ce que j’espère n’est
pas tant une victoire militaire, car je doute
qu’elle soit possible, mais l’écroulement du front
intérieur allemand” c-à-d le renversement d’Hitler
par les traîtres de l’armée avec Canaris à leur
tête.
Et dans son journal à la date du 10 septembre
39 Chamberlain: ajoute”Le gouvernement britannique
considère les négociations menées par Dahlerus et
les propositions de paix et d’arrangement de
Mussolini, comme des complications. La longue
agonie prolongée, qui précéda la déclaration de
guerre proprement dite fut effroyable. Notre désir
était que la situation s’aggrava, mais nous nous
trouvions devant trois obstacles; les négociations
secrètes menées avec Goering et Hitler par
l’intermédiaire de l’agent neutre Dahlérus, la
p r o p o s i t i o n d e M u s s o l i n i d ‘ o r g a n i s e r u n e
conférence de paix et le désir de la France de
retarder encore la déclaration de guerre afin de
terminer la mobilisation française. Nous ne
pouvions pas révéler ces faits au public.”
D’autre part Forrestal, le ministre US
assassiné dans l’hôpital de la marine(du Maryland)
à cause de son anticommunisme tenait lui aussi un
journal intitulé “The Forrestal Diaries” (paru à
New-York en 1951 page 121). Il y écrit: “Kennedy,
l’ambassadeur des USA à Londres avant la guerre
m’a dit, que Chamberlain était sûr, que Hitler
aurait fait la guerre à la Russie, sans pour cela
e n t r e r u l t é r i e u r e m e n t e n c o n f l i t a v e c
l’Angleterre. Mais Bullitt était intervenu pour
que dans l’affaire polonaise les Allemands
subissent des humiliations. Ni les Français ni les
Anglais n’auraient fait de la Pologne un cassus
belli si Washington n’était continuellement
intervenu… Chamberlain, me dit-il, a déclaré,
que les USA et la juiverie mondiale ont entraîné
l’Angleterre dans la guerre… A considérer les
choses avec un certain recul, Kennedy avait
certainement de bonnes raisons pour affirmer,
qu’il eut été possible d’orienter les entreprises
de Hitler vers la Russie.”
C i t o n s p o u r t e r m i n e r l e s m é m o i r e s d e
Ribbentrop qui écrit: “La politique de Hitler fut
la conséquence de celle adoptée par Vansittart en
1936. Hitler a toujours proclamé, qu’il désirait
s’entendre avec l’Angleterre. En 1945 il me le
disait encore; et je suis persuadé, que s’il y
avait existé une alliance germano-anglaise Hitler
l’aurait toujours respectée, et qu’il se serait
alors exclusivement consacré à ses réformes
sociales et à son antibolchevisme.”
Afin d’éviter une guerre sur deux fronts, qui
fut toujours la hantise de Hitler et pour, par
l’intimidation, tenter d’éviter l’entrée en guerre
des démocraties de l’Ouest, Hitler commit l’erreur
de s’allier “provisoirement” à Staline, qui lui
depuis plusieurs années était demandeur d’une
telle alliance. En effet Staline connaissait la
ferme intention de Hitler d’exterminer le
bolchevisme et de vouloir coloniser les espaces
russes pour y envoyer le surplus de population
allemande. Encore en état d’impréparation
militaire, surtout après les énormes purges de
1938, parmi les cadres de son armée, Staline était
encore moins bien préparé à un conflit que les
démocraties de l’ouest; il lui fallait donc
impérativement gagner du temps, avec naturellement
l’accord en sous main de Roosevelt et des Sages de
Sion. Si pour Hitler diplomatiquement cette
alliance avec Staline était habile, ce fut un
désastre sur le plan idéologique, car la
propagande du national-socialisme en fut faussée
et les médias aux ordres de l’Establishment eurent
beau jeu de prétendre que Hitler était un faux
idéaliste et un menteur. L’opération “Barbarossa”
du 21 juin 1941 ne racheta qu’en partie cette
erreur. Ce faux pas sert encore maintenant à
présenter la dictature nationale-socialiste comme
aussi néfaste que la dictature bolchevique, alors
qu’elle fut tout le contraire de cette dictature
judaïque.
* * *
La seconde guerre mondiale une fois enclenchée
Hitler n’hésita pas à tenter à plusieurs reprises
de proposer la paix. Dans son livre intitulé:
“Stratégie d’approximation indirecte” l’historien Lidell Hart déclare: “Lorsque quelqu’un me dit,
qu’il faut réagir rapidement contre la menace, que
représente le système national-socialiste pour la
civilisation, la seule réponse que je puisse
faire, est de sourire tristement.” En ces termes
mesurés, écrits en 1939 avant la guerre, Lidell
Hart explicitait, que Hitler n’était nullement une
menace pour les démocraties occidentales. Il ne
l’a jamais été; il le fut seulement et toujours
pour le système bolchevique pompeusement qualifié
de “démocratie populaire” par ses alliés et
maîtres, les banquiers cosmopolites. Ceux-là
mêmes, qui imposèrent ce système à des peuples
martyrs afin d’assurer l’étape suivante, c-à-d la
mise en place des décisions des “Protocoles des
Sages de Sion”. A l’époque et durant toute la
guerre froide le communisme russe n’était que
l ‘ a r m é e a g i s s a n t e , l e b r a s s é c u l i e r , d u
mondialisme juif, tout comme les médias en sont
les organes de propagande.
Répétons-le encore et toujours; Hitler a
toujours voulu la paix avec les peuples de l’Ouest
européen. Il admirait leur rôle civilisateur,
qu’il considérait comme indispensable. Il a
toujours estimé, que pour le maintien de la paix
dans le monde, il fallait conserver à l’empire
britannique ses colonies, de même qu’à la France.
Il le prouva encore par son traité de paix avec la
France de Petain en ne lui réclamant AUCUNE
COLONIE, ni la flotte française, qu’il jugeait
indispensable au maintien de l’ordre dans ses
c o l o n i e s p r o c h e s e t l o i n t a i n e s . Q u a n t à
l’occupation d’une partie de la France, elle était
nécessitée par la prolongation de la guerre avec
l’Angleterre, mais déjà dans le traité de paix
avec Vichy il était prévu le départ des troupes
allemandes de TOUT LE TERRITOIRE METROPOLITAIN
FRANCAIS dès la signature de paix avec le
gouvernement anglais. Hitler pensait en homme
politique hors du commun, car il comprenait les
nécessités d’une paix mondiale. Il reconnaissait
le pouvoir des mers et des colonies aux Français
et aux Anglais (pouvoir que leur dénia à tous deux
LEUR ALLIE américain), si ceux-ci admettaient en
contre-partie son pouvoir continental sur
l’Eurasie. D’autant que pour lui le seul et
l’unique ennemi des peuples était le bolchevisme
corrompu et le marxisme désintégrateur nés des
cerveaux tortueux des Sages de Sion. Hitler avait
pris très au sérieux leurs “Protocoles” tout en ne
mesurant pas assez l’importance de l’emprise de
cette pieuvre sur les gouvernements démocratiques.
Il croyait et espérait, que bon nombre des
gouvernants des démocraties étaient, comme lui, au
courant des intrigues et de la menace des
cosmopolites juifs, et que de ce fait ils
comprendraient le sens de sa politique et de son
combat. Au courant ils l’étaient pour la plupart,
mais à l’inverse de Hitler ils se désintéressaient
déjà tous de leur peuple respectif, préférant
pactiser avec les Sages de Sion, afin de mieux se
remplir les poches et d’être couverts d’honneurs
par leurs médias, plutôt que de lutter pour
protéger leurs administrés. Ainsi une royauté
d’Angleterre, fortement imprégnée de sang juif,
tout comme les royautés hollandaise et grecque, ou
même une royauté italienne acoquinée dès ses
origines à la Maçonnerie, ne pensaient qu’à leurs
intérêts égoïstes et à s’enrichir toujours plus.
Reconnaissons cependant, que certains rois, comme
celui de Yougoslavie ou Léopold III de Belgique
avaient compris Hitler, sans pour cela pouvoir
s u i v r e s a p o l i t i q u e d u f a i t d e l e u r
constitutionnalité. (En gros ils régnaient, mais
leur parlement décidait). Malheureusement pour les
Belges en cette fin de XXème siècle les enfants de
Léopold III sont devenus des adeptes du “Renouveau
charismatique” une secte chrétienne judaïque
totalement dominée par l’épiscopat de gauche et
par les lobbies juifs. De même que la royauté
espagnole actuelle aux mains de l’Opus Dei et des
lobbies juifs de l’Establishment. Consciemment ou
inconsciemment ces rois deviennent les ennemis de
leur peuple, et tous par ignorance et bêtise
perdent, ont perdu ou perdront leur trône. Quant
aux gouvernants républicains, qu’ils soient de
France, d’Angleterre des USA ou d’ailleurs, la
plupart étaient déjà (et sont encore) du temps
d’Hitler soit Juifs, soit francs-maçons, soit
chrétiens enjuivés. Tous, mêmes les chrétiens
fortement enjuivés ne pensaient qu’à s’enrichir
d’autant plus vite qu’ils étaient d’origine
modeste. Ils ne possédaient plus aucun réflexe de
défense communautaire. Des Juifs comme Blum,
Mandel, Schuman, Duclos, Thorez, Mendes-France,
etc… ou des francs-maçons comme Cot, Reynaud,
Malraux, Mitterand, etc… ne possédaient plus de
l’élite que le nom. De même que Churchill,
l’ivrogne manipulé par les Juifs et par leur plus
important homme de main, Roosevelt, sacrifia
délibérément l’empire et la puissance britanniques
sur l’autel du “peuple élu”. L’après-guerre le
prouve à suffisance pour qui connaît l’Histoire.
A part Hitler, rien ni personne ne pouvait
sauver les peuples européens. Il suffit de
regarder l’état actuel de notre continent. Or pour
prouver sa bonne volonté dès le 2 septembre Hitler
autorisa Goering à s’envoler pour l’Angleterre,
comme celui-ci l’envisageait, afin d’y expliquer
la situation polonaise et pourquoi l’Allemagne
avait dû y envoyer ses troupes. Cette décision
faisait suite à ses multiples tentatives pour
éviter le conflit par l’intermédiaire de la croixrouge et de l’industriel suédois Dahlérus fin août
1939. Le général d’aviation Bodenschatz avait même
d é j à t o u t p r é p a r é p o u r c e v o l . M a i s l e
gouvernement anglais NON ENCORE EN GUERRE, refusa
tout atterrissage en provenance d’Allemagne.
Ensuite Anglais et Français envoyèrent leur
ultimatum méprisant le 3 septembre, sans même
avoir accepté d’entendre les explications du
gouvernement allemand, et sans même discuter avec
son représentant. Cette attitude prouve qu’ils
é t a i e n t b i e n d é c i d é s à e n d é c o u d r e e t à
entreprendre une guerre parfaitement évitable.
Hitler n’avait pas préparé la guerre contre
l’Occident. De ses 98 divisions théoriques, 44
seulement étaient bien organisées et 21 étaient
composées de soldats de plus de 40 ans, c-à-d
n’étaient que de seconde ligne. De plus, dès
l’entrée en guerre il dut laisser 23 divisions
face à l’ouest pour s’opposer si nécessaire aux
110 divisions françaises, dont certaines étaient
équipées d’excellents chars légers Renault et
Hotchkiss et des chars lourds “Somua” supérieurs
aux Mark III allemand.20 }}}}}}}}}}}}}}}}} 20

20 En 1940 les chars Mark 3 armés d’un canon de 50 formaient l’ossature des divisions blindées
allemandes. Les chars Mark 4 équipés d’un canon de 75 étaient encore assez rares. Dans ces conditions la
supériorité des divisions blindées allemandes résultait moins du nombre des blindés que de l’excellencedu commandement, très audacieux et très en avance sur celui des “Alliés”, et d’une excellente
coordination entre les troupes blindées et l’aviation d’appui au sol composée chez les Allemands de
l’excellent Stuka. En 1940 les divisions blindées allemandes comptaient encore pas mal de Mark 1 et de
Mark 2. De 41 à 45 le char le plus fiable fut le Mark 4 construit à 10.000 exemplaires. Quant au Panzer 5
“Panther” construit à 5.000 exemplaires, il ne fit son apparition qu’en 1943 de même que son aîné le
Panzer 6 “Tigre” construit lui à 1.200 exemplaires pour toute la guerre. Ces chiffres sont à comparer au
40.000 “T34” soviétiques( sans oublier les nombreux chars Klim-Vorochilov et Staline) et aux 30.000
Schermans américains sans oublier les excellents chars anglais mathilda et autres). Et cependant sur tous
les champs de batailles les panzers allemands l’emportèrent malgré leur petit nombre. En Normandie en
1945 en parcourant le champ de bataille, pour un panzer détruit l’on pouvait compter au moins dix chars
anglo-américains détruits. Beaucoup le furent d’ailleurs aussi au panzerfaust.

Les Polonais, eux, s’étaient préparés à la guerre
avec plus de 50 divisions bien équipées et bien
armées et une cavalerie innombrable. Leur point
faible restait le nombre peu élevé de leurs chars;
mais à quoi bon pouvait-il servir contre des chars
allemands, que tous les médias disaient en “carton”. Second point faible, leur aviation
composée de 580 appareils dont 250 chasseurs assez
modernes, mais qui ne faisaient pas le poids
devant les 1553 bombardiers et les 1090 chasseurs
de la Luftwaffe. Malgré cela et excités par la
p r o p a g a n d e j u i v e e t l e s p r o m e s s e s a n g l o –
françaises, ils envisageaient la guerre avec une
joie toute primitive et l’espoir de nombreuses
rapines. Pour hâter leur entrée en guerre les
Polonais n’hésitèrent pas à torturer et à
massacrer les civils allemands de la Warthe; ce
qui poussa pour finir Hitler à leur déclarer la
guerre malgré son infériorité relative en
divisions. Mais il fut bien obligé, car déjà au 21
août 1939 plus de 70.000 Allemands de Pologne
étaient venus chercher refuge en Allemagne, sans
oublier que 12.857 avaient déjà été massacrés et
qu’il y avait déjà plus de 45.000 disparus.
Après le refus des Anglais de discuter le 2
septembre 1939, Hitler ne perdit pas totalement
espoir d’arrêter la tuerie. LE 17 SEPTEMBRE 39
lors d’un discours dans la ville de Dantzig, il
réitéra son désir de paix avec la France et avec
l’Angleterre. A la suite de quoi Daladier répondit
sur les ondes le lendemain: “La France luttera
jusqu’à la victoire définitive.” La déclaration
fut identique de la part de Chamberlain.
Le 27 septembre 1939 la guerre germanopolonaise prenait fin. Hitler en chef de guerre
plein de dignité imposa à ses guerriers de rendre
les honneurs militaires à toute l’armée polonaise,
qui combattit si courageusement, suivant ses
termes. Il décida de permettre aux officiers de
conserver leur sabre et leur revolver, comme il
l’admit plus tard en 1940 pour les officiers
belges. A l’inverse les Polonais faits prisonniers
par les Russes finirent exécutés à Katyn durant
l’hiver 1940-41 sur ordre de Staline. Là 12.000
officiers polonais furent massacrés par les
politrouks de la Guépéou, tous des Juifs. Pour
ceux qui l’ignorent, il faut savoir que les
Bolcheviks possédaient des divisions entières de
“police de sécurité” entièrement composées de
j e u n e s J u i f s f a n a t i q u e s . C e r t a i n s d e c e s
“Politrouks” servaient de commissaires politiques
dans les armées jusqu’au niveau des compagnies;
d’autres étaient endivisionnés et utilisés comme
exécuteurs des basses œuvres, des massacres et des
assassinats. Au début de l’opération “Barbarossa”
une de ces divisions juives du NKVD-Guépéou
défendit la citadelle de Brest-Litowsk et y
massacra une dizaine de milliers de civils
polonais avant de rompre le combat et de s’enfuir.
C’est au constat de ce massacre, que Hitler donna
son fameux “Commissarbefelt”, qui enjoignait à
chaque troupe allemande d’exécuter immédiatement
sans procès tous les commissaires politiques de
l’Armée Rouge tombés entre leurs mains. A part
dans quelques divisions SS cet ordre fut très
rarement exécuté.
Pour en revenir à la Pologne, il ne faut pas
oublier, que l’URSS entra en guerre contre elle le
15 septembre 1939, mais CURIEUSEMENT ni les
Anglais, ni les Français, ces deux champions de
l’indépendance et de la liberté du peuple
polonais, n’émirent ni le moindre reproche, ni la
moindre protestation officielle, ni le moindre
ultimatum contre les agresseurs Bolcheviks, qui
cependant s’adjugèrent 1/3 du territoire polonais.
Curieux, curieux! D’autant qu’en avril 1939
S t a l i n e a v a i t p u b l i é s o n l i v r e i n t i t u l é :
“Problèmes du Léninisme”, où il expliquait en
détails l’ambition marxiste de dominer le monde
entier. Les démocraties ne s’inquiétèrent pas
plus, lorsqu’en 1940 l’Armée Rouge envahit
successivement la Finlande, les trois pays baltes
et en 1941 la Bessarabie roumaine. Curieux pour
des spécialistes de la “Croisade” pour les
démocraties, pour la liberté et pour la défense
des droits de l’homme et des peuples!
LE 27 SEPTEMBRE 1939 POUR LA TROISIEME FOIS
depuis le début de la guerre Hitler renouvela ses
offres de paix dans un discours au Reichstag. Il y
rappela, qu’il ne voulait combattre que le
bolchevisme, et cela malgré son tout récent accord
avec l’URSS, et qu’il acceptait de rendre la
liberté totale à la Pologne, lorsque le problème
de Dantzig serait officiellement et définitivement
résolu. Il ne doutait pas, que Chamberlain et
Daladier puissent refuser un accord aussi
honorable pour tous. Et cependant à la suite de ce
discours Hitler déclara au ministre Speer: “La
forme dans laquelle l’Angleterre nous a déclaré la
guerre est assez singulière. Le responsable de
toute l’intrigue est Churchill, homme lige de la
juiverie internationale, qui elle tire tous les
fils. A ses côtés il y a aussi le prétentieux
Eden, ce bouffon cousu d’or, et le ministre
anglais de la guerre le juif Hoare Bélisha. Mais
c’est encore Chamberlain qui dirige.” En réalité
cet espoir était illusoire, car déjà derrière
C h a m b e r l a i n l e s v r a i s m a î t r e s , l e s v r a i s
dirigeants étaient les Juifs Cosmopolites de
l’Establishment.
Dans son livre intitulé: “Roosevelt et
Hopkins” l’historien Robert E. Scherwood explique
et démontre, qu’à cette époque (durant 1939-40) la
hantise de Roosevelt et de son clan de conseillers
Juifs fut l’obtention d’une paix négociée en
Europe. Pour éviter cette possibilité Roosevelt
entreprit sa “fameuse correspondance avec
Churchill” afin de “maintenir la pression”;
d’autant qu’un Gallup réalisé à ce moment par
l’agence Roper démontra, que seulement 2,5% des
Américains préconisaient une intervention armée
contre l’Allemagne, et qu’un vaste mouvement
prenait forme en faveur de Hitler, le considérant
comme le champion de l’antibolchevisme. D’autre
part les historiens polonais Jan Chiechanowski et
Stanislaw Micolajoyk confirmèrent en Amérique, que
les états occidentaux sacrifièrent la Pologne
UNIQUEMENT POUR FAVORISER LES INTERÊTS DE L’URSS,
car il existait des concordances raciales mentales
et spirituelles entre les Juifs de la Maison
Blanche et ceux, qui avaient créé et imposé la
d o c t r i n e m a r x i s t e e n U R S S . D ’ a i l l e u r s l e s
Protocoles des Sages de Sion sont d’une clarté
aveuglante a ce sujet. Qui les analyse comprend
vite que le but ultime du Mondialisme, c-a-d de
l’internationalisme banquaire cosmopolite est
d’imposer au monde le « Bolchevisme », c-a-d une
c l a s e m o n d i a l e d ’ e s c l a v e s p r o d u c t e u r s –
c o n s o m m a t e u r s d o m i n é s p a r u n e m a f i a d e
« Nomenklaturistes » d’ELUS comprenant le peuple
élu et ses séides maçons et marxistes-caviars de
tout poil(noblions dégénérés, lobbyistes, escrocs
de haut vol et même chrétiens de gauche).
William Bullitt dans son livre intitulé:
“Comment les USA gagnèrent la guerre et pourquoi
ils faillirent perdre la paix” démontre lui aussi
en toute candeur le jeu belliciste de Roosevelt et
de sa clique. La propagande rooseveltienne ne
cessait de rappeler les quelques commerces juifs
saccagés en Allemagne lors de la nuit de cristal
et qui en réalité fit 29 morts, ou les quelques
“expulsions” de quelques pourisseurs juifs, comme
Thomas Mann, Eric Maria Remarque, Stéfan Zweig,
Sigmund Freud, etc… Mais jamais l’on ne parlait
du régime soviétique avec ses 40 millions de
morts, massacrés la plupart du temps de façons
ignobles et avec ses dizaines de millions de
“Morts-vivants” entassés dans les Goulags, où ils
dépérissaient lentement; faits que tous les
gouvernements occidentaux savaient pertinemment
bien, grâce aux nombreux fugitifs et Russes
Blancs, qui s’étaient évadés de l’enfer marxiste.
PERSONNE DANS LES HAUTES SPHERES NE L’IGNORAIT,
comme l’affirmèrent les généraux communistes
Valentin Gonzalez et Jésus Hernandez, communistes
qui participèrent à la guerre d’Espagne.
En réponse à la nouvelle offre de paix de
Hitler du 27 septembre 1939, Churchill déclara aux
Communes (le parlement anglais), que: “Le Cabinet
anglais a la ferme résolution de détruire Hitler.”
Déclaration approuvée et confirmée par le
gouvernement de francs-maçons et de Juifs, qui
gouvernait la France à cette époque. Le 16
décembre 1939 l’Angleterre commença à planifier
son INVASION DE LA NORVEGE, pays neutre, qui
commerçait avec l’Allemagne et qui était essentiel
pour l’effort de guerre allemand, car ce pays
fournissait, bon an mal an, plus de 11 millions de
tonnes de fer à l’Allemagne. Et le 3 avril 1940
l’Angleterre, mettant son plan à exécution, sans
déclaration de guerre, commença à miner les eaux
norvégiennes. Voyant cela le commandant Quiesling,
alors ministre de la guerre de Norvège, en référa
à Hitler lui expliquant les plans d’invasion
anglo-français contre son pays. Et il ajouta,
qu’ayant vécu plusieurs années en URSS il avait vu
à l’œuvre le bolchevisme, et qu’il considérait le
Führer comme le seul rempart pour l’Europe contre
cette menace internationale. Une fois connus les
préparatifs d’invasion anglais, Hitler décida de
les prendre de vitesse et de leur couper l’herbe
sous le pied. Le 9 avril des bateaux anglais
chargés de troupes d’invasion quittaient leurs
ports d’attache pour la Norvège. Mais Hitler plus
rapide y envoya des troupes aéroportées et fut
ainsi dans le pays quelques heures avant les
Anglais. Ce qui conforta l’ensemble des médias aux
ordres de présenter les faits comme une honteuse
agression de l’Allemagne contre la Norvège neutre,
et non comme une réplique rapide et nécessaire
afin d’éviter que les “Alliés” ne bloquent la
“Voie du fer”. Encore maintenant, près de 60 ans
après les faits et alors que les archives
anglaises peuvent être consultées sur le sujet,
les médias continuent à nous présenter l’Allemagne
comme l’agresseur, alors que ce sont les Anglais
sous les ordres du sinistre Churchill.
Vint ensuite l’attaque et l’invasion de la
Belgique, de la Hollande et de la France, qui
débuta le 9 mai 1940. Cette attaque nécessaire
pour sa défense fut entreprise par Hitler pour en
finir à l’Ouest, d’autant qu’il avait eu vent des
accords qui liaient les Hollandais et les Belges
au clan des “Alliés”. Malgré la neutralité
toujours espérée par le roi des Belges, Léopold
III, le gouvernement belge était des plus
bellicistes, dirigé par des sociaux-chrétiens
internationalistes avec Pierlot à leur tête
assisté d’une clique de francs-maçons comme De
Man, Spaak et Ganshof-van-der-Meersch, et par les
j u i f s c o m m e G u t t . D a n s u n e m o n a r c h i e
constitutionnelle le roi n’a rien à dire; les
ministres décident, et pratiquement tous avaient
choisi le camp des Alliés et favorisaient la
diffusion d’une hargneuse propagande antia l l e m a n d e e t s ‘ e f f o r ç a i e n t d e f a v o r i s e r
économiquement la France, ayant même établi des
accords militaires secrets avec elle. Quant à la
Hollande sa maison royale était liée à celle
d’Angleterre par le sang, et elle ne cachait pas
ses préférences. Or pour Hitler il fallait
absolument en finir avec l’Ouest avant de se
consacrer à sa future lutte avec le bolchevisme,
lutte qu’il savait inévitable dans un avenir
proche.
Et le 23 mai débuta la fameuse “Bataille de
Dunkerque”. Ce jour là les Anglais n’étaient pas
encore dans cette ville; ils refluaient en
désordre dans les Flandres belges. Mais ce même
jour les blindés allemands avaient déjà établi une
tête de pont sur le canal de La Bassée, allant de
Gravelines à Saint-Omer, ainsi que sur le fleuve
AA. Ils n’étaient plus qu’à 16 kilomètres de
Dunkerque sans plus aucun obstacle devant eux. A
ce moment, voulant à nouveau démontrer SON DESIR
DE PAIX POUR LA QUATRIEME FOIS, Hitler, contre
toute attente, décida d’arrêter ses blindés. Et
cela contre l’avis des généraux von Brautchich et
Halder du grand état-major, et contre celui des
généraux sur le terrain, c-à-d de von Manstein, de
Gudérian et de Rommel; car tous ces généraux
sentaient la victoire à portée de leurs mains.
L’historien anglais Liddell Hart reconnaît que cet
ordre de Hitler sauva le corps expéditionnaire
anglais, soit 338.226 hommes. Les Anglais toujours
égoïstes avaient imposé aux Belges et aux Français
de lutter pour permettre leur rembarquement, sous
la vague promesse de revenir en France après; mais
toujours hypocrites ils avaient même retiré de
France toute leur aviation. Le général allemand
Blumentritt, un des conspirateurs de toujours
contre Hitler, reconnut plus tard, que l’ordre
d’arrêt avait une ORIGINE UNIQUEMENT POLITIQUE, et
qu’à cette occasion devant lui, Hitler discourut
s u r l a n é c e s s i t é d e c o n s e r v e r l ‘ E m p i r e
britannique, le comparant à l’Eglise catholique,
car il les considérait tous deux comme des
éléments essentiels pour la stabilité du monde. Or
les médias ont toujours fait accroire, que cet
ordre “apparemment insensé” de Hitler provenait de
la crainte de voir son potentiel blindé de pointe
anéanti par des contre-attaques franco-anglaises
tout le long de ses voies de communications depuis
la percée des Ardennes. Car la majorité de son
infanterie n’était pas encore de l’infanterie
portée et devait suivre à pied, et parce que plus
ou moins 50% de ses blindés étaient en panne le
long de la route. Or, cette assertion, soutenue
e n c o r e p a r c e r t a i n s d e s a n c i e n s g é n é r a u x
conspirateurs, n’a vraiment aucun sens ni aucun
fondement. Car Hitler démontra toujours son
intrépidité et son esprit d’innovation tout au
long de la guerre et rien que ce plan de percer à
Sedan démontre son audace. Seuls les jeunes
généraux de panzers, comme Gudérian, von Manstein,
Rommel et von Reichenau approuvaient totalement un
plan, auquel les vieux hobereaux prussiens du
grand quartier général s’opposèrent de toute leur
force et de toute leur couardise. D’autre part les
Anglais et les Français avaient déjà tenté sans
succès plusieurs contre-offensives désordonnées
sur les arrières et sur les voies de communication
de cette percée victorieuse. La seule réalité fut
que Hitler TENAIT LA VICTOIRE, mais qu’il ne
voulait pas la ruine de l’Empire anglais et qu’il
voulait au plus vite cesser cette guerre, à ses
yeux inutile et ces tueries absurdes entre gens de
même race et de même culture. A ce stade il
croyait, que la leçon était suffisante pour
déterminer le peuple anglais à cesser la lutte et
à accepter la paix. Malheureusement, il n’avait
pas affaire AU PEUPLE ANGLAIS, mais à des
G O U V E R N A N T S p r ê t s à t o u t p o u r s a u v e r
l’Establishment judéo-maçonnique.
Ensuite dès sa victoire définitive sur la
France le 22 juin 1940 Hitler ne cacha pas ses
intentions futures, car il commença immédiatement
à transporter la plupart de ses divisions de
premières lignes en Pologne et à l’Est. De ce fait
C h u r c h i l l e t s e s c o l l a b o r a t e u r s s a v a i e n t
pertinemment bien, que le prochain engagement se
passerait à l’Est contre l’URSS, mais ils se
gardèrent bien de le révéler au peuple anglais et
au monde. Seulement après la guerre l’historien
Liddell Hart dans son livre intitulé: “Les
généraux allemands parlent.” déclara: “Jamais
Hitler ne voulut conquérir l’Angleterre. Il prit
d’ailleurs très peu d’intérêts aux soi-disant
préparatifs d’invasion de l’île; préparatifs
vraiment trop lents que pour être réels. Il en
ralentit même la préparation, malgré que la
bataille aérienne faisait rage. Son seul but était
de préparer l’invasion de l’URSS.” Et corroborant
les dires de Liddell Hart, Churchill lui-même
écrivit dans ses “Mémoires”, que Hitler refusa de
construire une flotte d’invasion.
La bataille aérienne sur l’Angleterre n’avait
aux yeux d’Hitler qu’un seul but: faire accepter
la paix par les Anglais. Dans un premier temps les
cibles furent uniquement militaires (radars,
champs d’aviation, casernes, etc…) Mais il ne
faut pas oublier, que le 10 mai 1940 LES ANGLAIS
AVAIENT INAUGURE LES BOMBARDEMENTS TERRORISTES sur
les villes et sur les populations civiles dans
l’arrière-pays, loin du front et des objectifs
militaires. Le 10 mai 40 les Anglais étrennèrent
cette nouvelle forme de guerre, LE TERRORISME, en
bombardant les villes de Duisburg et de Frieburg.
Ensuite ce furent d’autres villes et centres
civils, au point que par “représailles” devant
cette nouvelle conception de la guerre Hitler
ordonna le bombardement de Londres et de Coventry.
Il faut cependant dire que si à Coventry, centre
industriel important, 3.000 civils perdirent la
vie, 20% du potentiel aéronautique anglais y fut
détruit. Et ce bombardement encore toujours
qualifié de criminel ne survint que le 14
novembre 1940 après de nombreux bombardements
anglais antérieurs perpétrés sur des villes
allemandes SANS objectifs militaires. D’ailleurs
l’aviation allemande n’était pas conçue pour
effectuer des bombardements terroristes sur des
populations civiles éloignées. L’aviation
allemande était uniquement tactique, c-à-d pour
agir sur le front ou sur ses arrières immédiats,
là où les renforts militaires et les contreattaques pouvaient se concentrer. Au contraire,
l’aviation britannique de bombardement était elle
essentiellement stratégique, c-à-d construite pour
des bombardements lointains; et rappelons encore
que sa construction fut initiée dans ce sens dès
les “accords de Munich.”
LE 19 JUILLET 1940 POUR LA CINQUIEME FOIS
Hitler proposa la paix à l’Angleterre. Dans son
discours ce jour là au Reichstag, il déclara:
“Jusqu’à ce jour, malgré tous mes efforts, je n’ai
pu arriver à obtenir l’amitié de l’Angleterre,
alors qu’elle aurait été une bénédiction pour nos
deux peuples. A cette heure je considère comme un
devoir devant ma conscience d’en appeler une
nouvelle fois à la raison et à l’intérêt commun.
J’offre la paix à l’Angleterre et à toutes les
autres régions où vivent des Anglo-Saxons
(comprenez les USA). Je me considère en situation
d’en appeler à la paix, car je ne suis pas un
vaincu sollicitant une faveur, mais un vainqueur
qui en appelle au nom de la raison. Je ne vois
aucun motif pour continuer cette guerre… J’ai
ainsi délivré ma conscience pour tout ce qui
pourrait advenir.” En outre l’historien anglais F.
H. Hinsley a écrit, que durant toute cette période
de 1940-41 les efforts et les offres diplomatiques
de paix se poursuivirent entre l’Allemagne et la
Grande-Bretagne par l’intermédiaire de la Suède,
de la Suisse et du Vatican. Mais la pierre
d’achoppement était toujours la même; à savoir que
Hitler accepte de rentrer à nouveau dans le
système monétaire international, avec l’or pour
étalon, et d’abandonner son système social
antimondialiste. Peu importaient les vies humaines
s a c r i f i é e s a u x y e u x d e s g o u v e r n a n t s d e s
démocraties (tout comme actuellement peu leur
importaient les morts d’Irak, de Bosnie, du
Rwanda, de Somalie, etc…); seul les intéressait
et les intéresse encore la mise en place
progressive du plan des “Protocoles des Sages de
Sion”.
Sans entrer dans tous les détails de tous les
événements, qui s’égrainèrent du milieu de l’année
1940 à la fin du premier semestre de 1941, de la
guerre en Yougoslavie et de l’invasion de la
Grèce, ce pays totalement inféodé à l’Angleterre
et dont la famille royale était cousine de celle
d’Angleterre; Grèce qui était en guerre contre
l’Italie mussolinienne en Albanie, nous en
arrivons à la dernière offre de paix de Hitler
envers l’Angleterre. Rappelons cependant d’abord,
que la Grèce et la Yougoslavie furent poussées à
résister à l’influence allemande dans les Balkans
par Churchill et Roosevelt, qui leur promirent un
soutien anglais inconditionnel. De soutien il n’y
en eut point, mais ces pays servirent de chair à
canon afin de retarder l’attaque allemande contre
I’URSS; attaque programmée pour le début avril
1941 et connue de Churchill par l’intermédiaire de
Canaris. La perte de temps des troupes allemandes
dans les Balkans devait servir à permettre à
Staline de s’organiser et d’attaquer le premier.
Hitler savait, qu’il lui faudrait un jour en
découdre avec Staline; surtout après son entrevue
en novembre 1940 avec le juif Molotov, le ministre
des affaires étrangères d’URSS. La morgue et les
revendications territoriales à l’Est de ce dernier
poussèrent Hitler à ordonner à son état-major en
décembre 1940 de planifier et de préparer une
éventuelle guerre à l’Est. D’autant que les
Soviets avaient déjà “annexé” une partie de la
Finlande, les pays Baltes et la Bessarabie
roumaine. En outre, depuis de nombreuses semaines,
grâce à ses avions espions (des avions volant à
plus de 15.000 mètres de haut) le Führer savait
que l’URSS se préparait à l’attaquer sans doute
vers juillet 1941. A la lecture du livre intitulé:
“Le brise Glace” du général russe Souvarov nous
savons maintenant, que l’offensive russe contre
l’Europe était programmée pour le 7 juillet 1941.
D ‘ a u t r e p a r t l a r e v u e a l l e m a n d e ” N a t i o n –
Europa” (Posttach 255496414 Coburg) rapporte les
r é c e n t e s d é c o u v e r t e s d ‘ h i s t o r i e n s r u s s e s
“révisionnistes”, qui a l’instar du général Boris
Souvarov, soutiennent que c’est Staline et non
Hitler, qui a provoqué la guerre contre l’URSS. Se
fondant sur des documents jusqu’ici inaccessibles
ils révèlent notamment un discours de Staline du
19 août 1939 (donc quelques jours avant la
signature du pacte germano-soviétique) devant le
Politburo, prévoyant une conquête de l’Europe
occidentale. Ils ajoutent, que le plan d’une
guerre préventive contre l’Allemagne fut adopté le
14 octobre 1940, peu avant la visite de Molotov à
Berlin, et cette décision fut précisée dans des
documents secrets des le 11 mars et 15 mai 1941.
Début mai 1941 les deux principaux chefs
militaires soviétiques incitèrent Staline à passer
à l’action. Il s’agissait, avec 300 divisions
soviétiques réparties en quatre corps d’armée
d’encercler et de détruire les forces principales
de l’armée allemande concentrées à la frontière
soviétique occidentale. L’axe principal d’attaque
devait être Cracovie-Katowice, et la destruction
prévue devait s’opérer à l’est de la Vistule près
de Lublin. En attaquant le premier, le 21 juin
1941 Hitler évita l’invasion de l’Europe et sa
complète destruction et occupation par l’Armée
Rouge. Dans son “Testament Politique” Hitler nous
dit à ce sujet: “Certaines de leur attaque proche
nous ne pouvions offrir à l’armée rouge l’avantage
du terrain; lui prêter nos autoroutes pour la ruée
de ses chars et nos voies ferrées pour acheminer
ses troupes et son matériel; car ainsi ils
auraient fondu sur toute l’Europe.” Il suffit de
voir en 1995 comment l’armée rouge se comporte en
Tchétchénie et en Géorgie pour se rendre compte de
ce qu’Hitler nous a évité en Europe de l’Ouest.
Malheureusement il ne put l’éviter en Europe de
l’Est à cause de Churchill et de Roosevelt.
Mais revenons-en à la SIXIEME OFFRE DE PAIX DE
HITLER. En effet pour arrêter la guerre fratricide
et afin d’éviter à l’Allemagne une guerre sur deux
fronts, et comme la guerre contre l’URSS se
révélait inévitable, son second Rudolf Hess lui
proposa de s’envoler pour l’Angleterre afin d’y
rencontrer son ancien ami le duc de Hamilton,
sénéchal du roi d’Angleterre. Il insista auprès de
Hitler pour accepter cette ultime tentative,
quoique celui-ci ne croyait plus en la bonne
volonté du gouvernement anglais. Hess lui proposa,
que s’il échouait dans cette dernière tentative il
acceptait, que Hitler le face passer pour fou ou
au minimum fortement déprimé aux yeux des
Allemands. En cas de réussite Hitler l’appuierait
comme son représentant officiel. Trois personnes
étaient au courant de cette tentative; Hitler et
Hess naturellement et K. Haushofer un conspirateur
de la première heure, qui en avertit immédiatement
l’amiral Canaris. Ce dernier avertit immédiatement
Churchill de cet offre de paix qui pouvait le
déstabiliser.
Hitler et Hess savaient, que le principal
obstacle à la paix était Churchill, aussi le but
de Hess était de pouvoir parler à l’important clan
pacifiste de la chambre anglaise afin qu’il puisse
trouver des arguments pour démettre Churchill.
Malheureusement en plus de l’avertissement de
Canaris, le duc de Hamilton était très lié à
Churchill et à la mafia mondialiste. Hess, qui
ignorait ce détail, était un excellent pilote et
il s’envola le 10 mai 1941 sur son Messerchmidt
110. Bon navigateur il parvint dans la nuit à
trouver Dungavel en Ecosse, la propriété privée du
duc. Arrivé, il sauta en parachute dans la
propriété et il demanda au duc d’avertir de sa
présence des membres pacifistes du gouvernement.
Mais le duc s’empressa d’avertir Churchill, qui
sentant sa place en jeu, ISOLA immédiatement Hess
et le peuple anglais n’apprit sa présence que 6
semaines après son arrivée, soit plusieurs jours
après l’entrée des troupes allemandes en Russie,
c-à-d quand il n’était plus possible de faire machine arrière. Ensuite Churchill tenta pour
raison de propagande d’annihiler toute volonté
chez son prisonnier en l’abrutissant avec des
drogues hypnogènes comme cela se pratiquait déjà
dans les hôpitaux psychiatriques en URSS. C’est
alors, que connaissant la méthode des “aveux
spontannés” des procès soviétiques des années
1938-39, Hess tenta de se suicider pour ne pas
renier ni sa philosophie, ni sa parole envers son
chef. Hess était et fut toujours un FIDELE. Les
archives d’état anglaises traitant de ce sujet ne
pourront être rendues publiques qu’en 2025.
Cependant par bêtise sans doute, suite à
l’assassinat de Rudolf Hess par un commando
britannique dans la prison de Spandau en 1990, les
Anglais publièrent les lettres écrites par R. Hess
durant son incarcération en Angleterre. Cette
correspondance démontre clairement, qu’en se
rendant en Angleterre en mai 1941 Hess était en
parfait accord avec Hitler et qu’il y allait pour
une nouvelle offre de paix.
Comme durant le restant de la guerre Rudolf
Hess resta isolé au secret en prison, l’on ne put
le condamner à mort pour crime de guerre au procès
de Nuremberg. Car pour Nuremberg, les crimes
contre l’humanité ne commence qu’avec la guerre à
l’Est, avec l’imposition du port de l’étoile juive
et avec la déportation de ceux-ci à Auchswitz.
Pour le Talmud seul les Juifs sont des êtres
humains. Les autres victimes sont sans importance.
Hess ne reniant rien de son passé et de son
admiration pour Hitler fut cependant condamné à la
prison à vie. Mais en 1990 les Russes en complète
débâcle monétaire et économique ne peuvent plus et
ne veulent plus payer les frais énormes de la
prison à un seul prisonnier de Spandau. Il
décidèrent de libérer Hess alors âgé de 91 ans.
C’est alors que le commando d’assassins anglais
s’introduisit dans la prison sous surveillance
américaine et qu’ils étranglèrent ce vieillard21 }}}}}}}}}}}}}}}}}}} 21
qui pouvait causer.
Ainsi disparaissait le dernier témoin à décharge de Hitler, sans pouvoir expliquer à la face du monde tout ce qu’il savait du grand
complot des Sages de Sion et des responsabilités
de Churchill et de Roosevelt dans la seconde
guerre mondiale.

21 Lire à ce sujet les témoignages et les expertises de médecine légale dans le numéro 2 de la revue
“d’Histoire non-conformiste”. Car un pendu ne porte jamais les mêmes traces d’étranglement qu’un
homme assassiné par strangulation.

 

 

FUENTE:

http://documentos.morula.com.mx/wp-content/uploads/2012/10/HITLER-Contre-JUDA.pdf

PÁG  252

Acerca de hirania

i am a man!
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