Capítulo VI de «H frente a J»

Chapitre VI de H frente a J

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Chapitre VI

HITLER VICTIME DES
NUISIBLES, DES DEGENERES
ET DES CORROMPUS.

 

Je sais, qu’il m’arrive de me répéter, mais il
est parfois difficile de l’éviter en relatant des
événements, qui se déroulent en même temps dans
des chapitres différents, et dans des lieux et des
circonstances parfois contradictoires. En outre il
peut s’avèrer nécessaire de se répéter au vu du
“matraquage médiatique continu”, qui dure depuis
plus de 50 ans. Les jeunes générations encore
toujours portées à l’altruisme et aux nobles idées
de fraternité universelle et d’antiracisme sont
ignorantes et mal informées au sujet de ces années
de guerre 39-45. Les maîtres occultes du monde
utilisent leur idéalisme, qui est naturel dans
l’adolescence pour les exploiter et les tromper.
Mal informés ils font inconsciemment le jeu du
Mondialisme, de l’Establishment, qui les abuse.
Ils sont mal informés:
1) par l’ensemble des médias aux ordres,
2) par des “démocrates-résistants” qui ne
cessent de justifier leurs prérogatives et leurs
droits à s’enrichir grassement, grâce et à cause
de leur soi-disant bravoure ancienne,
3) par un enseignement “Rénové” décadent, qui
leur enseigne l’histoire des marchands, celle pour
q u i t o u t a c t e e t t o u t é v é n e m e n t r é s u l t e
d’influences économiques, alors que la dernière
guerre mondiale fut essentiellement l’affrontement
de deux conceptions du monde, de deux philosophies
de la vie. « Hitler connaît pas », clament les
jeunes. Et que peuvent-ils en connaître dans de
t e l l e s c o n d i t i o n s d e p r o p a g a n d e e t d e
désinformation. Parfois un plus malin peut-il
trouver bizarre et même louche l’insistance
continuelle des médias à décrire l’holocauste et
les camps de concentration! D’autres encore plus
malins peuvent-ils même constater certaines
contradictions flagrantes dans le bourrage de
crânes continuel des médias?
Moi j’ai vécu la guerre 39-45, entre l’enfance
et l’adolescence. A cette époque où l’on
e n s e i g n a i t e n c o r e l ‘ h o r r e u r d u m e n s o n g e ,
l’honneur, le patriotisme, l’attachement à ses
idées, le sacrifice à son idéal. J’ai vu de jeunes
adultes à peine plus âgés que moi partir combattre
dans les deux camps, les uns à l’Est contre le
bolchevisme, les autres avec les “libérateurs”.
J’ai vu la libération et des femmes maltraitées et
tondues pour avoir uniquement aimé un “boche”.
J’ai surtout vu à cette occasion la populace
déchaînée dans ma ville et j’y ai vu des
“résistants” s’engager encore un mois après le
départ des Allemands. Dès qu’ils avaient un fusil
et un brassard ils faisaient les “fiers-à-bras” et
les importants, alors qu’ils n’avaient strictement
rien fait, ni de guerrier ni d’honorable. Tous
passaient leur temps à se soûler, à piller et à
trafiquer au marché noir, qui subsista jusqu’en
fin 1945. J’ai vu détrousser les cadavres de
soldats allemands, piller leurs casernements,
malmener des prisonniers, faire la chasse aux
“collabos”. Le plus horrible je ne l’appris
qu’après avec de jeunes malheureuses, qui furent
violées par ce nouveau genre de soldatesque,ou
avec des réfugiés, des “collabos” et d’anciens
idéalistes partis au front de l’Est et qui furent
tous roués de coups et même torturés et détroussés
par les “résistants”. Et tout cela à un âge où
tous ces faits, vus et entendus restent gravés
dans la mémoire et s’imprègnent de façon
indélébile. J’ai pu mesurer la différence de
comportement entre les soldats allemands, nos
occupants détestés, toujours corrects (une seule
fois j’en ai vu un éméché malmener un passant) et
entre nos “libérateurs” anglais et américains.
Beaucoup étaient des ivrognes, qui dégueulaient
dans les caniveaux, qui vendaient armes et
cigarettes et qui se battaient avec des civils
pour des filles, etc… J’ai assisté à tout cela
sans toujours bien réaliser sur le moment même,
tellement l’on avait attendu dans ma famille nos
“libérateurs”. Mais au vu de tout cela, même mon
résistant de père, écœuré, renvoya ses médailles
et ses décorations. A l’époque, en 1945 je ne
savais pas ce qu’était un juif, mais j’ai vite
compris, surtout en entrant à l’université où j’ai
assisté à leur mauvaise foi, à leur morgue, à leur
cupidité et à leur racisme envers nous les Goyim.
Il est normal, qu’en réfléchissant ensuite, en
comparant la réalité, QUE J’AI VUE, les victimes
honnêtes que j’ai entendues et la dignité qui me
fut toujours enseignée, aux mensonges éhontés des
médias, à la propagande continuelle pleine de
contrevérités, j’insiste parfois durement en me
répétant. La jeunesse actuelle, sans avenir à
cause de la corruption et de la bassesse
démocratiques doit savoir, qu’on la trompe
continuellement et sciemment. Car quoi que l’on
enseigne dans nos démocraties pourries et
combinardes, ce sont les personnalités puissantes
qui font l’Histoire, surtout lorsqu’elles sont
soutenues par des minorités enthousiastes. Le
“Libéralisme” est une bêtise et un mensonge, même
c a m o u f l é s o u s l e m a s q u e d u c u l t e d e l a
personnalité. Les hommes veulent et doivent être
menés de façon virile et honnête.
Par sa POLITIQUE SOCIALE D’AVANT-GARDE, Hitler
était devenu l’ennemi et la bête noire de tous les
financiers et de tous les exploiteurs des peuples.
Par son exemple d’organisation sociale en
Allemagne il forçait tous les autres pays
industrialisés à lâcher du lest au bénéfice du
monde du travail. Suite à son exemple la Belgique,
puis la France et l’Angleterre avaient dû accepter
l ‘ i n s t i t u t i o n d e s c o n g é s p a y é s ; e t i l s
envisageaient aussi timidement l’élaboration d’une
assurance maladie-invalidité ; assurance déjà bien
e f f e c t i v e e t a u p o i n t d a n s l ‘ A l l e m a g n e
hitlérienne. Naturellement l’assurance maladieinvalidité de Hitler, gérée directement par
l’état, ne permettait aucune combine politique,
comme c’est actuellement le cas dans nos pays
“démocratiques”, où cette assurance est gérée par
les partis politiques par l’intermédiaire de leurs
caisses de mutuelles. Ce système “démocratique”
entraîne combines, pots-de-vin, caisses noires et
pillages de l’état, c-à-d racket de l’ensemble de
la population. Mais déjà au départ toutes ces
innovations hitlériennes coûtaient fort chers aux
employeurs et aux financiers des autres pays, qui
devaient bien suivre le mouvement malgré eux.
L’Allemagne bénéficiait de la cohésion raciale de
son peuple, donc d’un esprit communautaire, qui
lui évitait le pillage de l’état, ce qui n’était
pas le cas dans les démocraties, de l’époque où
les dirigeants déjà vendus n’avaient plus cet
esprit communautaire.
En outre, PAR SA POLITIQUE NATIONALE, Hitler
s’opposait efficacement à la désintégration morale
entreprise par les Juifs, tout en les éloignant de
tout pouvoir décisionnel, surtout après septembre
1935. Tous les travailleurs honnêtes et courageux
s’apercevaient, que le socialisme pour être
efficace et effectif, devait être national et non
international. En Allemagne le Juif corrupteur
n’était plus “comme un poisson dans l’eau” suivant
l’expression bien connue de l’agitateur communiste
chinois Mao-Ze-Tung. Il était ramené hors du
peuple, c-à-d hors de l’eau. D’autant que l’eau
était claire, c-à-d racialement pure, et c’est
pour cette raison, qu’il insiste tant au mélange
des ethnies et des races, mélanges qui rendent les
eaux troubles et où il peut bien se cacher. En
Allemagne le Juif n’avait plus le moyen de faire
“des affaires”, de magouiller dans des faillites
frauduleuses, plus moyen d’acheter en douce des
consciences et de pourrir les mœurs par une
propagande mensongère et par la pornographie; plus
moyen de racketter librement par l’usure, par la
fraude ou par la terreur syndicaliste; plus moyen
de désorganiser le pays par une stérile lutte des
classes.

Par sa connaissance du plan des Sages de Sion,
Hitler avait trouvé la parade pour libérer les
peuples et pour les soustraire définitivement à
l’emprise du mondialisme juif. De telle sorte, que
tous les banquiers juifs apatrides et cosmopolites
ainsi que le haut rabbinat voulaient absolument
avoir sa peau et étaient devenus ses plus mortels
ennemis. Encore fallait-il éliminer Hitler sans
éveiller la conscience des peuples, sans leur
ouvrir les yeux sur le véritable but de cette
élimination, et surtout sans qu’ils puissent se
rendre compte à qui profiterait le crime. Les
Sages de Sion possédaient bien l’or pour corrompre
les consciences des médias et des gouvernants
démocratiques; encore fallait-il que ceux-ci
soient de toute confiance envers les auteurs des
” P r o t o c o l e s ” , m a i s a u s s i q u ‘ i l s s o i e n t
s u f f i s a m m e n t i n t e l l i g e n t s p o u r a g i r
progressivement et sans bavure.
En URSS les Sages de Sion n’avaient aucune
crainte; non seulement les Juifs y tenaient tous
les postes clés, mais le juif Staline était tout
acquis à la cause. Brute épaisse et criminel
endurci, il souffrait bien d’hypertension et
d’artériosclérose cérébrale débutante, mais son
mental génétiquement criminogène en faisait un
adepte sans histoire. En outre il devait avoir un
rôle principal dans la suite des événements, car
il possédait la seule armée capable de s’opposer à
celle de Hitler. Mais ce tsar rouge, apparemment
tout puissant, devait cependant tenir compte de
“son opinion publique”. On s’en rendit compte au
début de la guerre germano-soviétique en 1941 et
1942, lorsque des dizaines de milliers de soldats
r u s s e s d é s e r t a i e n t e t s e m e t t a i e n t à l a
disposition de l’armée allemande. Ce fut le cas
des milliers de “Hiwis”, de nombreux Ukrainiens,
des Cosaques de toutes origines, de Musulmans du
Caucase et de tous ceux, qui s’engagèrent dans
l’armée Vlassov, qui fut malheureusement mise sur
pied trop tard, certainement par sabotage, sans
doute aussi par la défiance que Hitler porta toute
sa vie envers les Slaves. Pour cette raison et
pour éviter cette hémorragie de désertions dans
les rangs de l’armée rouge, le tout puissant
Staline dût ruser, promettre le rétablissement de
la propriété privée pour après la guerre, remettre
en vigueur certains privilèges comme le port des
grades et des épaulettes dans l’armée ou la
réouverture des églises. Il dût aussi, jour après
jour, exhorter ses troupes à combattre pour la
SAINTE RUSSIE et pour la terre russe, qui, disaitil, leur appartenait. On oublia même le marxisme
et le bolchevisme dans l’ensemble des médias.
Naturellement la guerre terminée toutes ces
promesses juives, justes bonnes à étourdir des
Goyim, ne furent pas tenues, et de nombreux
soldats russes qui avaient vu l’Allemagne et la
vie dans les pays de l’Ouest européen prirent la
direction du Goulag, pour éviter qu’ils ne
contaminent la population russe par leurs
révélations et par la simple description de ce
qu’ils avaient vus.
La grande crédulité des peuples slaves jouait
en faveur des Sages de Sion mondialistes, mais
l’ensemble des Slaves ne suffirait certainement
pas pour écraser l’Allemagne Nationale-Socialiste
trop industrialisée, trop capable, trop méthodique
et trop cohérente. Il fallait aussi mobiliser les
jobards de Français abrutis par les slogans nés de
leur révolution de 1789. Il fallait surtout
mobiliser les flegmatiques et égoïstes AngloSaxons.
En Angleterre les Sages de Sion utilisèrent
d’importants moyens financiers pour remettre en
selle un ivrogne patenté passablement démonétisé,
qui avait déjà bien servi et bien obéi lors de la
première guerre mondiale en 14-18. Ce nommé
Spencer Churchill était bien tenu en mains par ses
sponsors juifs, c-à-d par Samie Japhet, le
fondateur de la banque du même nom, par le
banquier Ernest Cassel, l’éminence grise du roi
Edouard VII, et par le trafiquant d’armes
international Basile Zaharoff. Churchill possédait
déjà un important passé de corrompu entièrement
dévoué au mondialisme juif ;et chose intéressante
pour les Sages de Sion, il était en 1938 bourré de
dettes et financièrement ruiné, donc très facile a
« acheter ». Rappelons d’ailleurs ici brièvement
les grandes étapes de sa vie et de son ascension:
“Fils à papa” d’un lord politicien de métier
sous la reine Victoria, Spencer Churchill né en
1874 se distingua tout d’abord par des études plus
que médiocres, et comme la plupart des noblions
anglais peu doués, son père le fit entreprendre
une carrière militaire en 1895. Il fut de ce fait
envoyé comme correspondant de guerre en 1898 lors
de la guerre des Boers en Afrique du sud. Comme
l’on avait découvert énormément d’or et de pierres
précieuses dans cette région du globe habitée par
de braves paysans, principalement d’origine
hollandaise et protestante française, et en outre
par des Cafres et des Zoulous, la mafia juive de
l’époque siégeant encore principalement à Londres,
poussa l’Angleterre à s’approprier ces terres
pleines de richesses minières, afin d’y installer
les industries juives de l’or et du diamant, sous
la direction du juif Cécil Rhode. Mais le petit
peuple Boers, pauvre et mal armé résista
courageusement durant plus de deux ans. Lors de
cette guerre Churchill fut fait prisonnier sans
avoir opposé aucune résistance. Il fut amené à
Pretoria, la capitale Boer, où il DONNA SA PAROLE
D’OFFICIER de ne pas chercher à s’évader. Pour
cette raison les Boers naïfs, qui croyaient encore
à la parole d’un officier anglais, le laissèrent
libre de se promener sans entrave dans leur
capitale. Liberté, que le “héros des Juifs et des
jobards” utilisa pour s’évader sans difficulté et
sans gloire. Quoique cette évasion fut présentée
par les médias de l’époque, déjà entièrement aux
ordres des financiers juifs de la City, comme un
acte de bravoure et non comme un parjure, les
Anglais seuls y crurent ou firent semblant, et
ensuite l’on oublia au plus vite l’affaire, qui
n’était certes pas à la gloire des officiers
anglais. Mais déjà du temps de Napoléon renier sa
parole était chez eux pratique courante, au point
que l’on avait qualifié l’Angleterre de “Perfide
Albion”.
Mais revenons à Churchill, cet officier
parjure, qui déjà en 1900 s’adonnait avec entrain
à la boisson. A son retour après son évasion, les
Juifs s’intéressèrent vivement à ce jeune homme
sans parole, bien fait pour les comprendre, et ils
le sponsorisèrent comme député “libéral”. En
reconnaissance, dès son élection aux Communes il
s’attela principalement à la défense du “LIBREECHANGE” (c-à-d à la doctrine économique, que nous
subissons encore actuellement, et qui ne favorise
que les grands trusts internationaux, c-à-d les
banquiers et les usuriers juifs cosmopolites).
Ensuite la guerre contre la catholique
Autriche étant planifiée dans les loges, les Juifs
de la City firent nommer leur “poulain” Churchill
comme premier lord de l’Amirauté. Là en 1915 il
fut le promoteur de la désastreuse expédition des
Dardanelles, qui coûta tant de vies humaines
inutilement sacrifiées sur l’autel du “peuple
élu”. Durant cette première guerre mondiale il se
fit aussi le promoteur et le grand coordinateur du
transport d’armes et de munitions en provenance
d’Amérique sur des bateaux neutres. Connaissant
ces “ENTORSES NEUTRES” aux lois de la guerre, les
Allemands décidèrent de ne plus respecter la
neutralité des “bateaux neutres” principalement
a m é r i c a i n s . C o m m e e n 1 9 4 0 l e s p a c i f i q u e s
Américains étaient déjà entrés en guerre contre
l’Allemagne sans aucune déclaration de guerre.
Pour entraîner l’Amérique ouvertement dans le
conflit, nécessité impérative pour relever le
moral des Alliés, Churchill imagina un plan
machiavélique, c-à-d faire couler un navire
américain avec des Américains à bord. Mais à
l’époque les sous-marins allemands étaient trop
lents pour rattraper à la course un grand “Liner”
zigzaguant. Le choix tomba sur le Lusitania,
navire américain transportant en Angleterre
plusieurs centaines de civils américains, et
surtout une importante cargaison d’armes et de
munitions. On s’arrangea pour prévenir les
Allemands de ce transport de munitions, et pour
être certain de le voir couler, CHURCHILL EN
PERSONNE guida par radio le sous-marin allemand
sur sa proie. Ce torpillage où décédèrent quelques
dizaines de citoyens américains permettait au
président W. Wilson et à la clique de ses
conseillers juifs (dont le fameux colonel House)
de pousser doucement l’Amérique isolationniste en
guerre. Mais il fallut encore une année de
propagande sur les pseudo-atrocités teutones pour
décider enfin le peuple américain à “venir libérer
l’Europe”. Les archives de l’Amirauté britannique
furent tenues secrètes durant 60 ans, mais passant
ensuite dans le domaine public, le spécialiste des
sous-marins, l’historien Jean-Jacques Antier les
consulta et relata tous ces faits et la duplicité
de Churchill dans son livre intitulé : “Histoire
des Sous-mariniers.”
En 1939 la seconde guerre mondiale engagée,
les Mondialistes juifs remirent en selle l’ivrogne
patenté et il redevint 1er lord de l’Amirauté; et
en mai 1940 lors de la débâcle ils le nommèrent
premier ministre à la place de Chamberlain jugé
trop mou et trop porté à une entente avec
l’Allemagne. Et c’est Churchill, qui s’arrangea
pour refuser et pour saboter les six offres de
paix de Hitler de septembre 1939 à juin 1941. Ce
fut aussi Churchill, qui le 10 mai 1940 donna
l’ordre d’entreprendre les premiers bombardements
de populations civiles sur Duisburg et Frieburg,
villes exemptes de cibles militaires. L’historien
anglais David Irving dans ses divers livres
traitant des bombardements de Dresde, Hambourg
etc… et dans son dernier livre sur la vie de
Churchill rappelle que c’est lui, qui recommanda à
ses pilotes de bombarder surtout avec des bombes
incendiaires (90%) les centres très peuplés des
vieilles cités, car les vieilles maisons brûlent
mieux, sont plus peuplées au centre des villes et
surtout parce qu’elles représentent le plus
typiquement la CULTURE A DETRUIRE. David Irving
signale aussi, que durant toute la guerre
Churchill était régulièrement soûl, sursaturé de
bourbon et de whisky, et que c’était dans cet
é t a t , q u ‘ i l o r d o n n a i t e t p r o g r a m m a i t l e s
BOMBARDEMENTS DE TERREUR sur les villes allemandes
pleines de civils. Il fut tellement soûl et odieux
en février 1945, lorsqu’il ordonna le bombardement
de la VILLE OUVERTE de Dresde, ville hôpital
remplie de blessés et de civils qui fuyaient la
terreur rouge, que même le “Bomber Command” Arthur
Harris voulut s’opposer à cet acte de barbarie. Et
cependant le commandant Harris n’était pas un
tendre qui ménageait les Allemands. A Dresde plus
d e 2 3 5 . 0 0 0 c i v i l s p é r i r e n t c a r b o n i s é s ( l a
fourchette s’étalant entre 235.000 a 650.000 ; ce
manque de précision étant dû a la difficulté de
recenser l’ensemble des personnes déplacées), à
Hambourg plus de 40.000 en une nuit brûlés par des
bombes au phosphore, à Berlin plus de 60.000
etc… il en a été ainsi dans la plupart des
grandes villes allemandes. N’oublions pas non plus
que ce fut Churchill, qui ordonna en juillet 1940
à l’amiral anglais Sommerville de bombarder
l’escadre de “leur allié français” le général
Gensoul; escadre désarmée et au repos et qui
perdit plusieurs centaines d’hommes dans cette
tuerie peu glorieuse déclenchée par la “perfide
Albion”. C’est aussi Churchill, qui organisa en
1943 l’assassinat du général polonais Sikorski,
lorsque celui-ci refusa de livrer son pays aux
Soviétiques, comme l’exigeait l’accord de Téhéran.
L’historien anglais Spraight, secrétaire au
ministère de l’air britannique, reconnaît, qu’en
1940 la Luftwaffe avait dans un premier temps
commencé à bombarder les bateaux circulant dans la
Manche, ensuite les aérodromes et les avions,
ensuite les fabriques d’armement à leur portée
pour terminer par les installations militaires. Il
n’hésite pas à écrire, que Hitler fit tout pour
é v i t e r l e s b o m b a r d e m e n t s t e r r o r i s t e s d e
représailles. En effet, si Churchill 24 heures
après sa nomination comme premier ministre
déclencha les bombardements terroristes sur les
villes allemandes de Duisburg et de Frieburg,
Hitler cacha d’abord à la population allemande,
que ce type de guerre et de terreur avait
commencé. Et ce n’est qu’après le bombardement
d’une banlieue de Berlin, le 27 août 1940, qu’il
ordonna enfin à la Luftwaffe de pratiquer UN
bombardement de représailles sur Londres le 7
septembre 1940. Si Guernica et le malheureux
bombardement de Rotterdam furent des bombardements
tactiques, c’est CHURCHILL, QUI INAUGURA LES
BOMBARDEMENTS TERRORISTES STRATEGIQUES, tout comme
c’est lui, qui ordonna en 1940 à ses pilotes de
mitrailler et de détruire les avions de la CroixRouge allemande, qui s’efforçaient de sauver les
pilotes tombés en mer. Quand on sait que ce salaud
(car comment appeler un homme d’état, qui ne
respecte ni sa parole, ni les conventions de
Genève sur les lois de la guerre, ni la CroixRouge) obtint un prix Nobel et fut enterré en
grande pompe et avec un dithyrambe d’honneurs,
l’on se rend compte, qu’à l’heure actuelle, plus
un chef d’état reçoit des honneurs et l’éloge des
médias, de son vivant ou à sa mort, et plus c’est
une fripouille. A contrario, plus un homme est
critiqué et vilipendé par ces mêmes “organismes
officiels” et par ces mêmes médias aux ordres,
plus c’est un homme de valeur et un véritable
Indo-Européen.
En France les Juifs possédaient le pouvoir
depuis bien longtemps depuis le fameux président
juif Crémieux. Et l’argent des Rothschild depuis
le scandale de Panama arrosait les Goyim
nécessaires à leur expansion. Depuis le début des
années 1900 Juifs et francs-maçons (c-à-d ces
juifs synthétiques) faisaient la loi au parlement
de France. Grâce à eux les petits “Pioupious” (les
soldats) français pourront aller verser leur sang
dans deux guerres mondiales, sans compter les
g u e r r e s d e c o l o n i s a t i o n s e t e n s u i t e d e
décolonisations. Guerres toutes faites au profit
des banques et des trusts cosmopolites. Au moment
de Munich Daladier n’était qu’un missi dominici;
les véritables maîtres s’appelaient Rothschild,
Zay, Mendel, Jules Moch, René Meyer, Schlumberger,
Dreyfus, Sammy Schmidt, Maurice Schumann, Mendes-
France, etc… Il faut lire le journal de l’époque
dirigé par Henry Coston et par Jean Drault,
journal intitulé: “La Libre Parole” pour bien se
rendre compte de l’assujettissement de la France
au Kahal et aux lobbies judaïques. Mais suite à la
débâcle française de juin 1940, le gouvernement
judéo-maçonnique de Paul Reynaud se désintégra;
Pétain fut appelé à la tête de la France, et il
constitua un gouvernement “de Français” excluant
toute influence juive. Quelques francs-maçons
avaient cependant pu s’infiltrer dans son
gouvernement, comme François Mitterand et comme le
fameux Pucheux, cet anticommuniste convaincu, qui
fut fusillé pour cette raison par les sbires de De
G a u l l e . M a l g r é c e l a l e s J u i f s n ‘ a v a i e n t
pratiquement plus aucune influence dans le
gouvernement de Vichy; du moins jusqu’en 1943.
C’est en juin 1940, qu’intervint un officier félon
attaché au cabinet du frère maçon Reynaud. Ce
colonel De Gaulle, PROMU TEMPORAIREMENT au grade
d e g é n é r a l d e b r i g a d e a f i n d e s e r v i r
d’intermédiaire entre P. Reynaud et Churchill, fut
rappelé en France par Pétain à la suite de
l’armistice, car son rôle de coordination n’avait
dans ces conditions plus de sens. De Gaulle refusa
de rentrer en France, ce qui en cas de guerre
s’appelle de la DESERTION et relève de la peine de
mort dans toutes les armées du monde. N’ayant
personne d’autre sous la main Churchill utilisa ce
DESERTEUR pour représenter une hypothétique France
encore combattante, et permettre ainsi la
continuation de la guerre fratricide entre
Européens, comme l’espéraient ses maîtres les
Sages de Sion.
De Gaulle fut invité à parler sur les ondes
anglaises afin d’exhorter les Français à continuer
à se faire massacrer pour les Cosmopolites de la
C i t y . M a i s c e t ” a p p e l d u 1 8 j u i n ” p a s s a
pratiquement inaperçu. Cependant les Juifs
sentirent de suite l’utilité de cet officier
perdu. Avec leur sens des affaires et leur
puissance médiatique ils le mirent “en lumière”
d’autant plus facilement que ce faux général était
très sensible à la flatterie, car c’était un
MEGALOMANE souffrant de PARANOIA. Les Juifs,
surtout Jules Moch et Maurice Schumann ne le
quittaient plus; et étant experts en flatteries,
ils se retrouvèrent immédiatement à tous les
postes de direction de ce qu’on appelait alors la
“France Libre”. De Gaulle les intéressait d’autant
plus, qu’en 1916 le capitaine De Gaulle fut fait
prisonnier par les Allemands à Sedan, car il
s’était rendu sans même combattre. Il fut
emprisonné à la forteresse de Scholditz pour le
restant de la guerre. C’est là qu’il fut initié au
marxisme par des officiers russes, eux aussi
emprisonnés. Ses tendances marxisantes se
manifestèrent tout au long de sa vie publique
après 1940. C’est lui qui remit en selle le
déserteur franc-maçon Thorez, le juif Duclos et
qui permit et encouragea les massacres et les
règlements de compte de la libération. Ces
tueries, ces viols et ces tortures furent
perpétrés la plupart du temps par “les résistants
communistes”. Les victimes s’élevèrent à plus d’un
million et les morts à plus de 105.000 en quelques
mois. A comparer avec les civils français tués du
fait des Allemands de juin 1940 à janvier 1945,
morts fusillés ou en déportation, et qui s’élèvent
à un peu moins de 30.000 personnes, Français indoeuropéens et “Français” juifs réunis. Ces
statistiques jamais démenties par des preuves
indiscutables furent relevées par l’historien Paul
Rassinier et par l’écrivain Maurice Bardèche.22
Comme tous les paranoïaques De Gaulle assouvit
même de nombreuses rancunes personnelles durant
les temps troubles de la libération, paraissant
heureux de voir fusiller à tour de bras. C’est
lui, qui refusa personnellement la grâce du grand
écrivain Robert Brasillach, dont le seul crime fut
de dévoiler la vérité sur de nombreuses combines
cosmopolites. Et c’est encore De Gaulle, qui
ordonna au général Leclerc de fusiller SANS PROCES
les 12 Waffen SS Français de Bad-Reichenhall.

22 L’historien Henri Amauroux, à l’autorité non contestée, retient pour l’ensemble de la France jusqu’en
août 1944 le chiffre de 9.000 fusillés. (chiffre donné aussi par le “Quid”)

C’est lui qui commanda l’attentat contre le général Giraud en Algérie en 1943 et qui semble
avoir fait assassiner Saint-Exupéry, qui avait eu
le malheur de traiter le gaullisme de “fascisme
sans doctrine”. Il semble aussi être l’instigateur
de l’assassinat du maréchal Leclerc, qui devenait
encombrant et commençait à lui faire trop d’ombre.
Cependant ce mégalomane, qui s’était empressé
de créer des liens privilégiés entre la France et
l’URSS en 1945, n’était pas toujours facile à
manier à cause de sa paranoïa. Churchill le décrit
d’ailleurs comme “une croix”, qu’il dût porter
durant toute la guerre. Et Roosevelt le vexa au
plus profond de son être en ne l’invitant pas, ni
à la conférence de Téhéran, ni à celle de Yalta.
Or rien ne crée plus de rancune chez un
paranoïaque que le fait de l’ignorer. De telle
sorte que notre De Gaulle vexé est à l’origine
d’un refus peu connu (dévoilé à l’auteur par Léon
Degrelle et par le colonel Argoud). En effet, dés
la reddition de l’Allemagne le 8 mai 1945 le chef
des armées “alliées”, le juif David Eisenhower,
futur président des USA, souhaitait en terminer
avec TOUS les fascismes; ce en quoi il était
appuyé à Washington par le juif Truman, ce
marchand de chemises devenu président des USA à la
mort de Roosevelt, et par les Juifs L. Marshall et
B. Baruch. Eisenhower voulait traverser les
Pyrénées pour détruire le régime espagnol du
général Franco. Mais pour ce faire, il fallait
traverser la France, ce que De Gaulle vexé refusa
tout net. L’Espagne ne sera “démocratisée” que
plus tard, par des manœuvres “pacifiques” grâce
aux enjuivés de l’Opus Dei et au roi Juan-Carlos.
De Gaulle fut ramené au pouvoir par ses
“employeurs” en 1958, lors de la guerre d’Algérie.
Connaissant son penchant haineux et sa paranoïa il
était le candidat idéal pour oser brader ces
terres françaises sans craindre d’attirer sur lui
les ressentiments des Français. Le “grand MOA”
comme certains l’appelaient, se considérait à lui
seul comme la France entière. Il fallait
d’ailleurs un énorme cynisme pour sacrifier sans
vergogne nombre de vies françaises dans ce bradage
malsain de l’Algérie. Il déploya à nouveau une
bonne dose de duplicité pour tromper tous les
imbéciles, qui croyaient encore en lui. Il trompa
tous ses jeunes officiers et les Harkis, qu’il
e n c o u r a g e a à s ‘ i n v e s t i r d a n s ” l ‘ A l g é r i e
française”, tout en entreprenant dès le départ des
pourparlers de paix avec les rebelles algériens.
Ensuite pour se débarrasser de ce mégalomane
redevenu encombrant les Sages de Sion organisèrent
mai 1968. Début 1970, se sentant définitivement
écarté du pouvoir, De Gaulle réagit en mégalomane
et se suicida. Le colonel A. Argoud, qui l’a suivi
pas à pas depuis l’Algérie me confirma ce dernier
acte représentatif de sa maladie mentale, qui
imprégna toute sa vie.
Staline était acquis sans restriction au
complot des Sages de Sion car il était juif luimême. Il émit juste des réserves sur la stratégie
à suivre. Churchill, ivrogne totalement corrompu,
ne devait toute sa carrière qu’à leur soutien, et
il était de ce fait un exécuteur obéissant et
discipliné. De Gaulle vint plus tard, rua parfois
dans les brancards, fut plus difficile à manier,
mais il remplit cependant les rôles que l’on
attendait de lui. Restait aux Sages de Sion à
mettre en place un des leurs capable de coordonner
les actions des trois autres, suffisamment prudent
et intelligent pour endormir et séduire les
habitants un peu simplets du seul pays, qui
possédait la puissance économique et industrielle
capable de mettre en échec l’industrie de guerre
européenne. Ce pays, les USA, pouvait de par sa
puissance industrielle, fournir à toutes les
démocraties le matériel nécessaire pour équiper
les “candides” petits démocrates, qui acceptaient
encore de se mobiliser et d’aller se faire trouer
la peau pour les grandes idées creuses de liberté,
de fraternité internationale et d’égalité entre
tous les peuples et, assez aveugles pour ne pas se
rendre compte, que les “droits de l’homme” sont
perpétuellement bafoués par les dirigeants
démocrates suivant les besoins de la cause
cosmopolite. Comme l’a si bien dit Darquier de
Pellepoix: “La guerre consiste à faire se battre
des gens, qui ne se connaissent pas, au bénéfice
de gens, qui se connaissent très bien, et qui eux,
ne se battent pas; Les Juifs.” (Repris par Victor
Lefranc, directeur de la revue: “Pas Difficile”.)
Depuis 1865, fin de la guerre de Sécession,
les USA étaient déjà bien en main dans les pattes
griffues des banquiers cosmopolites; mais de là à
pousser les crédules Yankees à entrer en guerre
contre l’Allemagne de Hitler, il y avait tout de
même encore un grand pas à franchir. Nous avons vu
d’ailleurs au chapitre précédent, qu’à la fin
septembre 1939, lorsque Hitler venait de vaincre
la Pologne, qu’un gallup aux USA avait démontré,
que seulement 2,5% des Américains étaient
favorables à une croisade contre Hitler, et que
beaucoup même le considérait comme le principal
rempart contre le bolchevisme. Certains mouvements
d’opinion en faveur du Führer voyaient le jour un
peu partout avec à leurs têtes des gens honnêtes
et connus, comme Charles Lindbergh, le grand
aviateur, comme le sénateur Taft, comme le colonel
Wood, le général Pershing chef de l’Américan
Légion, les sénateurs Borah et Van den Berg (ce
dernier dirigeant le mouvement pacifiste), comme
le sénateur Pittman et l’ancien sénateur Hoover,
etc… C’était à tel point, que l’ambassadeur des
USA à Berlin avertit Benes au moment de la crise
tchécoslovaque de ne pas miser ni croire aux
sentiments anti-allemands des Américains, et que
c’était seulement toute la presse de la côte
atlantique, presse entièrement contrôlée par les
Juifs, qui diffusait cette croyance.
Suite à la dépression économique qui suivit le
crash boursier d’octobre 1929, crash sciemment et
artificiellement déclenché par les banquiers
cosmopolites, de nombreux petits épargnants, en
Amérique et de par le monde, s’étaient retrouvés
ruinés. Mais le plus grave, que les banquiers
apprentis-sorciers n’avaient pas réellement
pressenti ni mesuré toute l’ampleur, fut le subit
manque de confiance de la population envers toutes
les banques et toutes les industries. Plutôt que
de dépenser pour continuer à faire tourner
i n d u s t r i e s e t c o m m e r c e s , m o i n s l e s g e n s
possédaient d’argent moins ils dépensaient,
préférant garder leurs faibles richesses, mêmes
dévaluées dans leur bas de laine. C’est exactement
le même réflexe qui se reproduit en Europe en
1995-97, où les banquiers “libéraux” prennent
prétexte de la mauvaise conjoncture économique
pour diminuer à l’extrême les taux d’intérêts
bancaires des petits épargnants. Ce faisant ils ne
relancent plus rien du tout; l’économie restera
stationnaire malgré leurs dénégations, mais ils
auront surtout ruiné une bonne partie de la
population, et ceux qui possèdent encore un petit
quelque chose le gardent et le thésaurisent en vue
de temps encore plus durs. En agissant exactement
à l’inverse après le crash de 29, Hitler avait
redressé la situation dans sa patrie. Suite à
cette constatation et afin de redonner confiance
dans la bourse et l’industrie les Sages de Sion et
les rabbins portèrent à la tête des USA un hommel i g e d e t o t a l e c o n f i a n c e , u n p o l i t i c i e n
intelligent, retors et totalement corrompu, dont
le nom était suffisamment emblématique. Il
s’agissait de Franklin Délano Roosevelt, cousin du
très populaire président Théodore Roosevelt, qui
s’illustra lors de la guerre d’indépendance de
Cuba en 1898, c-à-d lorsque cette île passa de la
couronne espagnole dans les mains de la mafia des
banquiers juifs des USA; C’est aussi Théodore
Roosevelt, qui annexa Porto-Rico, Guam, les
Philippines les îles Hawaï et qui favorisa
l’indépendance “forcée” de Panama, lorsque le
canal fut ouvert. Toute la famille Roosevelt était
fort riche, d’origine juive hollandaise et
d’ascendance Khazar.
Le nouveau Roosevelt, Franklin Delano fut élu
président avec l’or des Sages de Sion, et il entra
en fonction pour remplir son premier mandat en
mars 1933. Du point de vue des Sages de Sion nous
pouvons dire, qu’il était parfait. Tout d’abord il
était l’un des leurs, un coreligionnaire de la
race élue. En outre il était franc-maçon, grade 33ème, c-à-d “Grand Cèdre” de la loge 81 dite “Des
grands cèdres du Liban” de Warwick dans l’état de
New-York. Il était aussi immensément riche,
acoquiné de ce fait au grand capital cosmopolite
et suffisamment intelligent pour comprendre les
nouveaux problèmes financiers et pour agir au
mieux des intérêts de sa caste et de sa race. Il
possédait aussi un certain charisme, un air
“faussement bon enfant” et un art éprouvé du
mensonge. Il mit de suite en évidence tous ses
atouts dans ses fameuses “causeries au coin du
feu” (causeries radiophoniques très écoutées en
Amérique).
Sitôt en poste Roosevelt constitua son braintrust composé uniquement de Juifs. Il y avait là
le banquier Bernard Baruch, ce conseiller occulte
de TOUS les présidents des USA depuis Woodrow
W i l s o n j u s q u ‘ à E i s e n h o w e r , l e b a n q u i e r
Finckelstein alias Rockefeller, le général
Marshall, le colonel House alias Mandel, William
Bullitt, Morgenthau le secrétaire au Trésor,
Samuel Untermeyer, le président de la Fédération
M o n d i a l e E c o n o m i q u e , S a m R o s e n m a n n , l e s
syndicalistes Ben Gold, Sidney Hilman, J. L. Lewis
et David Dubinski; en outre il y avait le frère
maçon communiste Hopkins.
Le premier acte diplomatique de Roosevelt fut
LA RECONNAISSANCE OFFICIELLE du gouvernement des
Soviets en mai 1933. A cette occasion le
journaliste W. Bullitt, nommé ambassadeur à
Moscou, organisa une campagne de presse mensongère
à travers tous les USA afin de présenter Staline
et ses Bolcheviks comme de “braves libéraux” ayant
besoin de l’aide américaine pour redresser leur
pays. Cette désinformation fut continue entre fin
1932 et 1935 en pleine période des massacres des
“Bedpernyi” ces enfants orphelins victimes des
carnages de la révolution bolchevique, et des
tueries des Koulaks, ces petits propriétaires
terriens qui refusaient la kolkozisation. Rien que
pour cette période les massacres s’élevèrent à
plus de 6 millions de morts. Et naturellement W.
Bullitt, qui était sur place n’en ignorait rien,
et en tenait bien informé Roosevelt et le reste de
son brain-trust. En outre, après avoir rétabli les
relations diplomatiques avec le pays des Soviets,
Roosevelt ne cessa jamais d’y envoyer des experts
américains, principalement de nombreux ingénieurs
afin d’aider à l’industrialisation rapide de
l ‘ U R S S e t s u r t o u t à y d é v e l o p p e r s o n
électrification. Il y envoya aussi le Juif
communiste milliardaire et patron de la huitième
compagnie pétrolière, Armand Hammer, qui, notons
le aussi, sera bien plus tard le conseiller,
l’éducateur et l’intime du prince Charles
d’Angleterre. Ainsi une fois au pouvoir cet ancien
mari de Lady “DI” pourra veiller aux intérêts de
la mafia cosmopolite si le besoin s’en faisait
encore sentir au XXIème siècle.
A l’intérieur avec son brain-trust de gauche
et de syndicalistes, Roosevelt n’eut aucune peine
à organiser une “paix sociale”. Elle lui procura
une certaine “aura” de pacificateur auprès des
b r a v e s n i a i s a m é r i c a i n s . M a i s l e p l u s
caractéristique du début du règne de Roosevelt fut
son OPPOSITION IMMEDIATE aux régimes socialistes
et nationalistes d’Europe. Naturellement en homme
retors il ne critiqua tout d’abord que très
“officieusement” ces dictatures, les décrivant
comme une « menace pour la religion et pour la
culture chrétienne ». Tout au long de ses mandats
il veilla d’ailleurs toujours à se présenter comme
le champion du christianisme et à se poser comme
le nouveau chef d’une CROISADE contre les païens
et les sans-dieux. Venant d’un Juif, qui plus est
franc-maçon de très haut grade, sa prétention et
sa présentation mensongère ne manquait pas de
piquant. Naturellement tous les médias d’Amérique
et d’Europe, entièrement dans les mains des
Mondialistes, s’évertuèrent eux aussi à le
présenter comme tel, et embrayèrent sur “les
craintes raisonnables” d’un tel brave homme. Elles
montaient en épingle le moindre incident survenu
en Allemagne contre des Juifs corrompus et
corrupteurs, comme les expulsions de Thomas Mann,
d’Erich-Maria Remarque, ou plus tard de Sigmund
Freud. Mais elles restaient toujours ETRANGEMENT
SILENCIEUSES au sujet des massacres continuels et
des purges pratiquées en URSS, ainsi qu’au sujet
des Goulags créés par Lénine dès 1918. Il faut
lire à ce sujet: “Le Juif Talmudiste” livre rare
paru en Belgique en 1936 par l’abbé Roeling. Et le
tout recent “Livre Noir du Communisme” paru chez
Laffont.
En mars 1934, rappelons-le encore, l’ensemble
des hauts dignitaires du monde juif, les rabbins,
l e s f i n a n c i e r s c o s m o p o l i t e s e t l e s g r o s
industriels juifs, réunis en congrès à New-York
sous la présidence du grand rabbin Stefen Wise,23
déclarèrent leur entrée en guerre contre Hitler. A
partir de ce moment Roosevelt inaugura des
attaques plus fréquentes, toujours mensongères, et
quoique toujours en demi-teinte contre “les
fascismes” dans ses causeries au coin du feu.
Suite à ces attaques continuelles, verbales encore
mais accompagnées déjà du boycott de tous les
produits allemands, Hitler au Congrès de Nuremberg
en septembre 1935 répliqua par ses timides lois
dites antisémites. A la même époque Roosevelt
subit sa première grande attaque de poliomyélite.
Comme tous les Juifs toujours prompts à se
plaindre, il profita de sa maladie pour engendrer
une pitié excessive à son égard, et pour, grâce à
elle, renforcer la portée de ses mensonges. Le bon
peuple croit toujours qu’un malade ne peut mentir.
A partir de mai 1936 l’Allemagne qui avait
déjà quitté la SDN, commença à se remilitariser et
à redévelopper son industrie d’armement, qui
devint effective en 1937. L’Allemagne fut obligée
d’agir ainsi car les autres nations (France,
Angleterre, URSS, Tchécoslovaquie, Pologne,
etc…) qui, suivant les accords de paix et de la
SDN, devaient aligner leurs contingents respectifs
sur celui de l’Allemagne, afin d’éviter toute
guerre future et d’en arriver à une paix

23 Ce Stefen Wise, fils de Aaron Weisz , venait d’un ghetto hongrois. Sitôt arrivé en Amérique il changea
son nom en Wise afin, avoua-t-il, de paraître plus américain. Cette coutume de changer de nom suivant et
selon les opportunités est typique chez tous ceux qui cherchent à tromper.

définitive, refusaient toutes de désarmer. Suite à
ce retrait JUSTIFIE de l’Allemagne de la SDN, et à
sa remilitarisation Roosevelt en profita pour
redoubler ses attaques contre Hitler et contre
Mussolini, les accusant de vouloir préparer la
guerre. Cette fois ses diatribes contre les
régimes dictatoriaux devinrent “officielles”; et
la chasse étant cette fois officiellement ouverte,
l’ensemble des médias aux ordres se déchaîna
contre des régimes, qui n’aspiraient qu’à la paix,
afin de pouvoir pleinement réaliser leurs
objectifs sociaux. Dans son livre “Roosevelt et
Hopkins” l’écrivain et historien Scherwood écrit:
“Le pays (les USA) se trouvait devant une
machination des Juifs, qui faisaient tout pour le
pousser en guerre.” Plus tard en 41 le sénateur
Taft déclarera, que: “le but de Roosevelt est
d’orienter de plus en plus la situation vers la
guerre, sans consulter le peuple américain (NewYork Times du 28 mai 1941).” De même Tyler Kent,
un employé de l’ambassade des USA à Londres
communiqua des documents selon lesquels Roosevelt
était occupé à compromettre secrètement les USA en
connivence avec d’éminents Juifs de la City afin
de faire entrer au plutôt l’Amérique dans la
guerre, dès que l’Angleterre y serait entrée ellemême. Naturellement Kent fut arrêté comme “espion”
et condamné à 7 ans de prison “au secret” en
Angleterre. Ainsi curieusement “au secret” il lui
était impossible d’aviser le monde de ses
découvertes. Comme tout cela était bien arrangé !
Mais aux USA la propagande et la conspiration des
“bellicistes” prit énormément d’ampleur dans les
studios de cinéma et dans toutes les stations de
radiodiffusions. Rien d’étonnant puisque le cinéma
américain était à 100% dans les mains des Juifs.
En effet la Métro-Goldwyn-Meyer (MGM) était dans
les pattes des frères Marcus, Loew et Samuel
Goldwyn, la Fox Films dans celles de William
Fuchs, la Warner Bross dans celles des frères
Warner, la Universal Film dans celles de Julius
B a r u c h , e t c . . . Q u a n t a u x c h a î n e s d e
radiodiffusions, la “Radio Corporation of Américan”, et “la Colombia Broadcasting System”
étaient contrôlées par les Juifs suivants; David
Sarnoff et William Paley. Trois des quatre grands
réseaux de télévision étaient dirigés par Irving
Kahn. Et dans la presse à gros tirage les maîtres
étaient les Juifs suivants: Adolphe Oachs au “NewYork Time”, Joseph Pullitzer au “World” etc…
Sans compter les nombreux personnages officiels et
privés qui dirigeaient les syndicats, les 64
ordres maçonniques avec leurs centaines de loges.
Tous faisaient pression sur les politiciens, les
banques, le commerce, l’industrie, les centres
culturels, etc… Comme à l’heure actuelle en
France, en Belgique et dans tous les pays
européens, quelques personnages bien placés
f o u r n i s s a i e n t l ‘ O P I N I O N O F F I C I E L L E , l e
“politiquement correct” et régnaient par la
terreur intellectuelle sur une population
conditionnée jour après, jour. Comme dans toutes
les démocraties actuelles le peuple américain de
l’époque n’avait plus qu’à subir. On pensait pour
lui, lui faisant accroire, que l’opinion émise
était la sienne, alors qu’elle n’était que celle
d’une petite mafia de conspirateurs cosmopolites.
Durant la guerre d’Espagne, c-à-d de juillet
1936 à mars 1939, Roosevelt et les médias
américains ne cessèrent de dénoncer les atrocités,
parfois réelles, des troupes franquistes, omettant
systématiquement de dénoncer celles beaucoup plus
monstrueuses et infiniment plus nombreuses des
“gouvernementaux” et de leurs amis des brigades
internationales, dont la plupart des dirigeants
étaient des communistes juifs, comme le fameux
Jozip Broz alias Tito et futur président de la
Yougoslavie en 1945, ou comme Willy Fraham alias
Willy Brandt, futur président de la République
Fédérale Allemande, comme Willehm Pieck, Grotewolh
et Ulbricht eux aussi tour a tour président de la
République populaire d’Allemagne de l’Est, comme
Matyas Rakosi futur président de la Hongrie
communiste, ou comme Malraux, ce franc-maçon
marxiste pilleur du temple d’Angkor et trafiquant
d’antiquités volées et futur bras droit du général
De Gaulle etc… D’ailleurs les “gouvernements
espagnols” eurent successivement comme président
de leur république le pédéraste juif et maçon
Manuel Azaña, ensuite les francs-maçons Indalacio
Priéto, Largo Caballero et le général Miaja et
enfin le médecin juif Négrin. Naturellement tous
ces assassins étaient frères en loges du juif
Roosevelt, qui les soutenait activement par ses
médias et sa propagande et qui s’ingéniait aussi à
leur fournir des armes et des munitions par
l’entremise des présidents maçons mexicains et des
Juifs du gouvernement Blum de France. Mais armes
et propagande n’empêchaient pas les Franquistes de
voler de victoires en victoires, car le peuple
espagnol très catholique n’était pas encore prêt à
se laisser séduire par les sirènes mondialistes
comme c’est le cas actuellement. Aussi, constatant
les défaites successives de ses amis, Roosevelt
n’hésita pas en octobre 1937 de prononcer un
violent discours contre les régimes fascistes,
réclamant leur “mise en quarantaine”, car
Mussolini et Hitler s’opposaient avec la plus
grande fermeté à l’instauration du marxisme en
Espagne. Comme l’avait dit Lénine: “L’Europe doit
se conquérir par son ventre mou, c-à-d par le sud,
l a M é d i t e r r a n é e e t l ‘ A f r i q u e d u n o r d . ”
Heureusement Hitler veillait et Roosevelt
enrageait.
En septembre 1939, dès le début de la
déclaration de guerre à l’Allemagne par les
démocraties occidentales et afin de soutenir
celles-ci, Roosevelt inventa la loi intitulée:
“Cash and Carry” (c-à-d payer et emporter). Comme
l’Allemagne ne possédait pas d’or et avait une
très faible flotte marchande en regard de l’or
français et de la flotte anglaise, il est évident
que cette nouvelle loi commerciale était taillée
sur mesure pour favoriser le camp anglo-français.
Ensuite en novembre 1940, après une campagne
électorale à l’américaine arrosée et complètement
truquée par l’or juif, Roosevelt fut réélu pour un
troisième mandat de 4 ans à l’encontre des lois
électorales américaines qui interdisaient à tout
p r é s i d e n t d ‘ ê t r e r é é l u t r o i s f o i s
consécutivement.24 Mais qui se souciait encore de
la loi, lorsqu’il s’agissait de pousser le peuple
américain à la guerre? Et comme après Dunkerque
l’Angleterre s’était retrouvée totalement
désarmée, à part son aviation, et économiquement
au bord de la faillite, Morgenthau et Roosevelt
décidèrent de PRÊTER DU MATERIEL MILITAIRE à
Churchill aux abois. CE FUT LA “LOI PRÊT BAIL”.
Elle constituait un nouveau pas vers la guerre
mondiale, car la NEUTRE AMERIQUE fournissait des
armes à l’Angleterre tout en acceptant qu’elle ne
les paye que bien plus tard après la guerre. Par
cette nouvelle décision, que nous pouvons
qualifier de véritable acte de guerre, Roosevelt
fournit entre autres à Churchill 50 destroyers
chasseurs de sous-marins. Et toujours pour aider
s o n c o m p è r e à v a i n c r e l e s s o u s – m a r i n i e r s
allemands, qui asphyxiaient l’Angleterre, en mars
1941 Roosevelt déclara unilatéralement, que les
4/5ème de l’océan atlantique devenaient “zone de
sécurité américaine”, alors que normalement tout
pays ne peut revendiquer comme zone de sécurité
maritime que de dix à seize kilomètres en partant
des côtes. En outre Roosevelt encouragea sa propre
marine à patrouiller dans toute cette zone et à
AVERTIR LA MARINE ANGLAISE, lorsque des bateaux
américains détectaient des sous-marins allemands
(lire à ce sujet les “Mémoires” de l’amiral
Doenitz et le livre de Herbert Werner intitulé:
“18 secondes pour survivre”; collection Vécu).
Naturellement, certains destroyers américains
étaient commandés par des officiers juifs, et
ceux-là ne se génèrent pas pour non seulement
localiser les sous-marins allemands mais aussi
pour les pourchasser, pour les empêcher de
remonter en surface pour reprendre de l’air et
même pour les attaquer à la grenade ou à la
torpille. Ce fut le cas des destroyers “GREER,

 

24 Au sujet de cette campagne électorale truquée de 1940 aux Etats-Unis il faut absolument lire le livre de
Serrano Suner intitulé : “Entre les Pyrénées et Gibraltar” paru en 1947 aux éditions du “Cheval Ailé”. Lire
les pages de 138 à 145. Toutes les péripéties de la campagne y sont relatées ainsi que les noms des
opposants Républicains et Démocrates a la réélection du monstre Roosevelt. Ainsi que des aperçus des
discours isolationnistes de la plupart des prétendants à la Maison Blanche.

REUBEN et KEARNEY”. Et le commandant H. Werner
relate même qu’un sous-marin américain tenta de
torpiller puis d’éperonner le sien par gros temps.
L’historien anglais Roskill nous déclare dans son
livre intitulé: “La guerre sur mer”, que “Depuis
septembre 1941 la participation de la marine
américaine à la bataille de l’Atlantique fut
effective.” A cette époque, c-à-d plus de 3 mois
avant l’entrée en guerre de l’Amérique contre
l’Allemagne, l’amiral Doenitz se plaignait
fréquemment à Hitler de ces ACTES DE PIRATERIE
perpétrés par la marine d’un “pays neutre”. Mais
Hitler voulant absolument la paix à l’Ouest lui
interdit toujours toute riposte.
En outre depuis juillet 1941, sans même encore
être en guerre avec l’Allemagne, Roosevelt décida
et organisa l’aide à fournir à son compère
Staline. Ce fut le début des convois vers
Mourmansk. Roosevelt poussa même la gentillesse de
fournir au tsar rouge un exemplaire de la planche
à imprimer les dollars, car certains sénateurs
américains s’opposaient à cette aide, sous
prétexte qu’elle ne serait jamais honorée, c-à-d
payée. Ainsi Staline paya l’Amérique avec “des
faux-vrais dollars”, n’hésitant pas à faire
tourner nuits et jours sa planche à billets.
Passant outre à ses devoirs de neutralité et
aux lois des USA, Roosevelt, devenu de plus en
plus nerveux lors des premiers revers de l’Armée
Rouge, ordonna en juillet de geler les avoirs
allemands aux USA et de fermer tous leurs
consulats. Il instigua pour pousser le Canada à
e n t r e r ” o f f i c i e l l e m e n t ” e n g u e r r e c o n t r e
l’Allemagne. De même il ordonna à l’armée
américaine d’occuper l’Islande afin d’en faire une
base anti-sous-marine. Le 17 novembre 1941, il
ordonna à tous les navires marchands américains de
se consacrer uniquement au transport de vivres et
de matériels vers Mourmansk, de tous s’armer
d’artillerie et d’ouvrir le feu sans sommations
sur tous les sous-marins allemands rencontrés et
de les signaler à la marine de guerre (qui elle
signalait ensuite leur position à la marine
anglaise). Six mois plus tôt le secrétaire à la
Marine, Frank Knox et le contre-amiral Adolphe
Staton voulurent éliminer de leur corps tous les
marins communistes qui s’y trouvaient. Roosevelt
refusa en répondant que: “Les Etats-Unis sont
obligés de ne pas s’opposer aux activités du parti
communiste dans aucun de ses états.” Cette
déclaration fut rapportée le 2 mars 1954, par le
contre-amiral Staton devant le comité de sécurité
interne du Sénat américain. Il faut dire que le
parti communiste américain avait été fondé par les
Juifs Harold E. Ware, Warl Recht, Sidney Hollman,
Josip Schlossberg, Abraham Schiplacoff et quelques
autres, tous originaires de Russie, certains bien
connus de Roosevelt.
Dernier détail horrible et crapuleux; un Juif
haineux nommé Théodor N. Kaufmann encouragé par
Roosevelt et son entourage, publia en mars 1941 à
New-York un livre intitulé: “Germany must Pérish.”
Il y écrit entre autre: “Les Allemands, du seul
fait qu’ils sont Allemands, mêmes antinazis, mêmes
communistes, mêmes philosémites, ne méritent pas
de vivre, et après la guerre on mobilisera 20.000
médecins pour stériliser chacun 25 Allemands et
Allemandes par jour, de telle sorte qu’en trois
mois il n’y ait plus un seul Allemands capable de
se reproduire en Europe, et qu’en 60 ans la race
allemande soit totalement éliminée du continent…
Les Juifs allemand sont aussi de mon avis.” Bien
que ce fut là un plan GENOCIDAIRE il fut commenté
avec sympathie par des organes de presse aussi
célèbres que le magazine “Times”, qui trouva que
le plan était UNE IDEE SENSATIONNELLE, et par le
quotidien “donneur de leçons”, le “WashingtonPost”. Le contenu de ce livre fut diffusé en
Allemagne par les soins de Goebels et il déchaîna,
à juste titre, la fureur populaire contre les
Juifs. C’est grâce à ce livre, que Goebels obtint
de Hitler en août 1941 le port obligatoire de
l’étoile jaune par les Juifs. Et le célèbre
écrivain Ernest Hemingway reprit l’idée dans son
livre “Men at War” paru en 1942 aussi à New-York.
Je tiens à faire remarquer ici que ce livre
haineux parut plusieurs mois, avant la fameuse
réunion de Wansee, où l’on prétend toujours que
les Allemands décidèrent d’appliquer la “Solution
finale”. Rappelons encore ici, que par “Solution
Finale” les Allemands n’entendaient qu’un
refoulement de tous les Juifs loin de l’Allemagne
et si possible hors de l’Europe, et non une
extermination physique, ce qu’ils auraient
cependant été en droit d’entreprendre après la
publication d’un livre si haineux. Dans ses
“Propos de Table” du 21 janvier 1942, quelques
jours après cette réunion fameuse de Wansee Hitler
dit explicitement: “Les Juifs doivent quitter
l’Europe; le mieux est qu’ils aillent en Russie.”
I l n o t i f i a e n s u i t e à F r a n k , l e c h e f d u
“Gouvernement Général” (la Pologne), que les juifs
ne feraient plus que TRANSITER à travers son
territoire. Et 20 jours après Wansee, soit le 10
février 1942 Rademacher, adjoint de Martin Luther
le sous-secrétaire d’état de von Ribbentrop,
rapporte à ce dernier que: “La guerre contre
l’URSS a ouvert une autre possibilité que
Madagascar pour la Solution Finale (Endlösung); en
conséquence le Führer a décidé, que les Juifs
devaient être évacué à l’Est.” Ils iraient ainsi
grossir les nombreux groupes de Juifs roumains et
hongrois, que les deux armées de ces pays
utilisaient à l’Est depuis juin 1941 pour y creuser des tranchées et des ouvrages divers.
Suite à cette décision il existe une lettre de
E i c h m a n n , q u i d e m a n d e d e s b a r a q u e m e n t s
préfabriqués pour installer des camps de Juifs en
Russie. Et il y a aussi le rapport du statisticien
SS Korrher, qui explique, que les Juifs étaient
refoulés à l’Est après leur passage dans les camps
de transit de Auschwitz et de Maïdaneck, de
Sobibor et de Tréblinka. (Lire à ce sujet le tome
2 de “La controverse sur l’extermination des Juifs
par Jean-Marie Boidefeu au V.H.O. Postbus 60/B.
2600. Berchem 2/Belgie.) A la suite d’une
conférence tenue le 6/4/44 une partie de ces Juifs
établis en URSS fit retour en Allemagne dans le
cadre des projets “Dorsch” et “Jaeger” pour la
construction de 6 immenses usines souterraines. En
outre depuis 1943 l’on installait des camps juifs
près des villes bombardées pour pousser les
“Alliés” à abandonner leurs raids de terreur. Quel
est la quantité de Juifs, qui moururent ainsi du
fait des bombardements alliés? Nul ne le sait. De
même tous ceux, qui restèrent en Russie furent
“avalés” par l’armée rouge et “disparurent”. Où?
Une chose est certaine aussi; après la campagne de
Pologne, jusque fin octobre 1940 les Juifs
polonais pouvaient EMIGRER EN URSS. Ainsi
émigrèrent 6 membres du judenrat de Varsovie. En
outre l’écrivain juif Arthur Koestler nous
raconte, que les Juifs qui vivaient en Pologne
annexée par les Soviétiques, soit plus de 1
million furent tous déportés en Sibérie dans des
conditions épouvantables, de même que les 800.000
qui passèrent de la zone allemande en zone
soviétique. D’après l’historien Arno Meyer en 1939
en URSS, il n’y avait que 3 millions de Juifs.
(Ils y sont maintenant 6 millions.) Ces Juifs
soviétiques là, la plupart d’Ukraine et de
Bielorussie furent protégés et évacués sur ordre
de Staline AVANT l’arrivée des armées allemandes
en juillet-août 1941; du moins ce fut le sort de
tous les Juifs soviétiques des villes. De tout
ceci il ressort, que malgré la haine que certains
d’entre-eux manifestaient ouvertement envers
l’Allemagne, les Nationaux-Socialistes et Hitler
n’ont jamais créé de camps d’extermination des
Juifs. Il est grand temps, que cette fable cesse
d’être une “pompe à fric” aux dépens non seulement
de l’Allemagne, mais de tous les peuples
industrialisés.
Naturellement en déportant tous ces Juifs en
Russie libérée par les troupes allemandes, Hitler
n’acceptait pas qu’ils emportent leurs richesses.
Il le refusait parce qu’il avait constaté, que 90%
des Juifs d’Allemagne et d’Autriche étaient tous
des émigrés de fraîche date; certainement venus
après 1848. Or ils étaient venus sans rien et en
1920 ils étaient en moyenne 4,6 fois plus riches
que leurs hôtes allemands; il y voyait la preuve,
qu’ils avaient exploité et abusé de la confiance
des Allemands, car on ne s’enrichit pas si vite en
si peu de temps par un honnête travail.
Rappelons enfin pour finir que Itzak Rabin
déclara en Israël avant son assassinat, que 1,5
million de Juifs combattirent dans les armées
alliées contre l’Allemagne Nationale-Socialiste
(déclaration reprise par l’hebdomadaire Rivarol le
5/5/95); soit 450.000 dans les rangs de l’Armée
Rouge; 650.000 dans l’Armée américaine; 100.000
dans les rangs de l’armée britannique et 120.000
dans des groupes de résistance des pays occupés.
Rappelons enfin, que les plus féroces écrivains
exterminationnistes reconnaissent maintenant que
les Juifs soi-disant “exterminés à Auschwitz et
dans les autres camps d’exterminations ne seraient
plus qu’au maximum 750.000 (n’oublions pas que
nous venions de 6 millions lors des jugements de
Nuremberg). A lire à ce sujet les livres
” o f f i c i e l s ” d u p h a r m a c i e n P r e s s a c . P l u s
raisonnablement il semble en être “disparus”
environ 350.000 après passage dans les divers
camps de transit, ce qui cadre mieux avec les
diverses statistiques juives émises tous les 5 ans
sur leurs diverses populations. Et ce qui cadre
aussi avec les explications que je viens de donner
plus haut. Nous pouvons donc conclure, qu’il n’y a
jamais eu de génocide du fait des Allemands lors
de la seconde guerre mondiale. Mais 6 millions de
morts rapportent naturellement beaucoup plus
d’indemnités que 350.000. Six milions, malgré
qu’il est prouvé actuellement, que l’ensemble de
la population juive présente dans les territoires
occupés par l’Allemagne entre 1940-45 , ne séleva
au maximum qu’a 4,5 millions d’individus.
Mais après cette digression assez longue
revenons-en encore un peu à Roosevelt: Vint enfin
le jour tant espéré par le fourbe; le 7 décembre
1941 avec l’attaque contre la flotte américaine du
Pacifique à Pearl-Harbor. Sans entrer dans les
détails, cette attaque fut la conséquence d’une
longue série de vexations continuelles pratiquées
par l’Amérique rooseveltienne contre un peuple
fier empêtré dans une guerre sans fin en Chine.
N o n s e u l e m e n t ” l ‘ A m é r i q u e n e u t r e ” a i d a i t
militairement et massivement la Chine de TchangKai-Chek, mais Roosevelt ne cessait de vitupérer
sur les ondes contre les “impérialistes japonais”,
et, plus grave, il refusait progressivement de
leur livrer des denrées de première nécessité dont
du pétrole. Car n’oublions pas, que le Japon est
une île, qui ne produit même pas assez pour
nourrir sa population. Certains prétendent encore,
que l’attaque brutale contre les îles Hawaii est
une forfaiture, car en jouant sur les fuseaux
horaires, les Japonais n’avertirent Washington de
leur déclaration de guerre que quelques heures
après l’attaque. En effet lorsqu’il était midi à
Washington, il était déjà le lendemain aux Hawaii.
Mais cette interprétation mondialiste des faits ne
tient plus, lorsque l’on sait que depuis six mois
les Services des Chiffres américains connaissaient
le code secret diplomatique et militaire des
transmissions japonaises, et que, jour après jour,
Roosevelt était tenu au courant des préparatifs de
l’ennemi. En outre il y avait eu l’affaire des
radars de l’île d’Hawaii, qui avait détecté
l’aviation japonaise plusieurs heures avant
l’attaque. Il y avait aussi eu l’affaire du sousmarin japonais coulé en face du port la veille. Le
tout était connu du président Roosevelt. En fait
l’attaque ne fut une surprise que pour le “peuple
américain”, qui réagit comme les chiens de Pavlov
en apprenant, suite à une campagne de propagande
bien orchestrée, que le Japon “avait attaqué par
surprise” avant de déclarer la guerre. A ce sujet
Roosevelt et son entourage mentirent à qui mieux
mieux, mais l’occasion était enfin trouvée pour
Roosevelt de faire entrer “officiellement” son
peuple de naïfs dans le grand conflit mondial. Et
surtout de déclarer officiellement la guerre au
seul véritable ennemi du Mondialisme juif, c-à-d à
Hitler. C’est l’Amérique de Roosevelt qui déclara
la guerre à l’Allemagne le 11 décembre 1941, et
non l’inverse, comme on le fait encore souvent
accroire dans les écoles.
Pour Roosevelt la guerre contre le Japon
n’était que secondaire; aussi le général en chef
du Pacifique, Mac Arthur, d’ailleurs souvent
critiqué parce qu’il ne faisait pas partie du
grand complot mondialiste (car il n’était qu’un
simple américain) n’obtint tout d’abord aucune
aide militaire sérieuse; ses ordres étaient de
s’employer à limiter les dégâts. La vraie guerre
pour Roosevelt et les Mondialistes c’était
l’Europe et l’aide urgente à apporter à Staline.
Aussi fut-il rapidement décidé de d’abord
débarquer en Afrique du Nord afin de soulager les
Anglais. Et le 8 novembre 1942 une flotte
importante débarqua les GI. américains sur les
plages près de Oran en Algérie. Le chef du corps
expéditionnaire était naturellement un membre sûr
de la mafia mondialiste, le général juif
Eisenhower.
Sans entrer dans les diverses péripéties de la
guerre, il y eut ensuite la fameuse conférence de
Téhéran le 28 novembre 1943, où il fut tout
d’abord décidé d’exiger de l’Allemagne une
R E D D I T I O N S A N S C O N D I T I O N , c e q u i d e v a i t
naturellement pousser l’Allemagne à lutter jusqu’à
son dernier souffle. C’était indiquer, que peu
importaient les misères et les morts, l’on
anéantirait tout un peuple et son régime, alors
que seul le mondialisme était menacé et nullement
les peuples d’Europe et d’Amérique. Pour soulager
les Soviets, Roosevelt imposa et planifia aussi à
Téhéran un débarquement en Normandie pour mai
1944, et 70 jours plus tard un autre sur les côtes
françaises de Méditerranée. Churchill préférait un
débarquement dans les Balkans, mais Roosevelt s’y
opposa car il pouvait gêner son cher Staline. On
planifia aussi à cette occasion l’organisation de
l’ONU et de reporter la frontière de la Pologne
sur l’Oder en déplaçant toutes les populations
germaniques; ainsi la Pologne de l’Est pouvait
revenir à Staline. Lors de cette conférence
Roosevelt démontra au plus ignorants, que seule
comptait pour lui la réussite du marxisme aux
détriments de tous les peuples d’Europe.D’ailleurs
avant la conférence Roosevelt envoya son émissaire
Zabrouski a Staline. Dans ce document Zabrouski il
propose a son compère de partager l’Europe de
l’Ouest en zones d’influence, ou tous les pays
sauf l’Angleterre, la France et l’Espagne,
seraient sous domination soviétique.(Lire a ce
sujet »Top Secret » de de Poncin et « Le
mondialisme attesté par les Protocoles des Sages
de Sion » du docteur C Sulkos).
Ensuite il y eut la fameuse conférence de
Yalta, la plus ignoble, car Roosevelt malade,
souffrait de folie d’Altzheimer (à l’époque l’on
parlait d’artério-sclérose cérébrale avancée) y
VENDIT TOUTE L’EUROPE DE L’EST à son compère
Staline et à ses sbires, sachant très bien
l’importance des règlements de compte, qui
allaient en découler. La juive Anna Pauker fit le
vide en Roumanie, le juif Broz-Tito en fit de même
en Croatie et en Yougoslavie, le juif Gomulka de
même en Pologne, les juifs Rajk et Rakosi en
Hongrie, etc… Tous les nouveaux dirigeants de
l’Est étaient Juifs et/ou francs-maçons.
Les trois compères de Yalta démontrèrent leurs
tares mentales tout au long de cette dernière
conférence. Lire à ce sujet le livre de Pierre
Accoce et Pierre Rentchnick intitulé: “Ces
Malades, qui nous gouvernent”, chez Stock. Tous
les trois avec leur brain-trust respectif étaient
ivres chaque jour. Cela tourna même au grotesque,
lorsque la brute criminelle Staline, dans une
orgie de vodka et de champagne proposa un toast à
la fusillade de 50.000 officiers allemands lors de
la victoire. L’ivrogne Churchill pratiquement sous
la table, d’une voix pâteuse trouva le nombre trop
élevé et l’on finit par le réduire à 49.900. Et ce
furent ces ivrognes, tarés et corrompus, qui
imaginèrent alors les futurs procès de Nuremberg,
avec effet international RETROACTIF, à l’encontre
de toutes les lois en vigueur. L’on retournait à
la barbarie la plus ignoble, barbarie asiatique
devant laquelle le “Vae Victis” de Brennus n’est
q u ‘ u n e g a m i n e r i e . B a r b a r i e d ‘ a u t a n t p l u s
monstrueuse, qu’il fut décidé d’interdire à la
défense de fournir ses preuves déculpabilisantes.
Cette parodie de justice, cette sinistre farce,
que l’on fait passer pour un progrès mondial
(disons plutôt mondialiste) était déjà planifiée
en toute lettre dans les “Protocoles des Sages de
Sion”. Ce n’est pas pour rien, qu’ils sont
actuellement interdits de publication.
Avant de terminer ce chapitre je tiens à
livrer un dernier détail peu connu sur la nuisance
du malfaisant Roosevelt. Ce détail nous est fourni
par le commandant US Georges Racey Jordan, qui
servit d’officier de liaison à Moscou durant
l’année 1942. Son livre intitulé: “Como conocio
Rusia el secreto de la bomba atomica” nous révèle,
que dès juillet 1942 Roosevelt fit livrer à
Staline tout le matériel nécessaire pour fabriquer
une pile atomique. Par l’intermédiaire de son
envoyé spécial, le juif Alger Hiss, il fournissait
aux Bolcheviks, outre une grande quantité de plans
et d’études secrètes de l’industrie militaire
américaine, tous les renseignements sur les progrès américains dans la connaissance et dans la
réalisation de la bombe atomique. Il fournissait
a u s s i à S t a l i n e l e s n o m s d e t o u s l e s
fonctionnaires américains en poste en Russie, qui
envoyaient des rapports défavorables à la Maison
Blanche au sujet de l’Armée Rouge et de son
comportement; ensuite il s’arrangeait pour les
muter sur le théâtre militaire du Pacifique.

FUENTE:

http://documentos.morula.com.mx/wp-content/uploads/2012/10/HITLER-Contre-JUDA.pdf

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